TOPIC COMMUN • EPISODE 2

Invité

❝topic commun ❞

LE PREMIER TOPIC COMMUN DE L'EPISODE DEUX.
________________________________________________

La famille Bradfort n'a pas lésiné sur les moyens pour accueillir les habitants de fairview dans son immense demeure. Lorsque vous rentrerez, un homme s'occupera de votre veste, ensuite vous avancerez dans le salon vous pourrez trouver des multitudes de flûtes à champagne disposer sur de grandes tables blanches. Un peu plus loin, vous passerez une grande baie vitrée et arriverez dans le jardin dans lequel se trouve des dizaines de lampions et de magnifiques compositions florales Autour de la grande piscine, vous trouverez de quoi vous nourrir avec de nombreux buffets truffés de haute gastronomie.

Jackie était affalée sur son lit à regarder sa penderie, qu'est ce qu'elle allait bien pouvoir mettre ce soir se demandait-elle. Elle prit la peine de se lever et balaya les différentes tenues de sa penderie avant de s'arrêter sur la robe qu'elle avait acheter il n'y a pas longtemps « pour les grandes occasions ». Toutes les femmes ont dans leur armoire une robe qu'elle ne peuvent mettre que lors de grands évènements. Jackie regarda longuement la robe avant de se décider à l'enfiler. Elle n'était pas vraiment motivé à aller à cette soirée, la seule chose qui la motivait vraiment, c'était le fait de passer une soirée avec ses amis. Et il faut le dire comme la majorité des habitants de Fairview elle était curieuse d'en apprendre un peu plus sur cette famille Bradfort qui avait fait une entrée fracassante après l'enterrement du maire. Tellement fracassante que Jackie n'avait pas pu répondre à cette peste de France Jenkins qui en avait profité une fois de plus pour l'humilier en public. D'ailleurs Jackie espérait de tout coeur qu'elle ne soit pas la ce soir, mais c'était peine perdu, France Jenkins absente lors d'un rassemblement de tous les habitants de Fairview, c'était comme un croissant sans confiture.
La jolie asiatique agrémenta sa coiffure de petite boucles lestes et d'un rouge à lèvre foncé, elle jeta un dernier coup d'oeil dans le miroir avant de traverser l'impasse de Wisteria Lane. Les Bradforts habitaient la plus grande maison de Fairview, son architecture était moderne, bien différente des autres maisons. Jackie fit quelques pas et un homme vêtu d'un veston noir lui proposa de prendre sa veste, elle lui tendit et s'avança dans la pièce principale ou elle prit quelques petits fours. Il n'y avait pas grand monde, il faut dire qu'il était à peine 20 heures, il y avait presque plus d'employés que d'habitants de Fairview. Cette nouvelle famille devait vraiment être très riche. Jackie s'enquit d'une flûte à champagne mais à peine eut-elle goûter du bout des lèvres qu'elle fit une grimace. Il faut dire que la dernière fois qu'elle avait bu de l'alcool elle avait finit avec une atroce gueule de bois et accessoirement c'était son ex-mari qui l'avait raccompagné. Elle tourna la tête pour vérifier que personne ne l'avait vu et c'est alors qu'elle tomba sur Jake qui lui fit un sourire au loin, Jackie ne pu s'empêcher de répondre spontanément par un magnifique sourire qui en aurait fait tomber plus d'un mais ça ne l'empêcha pas de se sentir extrêmement gênée, puisqu'elle ne se rappelait absolument pas de sa cette soirée en question.

Invité

Tu avais pris ta soirée comme tous les employés du restaurant juste pour pouvoir assister à cette soi-disant « fête ». Te voilà dans ta chambre, ta petite chambre situé au fond de ton appartement. Tu hésitais encore sur ce que tu allais porter toute la soirée. Tu avais le choix entre une jolie robe à bustier bleue ou une robe à dentelle noire, elles s’arrêtaient toutes les deux au-dessus des genoux. Dans tous les cas, tu n’allais pas y aller avec un jean et des converses. Finalement tu enfilas ta robe bleue avec une paire d’escarpin de la même couleur, c’était les seuls vêtements de marque qu’ils te restaient. Aller à ce genre de soirée était trop importante pour toi, il fallait absolument que tu montres que tu n’avais pas encore touché le fond. Tu avais soigneusement fait attention à bien te maquiller, ni trop ni pas assez : c’était suffisant pour te mettre en valeur. Comme te le disais une de tes clientes « Le vrai est maquillage est celui qui ne se voit pas », c’était véritablement vrai. Tu avais aussi pris un petit quart d’heure à refaire ta coiffure, une queue de chevale qui partait sur le côté. C’était à la fois sobre et classe, mais tu le sais déjà. La façon dont tu t’occupais de toi était important. Car vivre dans un monde où tout nous juge n’est pas facile. Vivre en société c’était ton truc, peut-être parce que tu as été élevé ainsi. Tu savais maintenir une discussion sur la politique sans t’énerver, manger et boire élégamment sans qu’on te prenne pour une truie et même parler le jargon des bourgeois. Oui, vivre en haute société tu savais faire, mais c’était devenu beaucoup plus dur depuis que tu as été réduite à simple serveuse pauvre. Tu avais sévèrement régressé et ça, tous le monde l’avait vu.

Tu arrivas dans la demeure des Bradfort vers les environs de vingt heures et demie. Tu étais assez réticente pour te montrer à cette soirée. Après tout tu étais Heather Mills, la petite riche renié par ses parents qui était forcée à servir des cafés pour gagner sa vie. C’était assez culoté de te montrait ici, tu étais même sur le point de faire demi-tour lorsque tu marchais sur le petit sentier. Tu ne te défilas pas, tu entras dans la maison avec la tête haute, cherchant déjà quelques amies à toi. Puis un serveur t’apporta une coupe de champagne. C’était tellement grand que tu ne savais pas où aller, tu fis quelque sourire à tes amies, la seule raison de ta venue et tu commenças à visiter un peu l’intérieur.

Je ne pouvais m'empêcher de ressentir de la jalousie à leur égard. Je pensais être la plus riche de Fairview, mais visiblement, ce n'était pas le cas, ou du moins ce ne l'était plus. Cette maison était magnifique, j'aurais bien aimé y vivre, c'était sans doute pour ça que je me mis à détester cette famille Bradfort presque par réflexe. C'était fou tout de même, pouvoir détester quelqu'un car il a plus que nous, c'était sans doutes pour ça que la plupart des habitants de la ville me détestaient. Bref, quoi qu'il en soit, j'avais reçu la fameuse invitation, faite sur bout de carton doré, comme c'était mignon. Et comme toute bonne curieuse l'aurait fait, j'ai enfiler ma plus belle robe de soirée et m'étais engager dans ma rue, afin de rejoindre ce fameux manoir qui s'élevait au dessus de moi. Posant mes mains sur mes hanches, je regarderais autour de moi. Les gens commençaient à arriver, et eux même ne pouvaient cacher leur admiration.

Et je n'avais pas encore vu l'intérieur. Bluffant ! Oui, c'était bien le mot. Cette demeure était bluffante. Sérieusement, quel genre d'homme était capable de s'offrir tout ça ? Même moi je n'avais pas assez d'argent pour m'en payer la moitié et dieu savait que j'en avais de l'argent. Quelque peu bousculée par ce luxe soudain que je n'étais pas habituée à côtoyer, je ne remarquais pas l'homme silencieux qui me tendait ses bras pour qu'il puisse prendre mon manteau. Faisant quelques pas, je saisis d'instinct une coupe de champagne, me l'enfilant d'une traite. Bon, autant profiter de cette soirée.

Eh dites-donc, que du beau monde ce soir, paroles ironiques bien sûr, puisque la première personne que je vis était bien sûr cette chère Jackeline Hemerson, a qui j’adressais un sourire victorieux avant de m'éclipser dans la foule. C'est juste après ça que je remarquais Heather Mills, cette jeune pimbêche que, comme les trois quarts des habitants de Fairvew, je ne pouvais pas supporter. Un sourire mesquin sur le visage, je m'approchais d'elle avant de retirer mon manteau et de lui tendre. « Oh, excuse-moi Heather, je t'ai prise pour une employée. » Mimant un air faussement désolé, je balançais le manteau dans les bras d'un des serveurs qui passait par là avant de porter ma coupe de champagne à mes lèvres. Elle ne m'avait rien demandé, mais c'était plus fort que moi.

Invité

Jake hésitait encore à se rendre chez les Bradfort. Il avait prévu d'y aller mais à vrai dire, maintenant, il hésitait. Il replaça alors le col de sa chemise avec un air hésitant. Il soupira devant son reflet dans le miroir. Il hésita d'un côté, il était déjà prêt et devait avouer que depuis qu'il avait divorcé de Jackie, il n'avait plus vraiment d'invitation dans le voisinage : En effet, la plupart se déroulait à Wisteria Lane puisque c'était là que vivaient les gens avec le plus de moyen et qui pouvaient donc plus facilement que les autres organiser des soirées entre amis qui était plus qu'une bière, une pizza et un match de baseball et puis cette famille semblait bien riche, donc du coup, il était sûr que ça allait bel et bien être formidable. D'un autre côté, il savait qu'il y aurait Jackie et depuis la dernière fois qu'il l'avait vu, les choses étaient un peu tendues et Jake ne voulait pas vraiment se retrouver nez-à-nez avec elle. Il ne savait pas vraiment ce qu'il pourrait lui dire et il savait que les choses allaient être gênantes. Le pire, c'était bien que le problème n'était pas qu'il ne voulait pas la voir, il voulait en un sens, elle était si importante dans sa vie et il avait un peu de mal à passer trop de temps sans la voir. Le pire, c'était bien qu'il ne voulait juste pas être dans cette situation avec Jackie. Il ne voulait pas être en froid, ne pas ressentir cette gêne. Si il devait être honnête, franc, il devait dire qu'il regrettait l'époque où ils étaient encore mariés, ensemble, heureux. Il secoua la tête. Il ne devait plus y penser et puis il était un homme, un vrai, il n'allait avoir aucun problème à affronter son ex-femme. Ils avaient été amoureux pendant tant d'années. Jake soupira. Oui, il devait y aller.

C'est comme ça qu'il se décida d'y aller. Et arrivé là-bas, il ne se regretta pas puisque là-bas, c'était whaouuu. C'était tout simplement extraordinaire. Tout simplement extraordinaire. Jake en perdait ses mots. En tout cas, les Bradfort n'avaient pas fait les choses à moitié. Ils n'avaient pas lésiné sur les moyens pour ça et allaient pour sûr rendre un tas de leurs voisins jaloux. Certes, à Wisteria Lane, il y avait un tas de famille riche qui vivait sans aucun problème mais les Bradfort était définitivement la plus riche famille de la ville. Jake connaissait la plupart des gens présents dans la maison. Il salua les quelques personnes déjà présentes avant de croiser le regard de Jackie. Il lui sourit de loin et elle lui rendit son sourire. Apparemment, elle ne se sentait pas aussi gênée que Jake aurait pensé qu'elle le serait. Cela l'étonna. Jackie avait une certaine fierté mais au point de ne même pas grimacer un peu en le voyant l'étonnait, et ça même de la part de Jackie. Jake hésita alors une seconde à aller la voir. Il se retourna alors, hésitant. Il alla chercher une flûte à champagne avant de se retourner à nouveau vers Jackie et se décida à aller la voir. Il avança alors d'un pas sûr vers elle et arriva enfin à sa hauteur : « C'est incroyable, hein. » Il lui déclara avant de survoler la pièce des yeux une nouvelle fois. Ceci ne fit que confirmer ce qu'il venait de dire.

« Tu es fantastique dans cette robe. » Un sourire sur le visage, Gabrielle s'admirait dans son miroir, tout en frottant sa robe qui lui arrivait légèrement au dessus des genoux. Elle était rose, rose comme elle les aimait. Ses cheveux étaient détachés et brillaient presque sous les rayons du soleil qui traversait son vitrage. « J'espère bien, vu le prix qu'elle m'a coûté ! » répondit-elle en lâchant un fin rire tout en saisissant son sac pour en sortir son gloss, gloss qu'elle étala sur l'étendu de ses lèvres. Voilà, plus resplendissante que jamais, elle était prête à partir. « Tu es obligé d'y aller ? » Gabriel était assis sur le leur lit, avec Laura dans les bras. « Gabriel, je me présente pour le poste de maire je te rappelle, je dois savoir contre qui je me bat. » Car oui,ce n'était pas anodin si elle se rendait à cette soirée que les Bradfort organisaient, et ce n'était pas anodin si elle avait enfilé cette robe qui la mettait bien en valeur. Elle était bien décidée à faire sensation. « Bonne soirée !' s'exclama-t-elle, toute enjouée avant de quitter la pièce, et la maison.

« Eh bien ! » lâcha-t-elle en regardant l'immense pièce, vraiment impressionnée par la décoration et tout. Ca faisait quelques minutes qu'elle traînait parmi la foule, et elle avait déjà pris ses aises. Son manteau était dans les bras d'un employé et sa première coupe de champagne était à moitié terminée. La soirée promettait d'être agréable, surtout vu tout ce que ce Jacques proposait. Visiblement, ce dernier aussi avait voulu faire sensation. Seulement voilà, elle qui était partie pour passer une bonne soirée venait de déchanter d'un coup en voyant dans la foule celui qu'elle espérait ne pas croiser : Pierce. Son ex-mari. Le sourire sur son visage s'effaça d'un coup, laissant place à une expression frustrée. Posant sa coupe de champagne, elle tourna la tête à droite à gauche jusqu'à trouver Jackeline, son amie du regard. Sans même réfléchir, elle se précipita vers elle. « Jackie, Jackie, j'ai aperçu Pierce, je peux me cacher sous ta robe ? » Elle était sérieux. Se courbant, elle souleva le bout de cette dernière avant d’apercevoir qu'elle n'était pas seule, en effet, Jake était là. Se redressant, elle afficha un sourire gêné. « Ah, bonsoir Jake, comment ca va ? » Gênée, non seulement parce qu'elle voulait se cacher sous la robe de Jackie il y a peine deux secondes, et aussi car elle du se retenir de prendre une coupe de champagne et de le vider sur l'homme, persuadée que ca ne plairait à la jeune asiatique.

Jackie aperçut France, un sourire de victoire ornait ses lèvres, Jackie plissa les yeux, comme pour lui annoncer qu'elle était loin d'avoir gagner cette petite guerre et que la jeune asiatique avait plus d'un tour dans sa poche. Retournant à déguster ses délicieux petits fours, après tout aucun de ses amis n'était encore arriver et il fallait bien qu'elle s'occupe, elle était en train d'hésiter entre le petit four au chèvre ou au beacon lorsqu'elle sentit une présence. « C'est incroyable, hein. » elle se retourna surprise de voir Jake venir lui parler, il fallait dire que depuis leur divorce ils essayaient tant bien que mal de s'éviter mais dans une petite ville comme Fairview, c'était peine perdue. Il trouva cependant, noble de sa part qu'il vienne lui parler mais elle était tout autant gênée parce qu'elle ne se souvenait absolument pas de ce qu'elle avait bien pu dire la dernière fois qu'elle l'avait vu. « De quoi, moi essayant de reboire de l'alcool ou alors tu parles de cette maison que je ne pourrai sans doute jamais m'offrir » lança t-elle un petit sourire en coin en plaisantant. Soudain, Gaby apparut sans même que Jackie s'en aperçoive, trop occupée à apprécier ce petit moment avec Jake. « Jackie, Jackie, j'ai aperçu Pierce, je peux me cacher sous ta robe ? » Jackie chercha alors du regard l'ex-mari de son amie, il se trouvait qu'il était justement en train de les observer, Jackie lui adressa un sourire légèrement gêné et aussi parce qu'il était en train d'observer Gaby tentant de s'immiscer sous sa robe. Elle ne le lacha pas du regard « C'est bon, je crois que tu peux arrêter maintenant, il est partit » elle adressa un sourire à son amie qui visiblement venait de se rendre compte qu'elle n'était pas seule. Jackie ne pu s'empêcher de rire devant la gêne de Gaby, ce que ça pouvait faire du bien de rigoler un bon coup. « De toi à moi, je crois que nos ex-mari se sont donnés le mot pour venir ce soir » dit-elle en se penchant vers la jolie latino en espérant que Jake n'entende rien.

Invité

Depuis la mort d'Harold Franklin, la vie des habitants de Fairview devenait de plus en plus intéressant. Ces derniers étaient conviés à l'enterrement, puis à la mairie et enfin ils se retrouvent dans la maison de la famille Bradfort. Une famille très mystérieuse composée de quatre personnes. Jacques, le père de famille, homme très âgé avec un air plutôt intriguant. Deuxième membre de la famille, Martha. Une femme âgée qui semble être soumise à son mari, d'après les rumeurs et les enfants, Laura et Tyler. Personne ne connaissait vraiment cette famille, pourtant ces derniers invitent les habitants de Fairview à passer une soirée dans leur maison. Il semblerait que le père de famille souhaite se présenter afin de devenir le maire. Nous allons voir comment cette soirée se déroulera avec toutes les personnalités présentes à Fairview, il risque d'avoir de l'ambiance.

Il était aux environ de dix-neuf heures, Bianca et son mari étaient en train de se préparer, surtout la jeune femme qui souhaite être belle comme à chaque fois. Après une bonne heure de préparation, le couple Jones furent prêts afin de partir en direction de cette maison qui semblait bien plus riche que la leurs. C'est bien ce que remarqua Bianca, cette dernière ne pensait qu'à l'argent et elle avait bien raison, au cas où son mari ferait faillite, il fallait bien assurer son avenir. Ces derniers arrivèrent donc à destination, ils se firent accueillir par l'un des employés de la maison, Eh ben ! Ils avaient plusieurs employés, c'était pas mal. Pas comme les Jones, qui avaient seulement un jardinier et une femme de ménage. Bianca laissa donc son mari, qui partit en direction de ses amis de sexes masculins. Tandis que la jeune femme se dirigeait vers le buffet afin de se saisir d'une coupe de champagne. Elle remarqua alors France, l'une de ses meilleures amies dans le quartier. Elle prit quelques secondes afin de débuter une conversation avec la jolie blonde. « Pourquoi personne m'a prévenu que ces gens étaient riches ? » Dit-elle en chuchotant à la jeune femme, oui cette dernière ne souhaitait pas faire part de la conversation aux autres. La jeune brune observa donc les autres invités de la soirée.

Invité

Eden se devait d'être présente à cette fête. Elle n'avait pas le choix, vu qu'elle se présentait en tant que maire, même si elle n'en avait pas envie.
Du moins, elle essayait elle-même de se persuader de cela. La jeune femme possédait depuis toujours un mince côté curieux qui apparaissait souvent dans ces moments-là. Des les moments où de nouvelles personnes débarquaient en ville par exemple.
Enfilant une robe mêlant blanc, bleu et noir de manière élégante, elle partit se maquiller prestement dans la salle de bain avant d'attacher une partie de sa chevelure à l'aide d'une petite pince noire. Satisfaite du résultat simple qu'elle apercevait dans son miroir, elle commença à chercher son sac à main, qu'elle mit près d'un quart d'heure à trouver.

Se saisissant de ses clés, elle s'approcha de la chambre de son fils et ouvrit la porte. Elle l'aperçut assit sur son lit et se posta devant lui. « Comment tu me trouves ? » Il releva simplement le regard et lui sourit rapidement avant de se concentrer de nouveau sur son écran. Eden soupira et lui rappela tout de même qu'il pouvait l'appeler s'il avait besoin. Mais, au dernier moment, il se leva et la suivit. « J'ai envie de voir leurs têtes. » Il avait hérité d'un nouveau trait similaire à sa mère.

Cette dernière démarra la voiture et ils partirent rejoindre la foule de personnes déjà présentes dans la grande, l'immense entrée de la maison des Bradfort. Eden manqua d'ailleurs de s’étouffer quand elle aperçut l'imposante demeure au loin. Ces gens avaient manifestement des moyens conséquents. Julian quitta rapidement l'habitacle quand elle se gara et claqua la portière. « Fais attention Julian et... » « C'est bon, j'ai compris ! » Et il partit d'un pas enjoué. Eden secoua la tête et attrapa son sac avant de fermer le véhicule.
Elle s'avança d'un pas un peu plus mesuré que celui de son fils vers l'entrée et fut quelque peu aveuglée par les nombreuses lumières présentes à chaque recoin. Passée cette étape de l'endroit, elle se retrouva dans une pièce emplie de luxe et de délicatesse. Le tout donnait un air chaleureux et accueillant.

A peine avait-elle avancé de nouveau qu'elle sentit sa veste lui être ôtée des épaules. Elle se retourna, surprise, vers l'homme qui lui adressa un mince sourire polie. Eden le lui rendit avec enthousiasme et reporta son attention sur les personnes présentes face à elle. Elle marcha d'un pas léger vers le buffet où elle s'empara d'une fine coupe de champagne et partit la déguster un peu plus loin.
Alors qu'elle la portait tranquillement à ses lèvres tout en cherchant son enfant du regard, une voix se fit entendre derrière elle et elle sursauta. « Cette famille ne m'inspire pas confiance... »

Invité

« Ces personnes m'ont l'air sympathiques. » « Oui, si l'on veut. » « Bon, tu ne veux pas accélérer le mouvement là ! » Aaron se retourna comme il le put vers sa fille avec un regard furieux. Lily chercha le regard de sa fille dans le rétroviseur. « Camélia arrête s'il-te-plaît... » Elle posa une main sur le bras de son mari. « Et toi ne réponds pas. » Aaron serra les dents et se concentra sur la route. Il espérait être bientôt arrivé pour ne pas une fois de plus échanger des gentilles phrases poétiques avec son enfant.

Aaron cherchait du regard la fameux Jacque Bradford depuis quelques minutes déjà. Depuis qu'il était entré dans la salle pour être juste. Il avait besoin d'apercevoir de nouveau ce visage assuré et surtout original. Qui aurait eu le culot ici de faire ce qu'il avait fait ? A savoir, débarquer comme cela à la suite de l'enterrement du maire et décréter vouloir assurer sa suite.
Aaron concéda : beaucoup l'aurait fait. Mais pas lui. Pour sa part, il s'était simplement présenter de manière naturelle car il sentait que Fairview avait besoin de lui. Et que lui avait besoin de Fairview. Ville de son enfance, de son adolescence, de sa vie présente. Malgré les nombreux commérages qui s'y déroulaient, les nombreuses et dures étapes qu'il y avait traversé, les habitants tous plus uniques les uns que les autres ; Aaron aimait Fairview.

S'approchant du buffet où les coupes de champagne étaient disposées en plusieurs cercles serrés. Ces nouveaux habitants avaient des moyens impressionnants. Cherchant sa femme du regard, il l'aperçut au loin papotant avec des amies proches.
Puis il se surprit à chercher ses présentes adversaires : Gaby ainsi qu'Eden Ryan. Gabrielle se trouvait près de Jackeline et Eden patientait dans un coin de la salle. Il savait que la première, une amie de longue date, avait toutes ses chances. Mais bon, il fallait bien représenter les hommes de la ville.

Son verre à la main, il porta la coupe à ses lèvres tout en traversant la salle d'un pas lent, toujours dans l'espoir d'apercevoir l'homme de la maison. Peut-être pas forcément pour lui parler ouvertement, mais simplement pour observer son comportement face à ses invités normalement inconnus.

Avait-elle l'air ridicule ? Oui, elle avait l'air ridicule. Non mais vraiment, de quoi avait-elle l'air en train de se pencher et lever le bout de la robe de son amie, juste devant la foule ? Heureusement, peu de gens avaient remarqués ce qui se tramait, mais que voulez-vous, elle perdait tous ses moyens quand elle le voyait. Heureusement que Gabriel n'était pas venu, elle ne l'aurait sûrement pas supporté. Désormais droite, elle regardait Jake dans les yeux, un léger sourire illuminant son visage, sourire qui, au fond, cachait une profonde envie de meurtre. Oui, peut-être exagérais-je, mais vraiment, quel culot ! Jake avait fait souffrir Jackie en sortant en secret avec sa meilleure amie, si ce n'était pas mesquin ça. Mais, comment pouvait-elle juger après tout, c'était elle qui faisait sembler d'aimer son mari … A cette pensée, le visage de Gaby se décomposa. Portant sa coupe de champagne à ses lèvres, elle rit à la petite remarque de Gaby avant de regarder la totalité des présents dans la salle. « Excuse-moi. » prononça-t-elle dans une murmure en leur adressant un dernier sourire avant de s'écarter.

Aaron Hammer, son meilleur ami venait d'entrer dans la salle, et elle avait vu Eden un peu plus loin, tous les concurrents avaient finalement décidés de venir. Un sourire sur les lèvres, elle s'approcha de l'homme avant de passer son bras dans le creux du sien. « Alors, on garde un œil sur la concurrence ? » dit-elle en plaisantant en saluant d'un sourire et d'un hochement de tête la femme et l'enfant qui l'accompagnaient. « Je suis fière de toi pour t'être présenté. Je me dis que si l'un de nous deux, ou même Eden gagne, la ville sera entre de bonnes mains. » Elle le pensait. Elle était fière d'être en compétition avec deux de ses amis. Elle les connaissait et elle leur faisait confiance. « On ne peut pas en dire autant de ce … Jacques ! » renchérit-elle en utilisant un ton bourgeois lors de la prononciation du nom. « La soirée à déjà commencé et je ne l'ai pas encore aperçu. » Portant la coupe de champagne à ses lèvres, elle caressa le bras de son ami amicalement avant de sourire.

Invité

Alors qu'Aaron buvait une nouvelle gorgée de boisson et était rejoins par Lily et sa fille, il sentit un bras enserrer le sien prestement. Il n'eut pas le temps de réagir qu'il connaissait déjà la fameuse personne à son bras grâce à simple petite phrase : « Alors, on garde un œil sur la concurrence ? » Aaron se mit à rire en tournant un regard vers sa meilleure amie et actuelle concurrente. La belle Gabrielle adressa un regard à Camélia, qui partie presque aussitôt, puis à la femme d'Aaron qui le lui rendit posément. « Je suis fière de toi pour t'être présenté. Je me dis que si l'un de nous deux, ou même Eden gagne, la ville sera entre de bonnes mains. » Aaron acquiesça directement. Il pensait même exactement la même chose, comme souvent avec elle. « Je te retourne le compliment. » Un mince sourire confiant s'installa sur ses lèvres. « On ne peut pas en dire autant de ce … Jacques ! » Elle avait pris un petit accent digne de leur état d'origine qui fit rire le couple Hammer.

Elle avait tout à fait raison, qui était cet homme pour oser venir comme cela à Fairview et se porter volontaire sans souci face à des natifs de la petite ville. « La soirée à déjà commencé et je ne l'ai pas encore aperçu. » Aaron porta la coupe à ses lèvres et la termina d'une traite. « Tu as raison. On peut dire que cet homme-là est particulièrement culotté : autant pour se présenter face à nous que pour le fait qu'il ne soit toujours pas là. » Il adressa un nouveau regard circulaire à la foule. « Ni même sa famille. »

Secouant la tête négativement, il se tourna vers Lily et lui adressa un sourire avant de reporter son attention vers Gabrielle. Il leva alors son verre devant eux et observa à la lumière la verrerie étincelante. « Toutefois, on peut dire qu'il marque un point avec son champagne, il est excellent. » A la suite de cela, Aaron se saisit de la coupe de sa femme. « Je vais nous en chercher de nouvelles. » Il se tourna vers le verre de son amie, pratiquement vide lui aussi. « Je suppose que tu viens avec moi ? » Il lui adressa un clin d'oeil avant d'avancer au milieu de la foule, de plus en plus bruyante. « On l'apercevra peut-être », murmura-t-il avec une pointe de défi dans la voix.

Invité

❝ Bonsoir à tous, et bienvenue dans notre humble demeure. Sachez que c'est un plaisir pour nous de tous vous recevoir ce soir et nous espérons de tout cœur que vous passerez une excellente soirée.

Mais tout d'abord, laissez-moi vous présentez notre famille. Je suis Jacques et voici ma femme, Martha. Et mes deux enfants, Tyler et Laura. Nous venons tout droit de Dallas, où l'agitation commençait à nous ennuyer. Fairview est un petit coin de paradis dites-moi. Nous sommes persuadés que nous allons nous y plaire, de plus, le voisinage semble vraiment sympathique.

Mais bon, assez de bla bla, profitez de la soirée, amusez-vous bien. ❞

HJ : La famille bradfort se disperse dans la salle, n'hésitez pas à faire entrer vos personnages en interaction avec eux.

Invité

Bianca était toujours restée près de France, mais cette dernière ne semblait pas tellement bavarde en cette soirée. La jeune brune se fit donc rejoindre par son mari, ce dernier prit donc sa belle par sa taille afin de lui faire un petit bisous sur le cou. « Ce n'est pas le moment, Joseph. » Dit-elle en riant légèrement. Bianca adorait se faire chouchouter par son mari, mais pas à ce point qu'il devient collant, le divorce s'impose selon elle, mais tant qu'il n'y avait pas d'hommes riches dans les parages, cela ne pouvait pas se faire. Justement, homme riche en vue, il s'agissait de Jacques Bradfort, le point fort de cet homme était son âge, plus ils sont vieux, plus ils meurent plus vite et son point faible serait bien sûr sa famille. Le père fut donc un discours, pendant ce temps, Bianca goûta donc au buffet, cette dernière prit un mini-sandwich avec une chose inconnue dedans. Ce n'était pas du jambon, étais-ce du saumon ? Ou alors du, elle ne sait pas quoi ? « Ces choses sont dégueulasses, t'aurai pas un chewing-gum ? » Chuchota Bianca à son mari qui se trouvait juste à côté. Après plusieurs minutes Jacques termina son discours avant de se disperser, c'est sans compter sur Bianca de quitter son mari pour rejoindre l'un des membres de la famille, commençons par la mère, Martha. Pourquoi ne pas lui poser des questions à propos de son mari ?

Après cinq minutes de recherches, Bianca se trouva en face de la maitresse de maison, Martha Bradfort. Alors que madame Jones marchait vers cette dernière, elle se fit appeler par une personne. Avant de décrocher, Bianca prit le soin d'arriver en face de Martha. « Excusez-moi Martha, j'ai un appel. Et ne bougez pas de là ! » Dit-elle sur un ton mi-agressif. Cette dernière eut donc une conversation de plus de dix minutes, de temps en temps, la jeune femme jetait un regard sur Martha afin de ne pas la laisser s'envoler. « Vous êtes qu'une ... » Tout le monde avait alors entendu la phrase de Bianca, heureusement qu'elle n'avait pas terminé sa phrase, au cas où il y aurait des enfants, ce ne serait pas un bon exemple. « Désolé, ma banquière a dit que je ne pouvais plus faire les magasins. » Phrase destinée à Martha. Bon, entrons dans le vif du sujet avec cette dernière. « Parlez-moi un peu de votre mari. » Question directe de la part de Bianca, cette dernière n'aime pas passer par quatre chemins.

Je me tenais droite, face à l'entrée, observant les gens arriver avec une certaine attention. Cette richesse avait du mal à passer, j'en étais presque mal à l'aise. Heureusement pour moi, Bianca, ma grande amie venait d'arriver pour lui murmurer quelque chose. « Pourquoi personne m'a prévenu que ces gens étaient riches ? » Acquiesçant, je bu une nouvelle gorgée de mon champagne. « Ouais, j'en suis presque jalouse. » répondis-je d'un ton presque blasé en posant mon verre vide sur le plateau que baladait un employé à travers la pièce. La bouche en cul-de-poule, je scruta les horizons, tentant en vain de trouver les auteurs de cette prometteuse soirée. « Et sinon, ils se décident à arriver un jour ? » pestais-je avec retenue en serrant la mâchoire avant de regarder mon amie s'éloigner.

❝ Bonsoir à tous, et bienvenue dans notre humble demeure. Sachez que c'est un plaisir pour nous de tous vous recevoir ce soir et nous espérons de tout cœur que vous passerez une excellente soirée. Mais tout d'abord, laissez-moi vous présentez notre famille. Je suis Jacques et voici ma femme, Martha. Et mes deux enfants, Tyler et Laura. Nous venons tout droit de Dallas, où l'agitation commençait à nous ennuyer. Fairview est un petit coin de paradis dites-moi. Nous sommes persuadés que nous allons nous y plaire, de plus, le voisinage semble vraiment sympathique. Mais bon, assez de bla bla, profitez de la soirée, amusez-vous bien. ❞ Eh bien, quel joli discours. Comme si cette soirée avait pour seul but de se présenter. Les gens de Fairview, même s'ils en donnaient l'impression, n'étaient pas stupides, nous savions tous très bien l'idée qu'ils avaient derrière la tête : gagner la confiance en se faisant passer pour une riche petite famille. Roulant des yeux, je soupira avant de lever le regard vers Tyler, le beau brun de la famille Bradfort. Le regardant s'éloigner vers le buffet, un sourire mesquin apparut sur mon visage. Sans réfléchir, je lui barra la route. « Bonsoir, je suis France, France Jenkins. » commençais-je en tâchant d'être aimable. « Si je peux me permettre, je trouve que tes fesses sont sublimes ! » me mordant la lèvre inférieure, j'en regardais l’œuvre. La subtilité, ce n'était pas vraiment mon truc et cet homme me plaisait.

« Désolé, ma banquière a dit que je ne pouvais plus faire les magasins. » Tournant la tête vers son amie Bianca qui agressait presque Martha Bradfort du regard, je ne pu retenir mon rire. « Je suppose que c'est la pire chose qui pourrait t'arriver ! » me moquais-je, sarcastique avant de lui faire un clin d’œil amical. Ce n'était pas méchant. Qui aime bien, châtie bien.

Invité

C’était à peine si tu écoutais cette stupide France, elle avait déjà commencé à te lancer des pics mais tu n’y avais pas fait attention. Cette fille était tellement inutile que la meilleure solution était de l’ignorer. Tu la laissas donc à ses esprits et tu parcourras la salle pour t’approprier une seconde flûte de champagne. Ce champagne était d’excellent qualité, tu l’avais remarqué rien qu’au goût. Tu commençais à t’ennuyer lorsque tu remarquas d’autre concurrent au poste de maire. Tu hésitais à leur souhaiter bonne chance mais ce serait mal vu par rapport au Bradford et qui sait peut-être qu’ils appelleraient la sécurité. Après tout, tu ne connais pas ces gens là et personne n’a l’air de les connaître. Ce n’est que l’hôte de maison qui te coupa dans tes pensées, il prononça un discours ou peut-être est-ce un speech de bienvenue puis il vagua à ses occupations et alla retrouver d’autres invités. Ton regard se posa tout d’abord sur le vieil homme qui avait l’air en bonne santé malgré l’âge qu’il paraissait faire. Il devait sans doute être bourré de médicament et de produit chimique par sa femme aux allures de grande dame pour rester en aussi bonne santé. Parlons d’elle un peu, cette Martha qui se fit aborder d’une conversation par Bianca. C’est ton amie, tu aurais bien aimé la saluer mais elle était au téléphone, parlant de ses problèmes d’argent devant une femme milliardaire, quelle subtilité. Puis Laura, était-elle invisible ou je rêvai. Cette fille passait inaperçue aux yeux de tout le monde, pauvre petite. Tu n’osas pas t’approcher d’elle, elle avait vraiment l’air insociable celle-là. Enfin, nous avons Tyler. Un grand brun, bien bâtie et un bien musclé, à peine venait-il de se faire libérer des griffes de son père que France l’emprisonna. Tu devais faire quelque chose, puis il était vraiment mignon, à ton goût. Tu t’approchas d’eux, tu entendais au loin leur conversation ou du moins le monologue de France qui commençait déjà à se présenter et à lui faire des avances. Mais quelle subtilité voyons ! Tu étais à côté d’elle et tu regardas ce pauvre Tyler qui mimait un regard de détresse. « Oh la petite pervers. Je suis désolée que France t’emprisonne, elle n’a jamais été très douée pour les relations humaines. » Un petit sourire de ta part s'offrait à lui. Tu avais déjà compris son petit jeu. Un regard de killeuse traversa la pièce pour la frapper. C’était officiel, la guerre était déclarée entre les deux jeunes filles. Tu hésitais à l’idée d’humilier France encore plus, peut-être était-il temps de la laisser tranquille. Alors tu te décollas doucement du beau Tyler et tu lui tendis ta main pour qu’il puisse la serrer en ajoutant quelques mots. « Au faite, moi c’est Heather. Et si tu as du mal à te débarrasser de cette vipère, fait-moi signe. » Il serra ta main et tu lui fis un clin d’œil accompagné d’un dernier sourire puis tu te tournas les talons pour continuer de visiter un peu. Tu avais visiblement retenu l’attention du jeune homme. C’était le but, dans pas longtemps il allait te rappeler pour t’offrir un verre. Tu étais plutôt optimiste à son sujet.

Souriant aux paroles de son meilleur ami Aaron, Gabrielle passait la salle au peigne fin du regard dans l'espoir de NE PAS voir Pierce. Heureusement, Jacques, le père de la famille Bradfort chassa l'homme de ces pensées avec son discours. ❝ Bonsoir à tous, et bienvenue dans notre humble demeure. Sachez que c'est un plaisir pour nous de tous vous recevoir ce soir et nous espérons de tout cœur que vous passerez une excellente soirée. Mais tout d'abord, laissez-moi vous présentez notre famille. Je suis Jacques et voici ma femme, Martha. Et mes deux enfants, Tyler et Laura. Nous venons tout droit de Dallas, où l'agitation commençait à nous ennuyer. Fairview est un petit coin de paradis dites-moi. Nous sommes persuadés que nous allons nous y plaire, de plus, le voisinage semble vraiment sympathique. Mais bon, assez de bla bla, profitez de la soirée, amusez-vous bien. ❞

Le regardant s'éloigner du regard, je plissais les yeux avant de me mordre la langue. Il était temps de passer à l'action. « Suis-moi ! » ordonna-t-elle à Aaron en le poussant grâce aux bras qui les reliait. S'avançant vers le vieux Bradfort qui discutait avec une personne, elle attendit qu'il se retourne vers eux. « Bienvenue dans le voisinage Jacques. » Affichant un sourire quelque peu hypocrite, je le regardais de haut en bas. Il avait de l'assurance, et un certains charisme, il fallait l'avouer. « Dites, sans vouloir vous manquez de respect, vous ne pensez pas avoir … dépassé la ligne en vous présentant comme candidat ? » La subtilité ce n'était pas vraiment son fort, elle n'y allait jamais par quatre chemins. « Enfin je veux dire, vous êtes un étranger, et vous ne connaissez pas Fairview, alors que s'est-il passé dans votre tête, sérieusement ? Comment pouvez-vous penser que vous gagneriez les élections ? » Elle n'avait pas de but précis, c'était juste une question que tout le monde se posait, puis au moins, elle serait fixée et pourrait agir en conséquences.

J'avais jeté mon dévolu sur Tyler, le jeune fils de la famille Bradfort que je trouvais vraiment à mon goût et que je serais ravie de retrouver dans mes draps ce soir. Pour ce faire, je n'avais pas hésité à l'accoster et à le flatter, en le complimentant sur son postérieure plus que satisfaisant. Mes dents mordillant ma lèvre inférieure, je mettais ma poitrine en avant, faisant tout mon possibles pour lui montrer mes formes généreuses. Jusqu'à ce que cette petite peste d'Heather vint se mettre en travers de ma route. « Oh la petite pervers. Je suis désolée que France t’emprisonne, elle n’a jamais été très douée pour les relations humaines. » Serrant la mâchoire, je tournais lentement la tête, d'une façon agressive avant de lui lancer un regard assassin. « Au faite, moi c’est Heather. Et si tu as du mal à te débarrasser de cette vipère, fait-moi signe. » Le regard sombre, je ne comptais pas me laisser faire. Elle voulait jouer ? Très bien, nous allions jouer. Effaçant vite mon air énervé, j'adoptais un air ennuyé. « C'est tout Heather, détruire les autres pour obtenir ce qu'elle veut … Tyler, tu as devant toi la pire peste de Fairview. » enchaînais-je en désignait Heather du bras, fière de mon petit tour de passe-passe. Que pouvait-elle dire maintenant ? Lui lançant un regard satisfait. « Excuse-moi très cher, je dois parler à cette chère Heather. » Saisissant violemment le bras de la jeune blonde, je l’entraînais à l'écart. Une fois sûre que Tyler ne nous regardait pas, je me tournais vers elle pour lui lancer un regard rempli d'amertume. « Écoute moi bien gamine, je n'ai pas envie de jouer. Alors si tu rangeais les patates qui te servent de seins et que tu te barrais d'ici avant que je te noie dans la piscine ce serait super ! » Je n'aimais pas qu'on se mette en travers de ma route, elle devrait le savoir non ? La lâchant, je lui lançais un dernier regard. Même si elle ne semblait pas tellement convaincue, je choisissais de faire confiance à son instinct de survie. Bon, fallait que je retrouve Tyler maintenant ...

Invité

Tu étais à peine parti que France te revendiquait sa mauvaise réputation. Tu avais déjà quitté le beau Tyler que cette blonde s’avançait vers toi. Elle n’avait pas l’air d’avoir des sentiments positifs à ton égard. Elle te prit par le bras, prenant soin de bien serrer comme il le faut et commença par te menacer. Tu n’écoutais pas un traître mot de ce qu’elle disait, tu n’avais que des bouts de phrase qui résonnaient dans tes oreilles, sans plus. Elle finissait ses belles paroles en critiquant tes seins qui étaient quand même d’un haut niveau. Ce qui te vexa énormément. Une fois lâchée, libérée, tu la rattrapas, en la prenant par le bras. Et tu t’assuras de lui faire comprendre quelques sages paroles. « Mais franchement, France. La subtilité, merde. Quelle idée d’aller le voir pour lui sortir "tes fesses sont sublimes !" On aurait dit une grenouille en manque. » Disais-tu en mimant les guillemets avec tes doigts, avec exactement la même expression du visage qu’elle. « Et juste pour ça, je vais le draguer et on va se rouler des pelles à s'étouffer juste devant toi ! La guerre est déclarée, très chère. » Tu la relâchas et tu lui servis un sourire mesquin. De plus tu aurais rigolé si Tyler ne voulait ni de toi, ni d’elle ou que vous n’étiez pas son genre de fille. Ca aurait blessé l’égaux surdimensionné de la petite France. Une chose était sûre si tu continuais sur cette voie là, vous alliez toutes les deux finir dans la piscine des Bradfort à se battre pour un garçon. Sur ce, tu te tournas et tu retiras le verre de la main d’un homme pour le boire d’une traite tout en continuant ton chemin, un chemin qui t’étais inconnu. La petite discussion que tu avais eue avec elle t’avait donné soif. Tout ce qui te restait à faire était de retrouver Tyler et de lui mettre le grappin dessus.

Invité

BIANCA P. BIELINSKI-JONES : Parlez-moi un peu de votre mari.
MARTHA BRADFORT : Pourquoi je ferais ça ? Et puis-je savoir qui vous êtes ?

FRANCE JENKINS ; Bonsoir, je suis France, France Jenkins. Si je peux me permettre, je trouve que tes fesses sont sublimes !
TYLER BRADFORT : Enchanté France et heu ... merci !
HEATHER MILLS : Oh la petite pervers. Je suis désolée que France t’emprisonne, elle n’a jamais été très douée pour les relations humaines. Au faite, moi c’est Heather. Et si tu as du mal à te débarrasser de cette vipère, fait-moi signe.
TYLER BRADFORT : ...
FRANCE JENKINS ; C'est tout Heather, détruire les autres pour obtenir ce qu'elle veut … Tyler, tu as devant toi la pire peste de Fairview.
TYLER BRADFORT : ...
FRANCE JENKINS ; Excuse-moi très cher, je dois parler à cette chère Heather.

TYLER S'ENFUIT ...

S. GABRIELLE DAVENPORT : Bienvenue dans le voisinage Jacques.
JACQUE BRADFORT : Oh merci beaucoup, c'est gentil. Et vous êtes ?
S. GABRIELLE DAVENPORT : Dites, sans vouloir vous manquez de respect, vous ne pensez pas avoir … dépassé la ligne en vous présentant comme candidat ?
JACQUES BRADFORT : Eh bien, je vois que la subtilité n'est pas votre fort *rire* Eh bien, je pense que la vie est faite d'opportunités qu'il ne faut pas laisser passer. Et comme on dit, on a rien sans rien.
S. GABRIELLE DAVENPORT : Enfin je veux dire, vous êtes un étranger, et vous ne connaissez pas Fairview, alors que s'est-il passé dans votre tête, sérieusement ? Comment pouvez-vous penser que vous gagneriez les élections ?
JACQUES BRADFORT : J'ai espoir que les habitants de Fairview apprennent à me connaitre et à me faire confiance.

Invité

« Bonsoir à tous, et bienvenue dans notre humble demeure. Sachez que c'est un plaisir pour nous de tous vous recevoir ce soir et nous espérons de tout cœur que vous passerez une excellente soirée. Mais tout d'abord, laissez-moi vous présentez notre famille. Je suis Jacques et voici ma femme, Martha. Et mes deux enfants, Tyler et Laura. Nous venons tout droit de Dallas, où l'agitation commençait à nous ennuyer. Fairview est un petit coin de paradis dites-moi. Nous sommes persuadés que nous allons nous y plaire, de plus, le voisinage semble vraiment sympathique. Mais bon, assez de bla bla, profitez de la soirée, amusez-vous bien. » Et bien, ce n'était pas trop tôt !
« Suis-moi ! » Avant même qu'Aaron ait réellement eu le temps d'apercevoir chaque membre de la famille Bradfort que Gabrielle le tira à sa suite. A présent face à cet homme au charisme imposant, qui venait de cesser de parler à une autre tiers-personne de l'assemblée, les deux amis-candidats eurent tout deux de petits sourires. « Bienvenue dans le voisinage Jacques. » Ton "accueillant et chaleureux", juste avant semblant d'interrogatoire digne de la belle. « Oh merci beaucoup, c'est gentil. Et vous êtes ?» Mais Gabrielle était lancée. « Dites, sans vouloir vous manquez de respect, vous ne pensez pas avoir … dépassé la ligne en vous présentant comme candidat ? » Cette question-ci trahissait sûrement et exactement le ressenti de chacun des habitants de Fairview. « Eh bien, je vois que la subtilité n'est pas votre fort. » Peut-être pas mais sa franchise était une de ses qualités premières et tous l'adoraient ainsi. « Eh bien, je pense que la vie est faite d'opportunités qu'il ne faut pas laisser passer. Et comme on dit, on a rien sans rien. » Aaron serra les dents. Il avait à peu près le même discours que lui et cela ne ferait sûrement pas bon ménage. Mais il se devait de garder son calme. « Enfin je veux dire, vous êtes un étranger, et vous ne connaissez pas Fairview, alors que s'est-il passé dans votre tête, sérieusement ? Comment pouvez-vous penser que vous gagneriez les élections ? » « J'ai espoir que les habitants de Fairview apprennent à me connaitre et à me faire confiance. »

Aaron observa l'homme en face d'eux de haut en bas et lui tendit une main décidée, après quelques minutes à peser le pour et le contre. Autant être poli. « Aaron Hammer. » Il adressa un sourire à son amie. « Et voici Gabrielle Davenport. » Puis il observa une nouvelle fois la luxure de la pièce avant de reposer un regard plus lointain sur Jacques Bradfort. « C'est sûr qu'avec cela, les gens auront une confiance aveugle. C'est donc cela que vous pensez ? » Aaron se mit à rire avant de reprendre : « Vous voyez Jacques, ce n'est toujours pas pour être impoli, mais cela appuie une fois de plus que vous n'êtes pas fait pour ce poste. » Il se stoppa pour adresser un sourire à sa fille au loin qui détourna prestement le regard. « Je conçois que vous ne soyez ici que depuis une semaine, mais vous auriez du vous douter que les habitants de Fairview ne se laisseront sûrement pas berner par tout cet attirail. Et que c'est donc un mauvais départ pour essayer d'obtenir ne serait-ce qu'une infime pointe de confiance de leur part. Il va plutôt falloir tenter d'entrer dans la grande famille que forme Fairview, chose plus complexe que le fait d’étaler votre argent. » Aaron s'arrêta de nouveau. Peut-être allait-il trop loin ? Il regarda les personnes autour d'eux, apercevant au loin France Jenkins entraînant Heather Mills plus loin ou encore Bianca face au visage choqué de la femme de Jacques.

Aaron se retint de grimacer. Certaines familles possédaient souvent des membres qui ne s'entendaient pas forcément bien, c'était bien connu. Mais, après tout, c'est ce qu'il pensait, et ce qu'il espérait que ses voisins pensent également.

Invité

« Je suppose que c'est la pire chose qui pourrait t'arriver ! » D'accord, France se moque de moi, il ne manquait plus que ça. Je ne répondis pas oralement à cette dernière juste un petit regard noir, pas très sérieux. Bref. Je me tenais actuellement à côté de Martha Bradfort, la mère de famille de la famille Bradfort, cette chanceuse ! Elle vit dans le luxe, tout comme moi, mais cette dernière est beaucoup plus riche que ma petite personne et cela m'énervait de plus en plus. Je posai donc une petite question à la vieille dame, cette dernière me répondit plutôt froidement. « Pourquoi je ferais ça ? Et puis-je savoir qui vous êtes ? » Je dévisageai donc la jeune femme plutôt choquée. Cela se voyait qu'elle ne me connaissait pas, en six ans, jamais personne ne m'avait parlé de cette manière. « Pas la peine de faire la mystérieuse avec moi. » Oui, j'étais au courant de presque tous dans ce quartier, après Karen McCluskey et France Jenkins, je suis la commère à craindre. « Votre mari compte devenir le maire alors si ce dernier souhaite avoir mon vote, il devrait arrêter de faire le mystérieux et me donner de l'argent. » Non, je n'ai pas dis ça ? Vite, il faut que je me reprenne. « Oubliez ça ! » Je faisais bien sûr allusion à la demande d'argent, cette dernière me prendra pour une mendiante et ce n'était absolument pas mon cas.

Ma conversation avec Martha Bradfort était plutôt glaciale, après plusieurs minutes, je fis rejoint par mon mari, ce dernier me fit donc un baiser, ce qui arracha un petit sourire de mes lèvres. « Bonsoir Mme Bradfort, je suis Joseph Jones et je vois que vous connaissez déjà ma femme, Bianca. » Sourire forcé de ma part, il ne pouvait pas s'empêcher de me présenter comme sa femme, j'étais sa petite princesse et cela me plaisait bien, bon maintenant qu'il était un membre à part entière de la conversation, j'étais bien obligée de me faire passer pour la femme et surtout la voisine sympathique. « Martha et moi étions en train de parler de Jacque, justement elle comptait m'informer des projets de son mari, n'est-ce pas Martha ? » Je lui fis donc un petit regard menaçant, elle avait bien intérêt à répondre positivement, mon mariage était en jeu avec Joseph, pour ce dernier, j'étais bien la femme parfaite. Attendons voir la réaction de Martha.

« Mais franchement, France. La subtilité, merde. Quelle idée d’aller le voir pour lui sortir "tes fesses sont sublimes !" On aurait dit une grenouille en manque. » Cette petite Mills ne payait donc rien pour attendre. Lui lançant un énième regard assassin, j'hésitais a lui balancer le contenu de mon verre à la figure mais je me ravisais, ne voulant pas me faire remarquer. « Et juste pour ça, je vais le draguer et on va se rouler des pelles à s'étouffer juste devant toi ! La guerre est déclarée, très chère. » Oh oui, la guerre était déclarée, la petite Heather était aller trop loin à mon goût. La mâchoire serrée, je m'approchais d'elle d'un pas avant de lui lancer le champagne restant dans mon verre a la figure. « Maintenant, essaye d'aller le draguer comme ça, espèce de sale petite vipère ! » Lui lançant un dernier regard, je posais ma coupe sur une table avant de m'enfuir dans la foule, pour ne pas qu'Heather me rende la pareille dans la seconde. Elle avait voulue la guerre, elle allait avoir la guerre.

Désormais énervée, je cherchais Tyler du regard, non, il était hors de question de le laisser filer. Le trouvant près du buffet, je m'approchais de lui, un sourire aux lèvres. « Excuse-moi pour tout à l'heure, Heather n'est qu'un uterus ambulant. » Un sourire sur les lèvres, je me rapprochais de lui. « Alors, si on reprenait là où nous nous étions arrêtés ? » enchaînais-je en me mordant la lèvre inférieure, le ton charmeur, sensuelle.

Invité

Beurk mais qui a eu l'idée de prendre un verre d'eau! N'importe quoi!

Ah du champagne!

Oup's désolé!

Bianca! Tes fesses sont sublimes! Je sais pas si elles sont retouchées ou naturelles mais elles sont vraiment parfaites!

Mon pote, tu as vraiment une femme sublime tu sais? Fais gaffe à ce que je tente pas de te la piquer!

Super fête Madame! Je me présente je suis Barney, si vous avez un problème appelé moi, je suis flic!

Invité

BIANCA P. BIELINSKI-JONES : Parlez-moi un peu de votre mari.
MARTHA BRADFORT : Pourquoi je ferais ça ? Et puis-je savoir qui vous êtes ?
BIANCA P. BIELINSKI-JONES : Pas la peine de faire la mystérieuse avec moi. Votre mari compte devenir le maire alors si ce dernier souhaite avoir mon vote, il devrait arrêter de faire le mystérieux et me donner de l'argent.
MARTHA BRADFORT semble outrée.
BIANCA P. BIELINSKI-JONES : Oubliez ça !
JOSEPH JONES : Bonsoir Mme Bradfort, je suis Joseph Jones et je vois que vous connaissez déjà ma femme, Bianca.
BIANCA P. BIELINSKI-JONES : Martha et moi étions en train de parler de Jacque, justement elle comptait m'informer des projets de son mari, n'est-ce pas Martha ?
MARTHA BRADFORT : Absolument pas ! Cher monsieur, votre femme vient juste de me faire du chantage. (Ironique) Bianca, j'ai été ravie de faire votre connaissance, mais je pense que nous allons nous passer de votre vote. (Froide) Et maintenant sortez de ma maison.

BARNEY D. MELLARK : Super fête Madame! Je me présente je suis Barney, si vous avez un problème appelé moi, je suis flic !
MARTHA BRADFORT : (dégoutée) SÉCURITÉ ! faites moi le plaisir de jeter cet ivrogne dehors.

FRANCE JENKINS ; Bonsoir, je suis France, France Jenkins. Si je peux me permettre, je trouve que tes fesses sont sublimes !
TYLER BRADFORT : Enchanté France et heu ... merci !
HEATHER MILLS : Oh la petite pervers. Je suis désolée que France t’emprisonne, elle n’a jamais été très douée pour les relations humaines. Au faite, moi c’est Heather. Et si tu as du mal à te débarrasser de cette vipère, fait-moi signe.
TYLER BRADFORT : ...
FRANCE JENKINS ; C'est tout Heather, détruire les autres pour obtenir ce qu'elle veut … Tyler, tu as devant toi la pire peste de Fairview.
TYLER BRADFORT : ...
FRANCE JENKINS ; Excuse-moi très cher, je dois parler à cette chère Heather.

TYLER S'ENFUIT ...

FRANCE JENKINS ; Excuse-moi pour tout à l'heure, Heather n'est qu'un uterus ambulant. Alors, si on reprenait là où nous nous étions arrêtés ?
TYLER BRADFORT : Mademoiselle, vous me mettez mal à l'aise, arrêtez ça tout de suite !

S. GABRIELLE DAVENPORT : Bienvenue dans le voisinage Jacques.
JACQUE BRADFORT : Oh merci beaucoup, c'est gentil. Et vous êtes ?
S. GABRIELLE DAVENPORT : Dites, sans vouloir vous manquez de respect, vous ne pensez pas avoir … dépassé la ligne en vous présentant comme candidat ?
JACQUES BRADFORT : Eh bien, je vois que la subtilité n'est pas votre fort *rire* Eh bien, je pense que la vie est faite d'opportunités qu'il ne faut pas laisser passer. Et comme on dit, on a rien sans rien.
S. GABRIELLE DAVENPORT : Enfin je veux dire, vous êtes un étranger, et vous ne connaissez pas Fairview, alors que s'est-il passé dans votre tête, sérieusement ? Comment pouvez-vous penser que vous gagneriez les élections ?
JACQUES BRADFORT : J'ai espoir que les habitants de Fairview apprennent à me connaitre et à me faire confiance.
AARON J. HAMMER : C'est sûr qu'avec cela, les gens auront une confiance aveugle. C'est donc cela que vous pensez ? Vous voyez Jacques, ce n'est toujours pas pour être impoli, mais cela appuie une fois de plus que vous n'êtes pas fait pour ce poste. Je conçois que vous ne soyez ici que depuis une semaine, mais vous auriez du vous douter que les habitants de Fairview ne se laisseront sûrement pas berner par tout cet attirail. Et que c'est donc un mauvais départ pour essayer d'obtenir ne serait-ce qu'une infime pointe de confiance de leur part. Il va plutôt falloir tenter d'entrer dans la grande famille que forme Fairview, chose plus complexe que le fait d’étaler votre argent.
JACQUES BRADFORT : (souriant) Oh oh oh ! Ne vous méprenez pas, je ne suis pas stupide au point de croire que mon argent me mènera au sommet. J'ai de l'argent, et j'ai décidé de m'en servir sans retenue pour vous offrir une bonne soirée, en aucun cas pour vous acheter. Et ça vous l'auriez devinez vous même si seulement vous aviez eu l’amabilité d'apprendre a me connaitre avant de m'attaquer.

» TOPIC COMMUN (2) • EPISODE 1
» EPISODE 2 ◮ IT'S CHRISTMAS TIME
» TOPIC COMMUN • first clue
» EPISODE 1 ◮ SOURIEZ, VOUS ÊTES FILMÉS
» SUJET COMMUN ◮ ÉPISODE 2