(LIBRE) MICHAEL FASSBENDER Ϟ everybody makes mistakes

Invité

Everrett Oakley Pendergast
« citation, parole de chanson ...»

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◮ PRENOM & NOM : everett oakler pendergast ◮ AGE : 31 ans ◮ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 23 mai, Illinois ◮ EMPLOI : au choix ◮ STATUT CIVIL : divorcé ◮ QUARTIER : mount pleasant ◮ TRAITS DE CARACTÈRE : de marbre, égoïste, protecteur, méchant, sans coeur ◮ GROUPE : ceux qui regrettent le passé

~ Tell me a little about your life

✎ Il a grandit dans la même petite ville qu'Aniess, en Illinois. Ils ne s'étaient jamais parlé jusqu'à ce que les parents Whitaker lui propose sa fille comme épouse.
✎ Il est toujours sans une émotion sur le visage, mais il toujours actif dans la congrégation de la ville et il est vu comme un grand croyant.
✎ Ce n'est pas qu'il n'aime pas Aniess, au contraire il l'apprécie énormément. Mais pour une raison que vous déciderez, il a toujours été plutôt froid et aucunement romantique. De plus, son travail ne l'aidait pas à se rapprocher de sa petite famille.
✎ Il a une jeune fille de trois ans qu'il chérie plus que tout, c'est bien la seule qui le rend vraiment heureux. Mais il sourit que quand ils sont ensemble. Il a obtenu la garde de Saskia une semaine sur deux.
✎ Rett et Aniess sont en effet divorcés depuis maintenant neuf mois et jamais il n'a regretté ce geste de toute sa vie.
✎ Son meilleur ami est Carlyle M. Jenkins et c'est d'ailleurs le seul qui arrive à le supporter. Carlyle a aider Aniess à passer à travers du divorce.

PELOUSE BIEN TONDUE
PARFAITS MUFFINS
ACCUEIL CHALEUREUX
RAGOTS A GOGO
FÊTE JUSQU’À PAS D'HEURES

SECRET DÉFENSE
GRAND ROMANTIQUE
LA FAMILLE AVANT TOUT
METRO, BOULOT, DODO
VOISIN MALVEILLANT

~ We are connected

« Everett et moi avons décidé de partir. Nous avons déjà acheté une petite maison dans Fairview, à Eagle State. Mon père se lève, furieux levant la main haut dans les airs. Prête à tout, je ferme les yeux d'une force insoutenable et attend. Le coup ne vient pas, j'entend un espèce de bruit sourd et ouvre les yeux. Et bien, au moins l'homme qui me sert de mari sait bien entrer dans une conversation! Comprenez-moi, j'étais reconnaissante qu'il me protège, c'était bien une des premières fois qu'il semblait me montrer un tant soit peu d'intérêt d'ailleurs. Nos parents avaient décidé qu'il était tant que je me range. Après m'avoir empêché de voir des hommes durant quatre longues années de ma vie, ils décidaient désormais de trouver l'homme avec qui je passerais le reste de mes jours. Nous ne sommes plus dans les années 1800 me dites vous? Et bien dans notre famille ça avait toujours été comme ça. Si vous ne l'aviez pas comprit lorsque mon père avait essayé de me tuer à cause de ma perte de virginité, c'Est votre problème. J'étais de tempérament jovial, douce et tout le monde semblait m'aimer. Sauf que plus je passais du temps avec mon Mari et plus je me demandais s'il faisait au moins un effort. Huit mois que nous étions mariés et il ne m'avait pas encore dit qu'il m'aimait. Je ne savais pas non plus si je l'aimais. J'étais bien avec lui et plutôt sereine, d'une façon que je n'avais pas connu lorsque je vivais encore chez mes parents. Je lui demandai qu'une chose, un déménagement. Pouvoir m'éloigner de ceux qui ont pourri toute ma vie. Il accepta, avec le calme qu'il régissait toujours les choses. Je mis toutes les choses en branle dans le temps de le dire. Tout avant de l'annoncer à mes parents pour que ce soit rendu un point de non-retour. Le moment était arrivé et pour la première fois je semblai remarqué que mon mari tenait au moins un peu à moi.

CHAPTER THREE
« NON! Comment est-ce que tu peux me faire ça?! Je te donnerai tout, la maison, le centre, tout mais pas elle! Il me dévisage, semblant un peu déstabilise, une première. Je ne comprends pas comment j'ai pu rester avec cet homme durant sept longues années. J'avais une patience de fer, croyez-moi. Je lui ai laissé tant de chances, tant de fois qu'il aurait pu me faire tomber dans ses bras en un claquement de doigt. J'étais parvenue à l'aimer, avec l'enfant qu'il me donna il y a de cela trois ans. Il aurait pût ne pas passer tout ce temps en voyage pour son travail. Il aurait pu choisir de nous chérir la petite et moi, sauf qu'il n'en fit rien. Je ne cru pas voir un véritable sentiment sur son visage de tout ce temps, malgré le peu de temps qu'on se côtoyait en fait. Je ne comprends pas pourquoi il n'a jamais demandé le divorce puisqu'il ne m'aimait pas, c'était clair. Toujours impassible, jamais heureux on aurait dit. Et bien j'en avais eu assez, j'avais décidé de demander le divorce. Puis, lors de la première consultation avec nos avocats, il avait demandé la garde de ma Saskia. « Je t'en prie Rett, si tu m'as aimé au moins une fois durant toute cette mascarade, ne me fais pas ça! » Il lève la main, je ferme les yeux docilement et attend comme lors de ma jeunesse. Je n'aurais jamais cru qu'il oserait mettre la main sur moi, il était sensé être différent de mon père. Une nouvelle fois, le coup ne vint pas. Il passa sa main dans mes cheveux et j'ouvris mes yeux stupéfaite. Je vis une once de regret dans son visage et ça me surpris tellement que je n'osais aucun geste. Il baisa mon front et se détourna, me laissant seule avec mes larmes.