ღ Our love is like the wind. I can’t see it, but I feel it. TERMINE

Djimeo rentrait tranquillement chez lui, les mains dans les poches et une allure plutôt tendue. Il n'allait pas jusqu'à sifflé son contentement mais, rien n'entravait à cette journée qui s'annonçait être une bonne journée pour lui. Il marchait actuellement sur les trottoirs de Riverton, apercevant déjà l'entrée de son appartement mais, alors qu'il détournait le regard pour admiré les immeubles en face. Il l'a vit elle. Et elle n'était pas seule, c'était bien ça le pire. Il s'est soudainement raidie et sa démarche s'est faite de plus en plus lente et mal attentionné jusqu'à qu'il s'arrête définitivement pour regardé la scène qui s'offrait à lui. Elle était là avec ce type. Un type qui n'avait rien de spécial, rien qu'à en regardé sa façon de se comporté ringarde tout comme sa technique de drague qu'il devrait sérieusement revoir. Lisea ne peut pas se laissé avoir par un type pareil et pourtant elle rit face à ce qui semble être une blague. Djimeo a eut envie soudaine de traversé ce trottoir et de faire « gentiment » ce gars partir. Pourtant, il ne fait que serré les poings et il fait son possible pour ne pas faire demi-tour alors qu'il ouvre la porte de l'immeuble. Il monte lentement les marches pour rejoindre son appartement, visiblement très énervé. La première chose qu'il fait à peine passé la porte est de se jeter sur son lit et de prendre un bouquin pour se changer les idées, pour effacer cette scène de sa mémoire. Il le sait pertinemment, il n'a pas le droit. Il n'a pas le droit jaloux à chaque fois qu'un garçon s'approche un peu trop près de Liséa à son goût, quand elle rit à leurs blagues et qu'elle semble leur porté plus d'intérêt à eux qu'à lui. Il ne peut s'en empêcher quand elle leur tient la main, se promène fièrement à côté d'eux, leur sourit parce qu'il désire tellement être à leur place. Il a beau lutté contre ces sentiments, il n'y peut rien, il est bel et bien follement amoureux de son amie d'enfance. Qui ne craquerait pas pour elle ? Elle est magnifique, ses cheveux bruns, ses yeux marron.Il fond totalement quand il la voit , son sourire, il n'y résiste pas. Devant elle, il est totalement vulnérable mais, ces sentiments ne sont pas réciproque. Il est son ami et rien de plus pour elle. Ce bouquin n'est vraiment pas efficace, il ne peut pas s'enlever cette image de la tête et il s'énerve un peu plus encore et serre un peu plus les pages du livre qui se froissent sous ses doigts. Sa journée avait bien commencé, il ne s'y était rien passé. Le matin, il était parti et elle était encore là et alors qu'il revient en fin d'après-midi, elle est avec un type qu'il n'a jamais vu mais, qu'il déteste déjà. C'est pas comme si elle lui appartenait mais, il ne peut s'en empêcher. Un claquement de porte et il se lève d'un bon. Il espère qu'elle n'a pas ramené ce type chez eux. Il se dirige précipitamment à l'entrée, abandonnant son livre ouvert sur son lit, il reprendra sa lecture plus tard. Elle est là, à l'entrée, totalement sereine alors qu'elle referme la porte, comme s'il ne se passait rien. Il est avant tout énervé contre lui-même parce qu'il n'arrive pas à se contrôler, cette fille lui fait perdre tous ces moyens et ça lui fait peur. « C'était qui ce type ? » Son ton est froid, presque tranchant. Il s'en veut déjà pour sa réaction, il n'a pas le droit, il se le répète encore, encore et encore mais, ça ne suffit pas. Il n'arrive pas à se calmer, c'est plus fort que lui. Il regrette déjà, il sait qu'il va enclenché une dispute. Son ton était tout sauf gentil et amical, il n'est pas seulement curieux. Il est jaloux, trop jaloux à son goût mais, plus il lutte contre ces sentiments, plus ils sont forts.

DJIMEO & LISEA

J’avais passé la journée avec Luca, mon nouveau petit ami, depuis deux semaines. J’aimais bien être avec lui. Il était drôle, attentionné et il faisait rire. Je dois avouer que rire de temps en temps ne me faisait pas de mal. Cela me faisait un peu oublier mes soucis. Parce qu’entre Djimeo et ma sœur Louhan je dois avouer que ce n’était pas le moral ces derniers temps. Louhan, ma sœur jumelle, avait quitté la maison familiale il y a un an maintenant et je n’avais pas eu de nouvelle. Elle était partit et je savais qu’elle n’était pas prête de revenir, cependant elle me manquait, elle me manquait beaucoup. Autrefois nous avions été très proche toute les deux, mais les choses avaient changés et elle c’était mise à me détester. Puis suite à son départ je m’étais mise à sauter des repas, et surtout à me mutiler. Bien sûr personne ne le savait car je prenais soin de le cacher.

Mais il n’y avait pas que ça qui me tracassait. Il y avait aussi Djimeo. Lui et moi nous connaissions depuis que nous étions tout petits. Je crois que le jour de notre rencontre j’avais quatre ans et il devait en avoir cinq. Nous étions tout de suite devenus amis, étant dans la même classe depuis la maternelle. Mais depuis quelques temps les choses étaient difficile. Nous passions notre temps à nous disputer. C’était d’ailleurs il y a quelques mois, alors qu’il avait commencé à sortir avec une fille, que je m’étais rendu compte de ce que je ressentais pour lui. J’avais été jalouse et, pas très sympa. J’avais fini par trouver un moyen de les faire rompre sans qu’il sache que j’étais dans le coup. Je sais que c’est vache venant d’une amie mais je n’avais pas supporté de le voir embrasser une autre fille. En réalité je l’aimais depuis un moment mais jamais je ne lui avais avoué. Je ne voulais pas gâcher notre amitié, même si en ce moment je ne savais pas si nous étions encore amis tellement nous nous disputions. Mais le plus dur dans tout ca, c’est que nous vivions dans le même appartement. Lorsqu’il n’était qu’un ami à mes yeux j’avais trouvé cette idée géniale parce que nous étions inséparable et que vivre avec lui me paraissait une bonne idée, mais depuis qu’il me plaisait… Ça n’était plus pareil. Enfin bref, posé devant l’immeuble avec Luca, j’avais vu Djimeo rentrait à l’appartement. Je pris quand même mon temps pour dire au revoir Luca en l’embrassant. Mais chaque fois que j’embrassais un mec c’est à Djimeo que je pensais… Après avoir regardé Luca s’éloigner, je montais à l’appartement. A peine entré je compris à la voix de Djimeo qu’une nouvelle dispute allait éclater. « C'était qui ce type ? ». Je soupirais discrètement et tout en enlevant mes chaussures je lui répondis, essayant de rester calme. « Ce ‘type’ comme tu dis c’est mon petit ami. Et il a un prénom il s’appelle Luca. ». Mais je connaissais très bien Djimeo, je savais qu’il n’allait pas lâcher le sujet comme ça. Il avait d’ailleurs lui aussi tendance à faire capoter mes relations amoureuse. Il se montrait un peu trop protecteur, enfin c’est ce que je pensais… L’amour rend aveugle…

Elle semblait calme, trop calme à son goût ce qui n'avait pas le don d'atténué sa colère. Lui, il n'y arrivait pas, à resté calme, c'était trop lui demandé d'essayé d'intériorisé et de passé par dessus ce qu'il ressentait. Il fallait toujours qu'il explose, qu'il s'énerve et qu'il entraîne une dispute. Il s'en veut à cause de ça mais, ça n'empêche rien. Il recommence toujours et il recommencera toujours. Pour qu'il arrête de hurlé, il faudrait qu'ils soient ensemble, qu'il sache que c'est lui qu'elle aime mais, ils sont tous les deux aveugles et ne voient pas ce que les autres ont remarqués depuis longtemps. L'amour qu'ils se portent l'un à l'autre. « Ce ‘type’ comme tu dis c’est mon petit ami. Et il a un prénom il s’appelle Luca. » Génial, il peut mettre un nom sur le visage de son nouvel ennemi juré. Son nouveau petit ami ? Il n'était même pas au courant qu'elle sortait avec quelqu'un en ce moment, il était bien trop heureux qu'aucun idiot ne soit en train d'enfoncé sa langue dans sa bouche devant lui. Rien que d'y repensé, ça le répugne. Si c'était lui, bien sûr, ça serait beaucoup plus agréable à supporter mais, il s'interdit formellement de pensé à comment ça pourrait être s'ils étaient ensemble, à quel point il pourrait être heureux, il ferait tout pour l'a comblé mais, il n'a pas le droit d'y pensé pour son moral. Il serait mauvais pour lui d'envisagé d'un avenir qui n'arrivera jamais. « Depuis quand tu sors avec lui ? Pourquoi je suis même pas au courant ?! » Il liste tous ces amis pour voir si il connaît ce Luca mais quand il l'a aperçut dans la rue, il n'avait pas l'impression d'avoir déjà vu ce gars quelque peu. Peu importe qui il est de toute manière, il n'est pas bon pour Lisea. Ne lui demandez pas comment il le sait, c'est une intuition et ça sera forcément la bonne. Il avait louche, il ne pense qu'à couché, il trouvera bien une excuse à refourgué pour ne pas l'apprécié même si il n'y en a pas et qu'il ne le connaît pas. Ce fut toujours comme ça, tous les petits mais de Lisea ont été hais par Djimeo, même quand il ne réalisait pas encore ces sentiments pour elle. Il se fichait pas mal de savoir qu'il était même si elle serait sortit avec un prêtre, il aurait dit que le garçon avait de mauvaises attentions envers elle. Puis ce Luca avait une tête qui ne lui revenait pas, une allure un peu de « bad boy » à son goût même si il n'en était rien. Il ne fait que donné son avis après tout. « Peu importe qui sait. De toute manière, il n'est pas fait pour toi. » C'était insensé, il ne savait même pas ce qui était bon pour elle ou non. Il était son ami d'enfance, il n'avait pas un mot à dire sur les garçons avec qui elle choisissait de sortir mais, après tout, il était tout de même son ami et s'ils ne s'entendaient pas avec son petit ami pour des raisons valables, il avait tout à fait le droit de le haïr mais, là, il n'avait ni le droit à cause du faite qu'il avait hait tous ces copains et qu'il n'avait jamais eût aucune raison valable. Mais pour lui, le faite que toutes ces relations aient finit par des échecs et de douloureuses ruptures étaient une victoire en soi. Oui, une victoire comme si c'était une sorte de compétition, de jeu. Une sorte d'amusement de la faire rompre avec tous ces petits amis mais, ça n'avait rien d'amusant. Il était juste persuadé que c'était pour son bien à elle, il pensait que ça ne faisait rien de mal de juste accéléré la rupture de son couple. Il n'était jamais fait pour, que pouvait-il à cela ? Quand il serait persuadé que celui sur lequel elle est tombé est le bon, il l'a lassera et ne fera rien pour les faire rompre mais, en attendant, il cherche déjà une nouvelle solution pour mettre fin à ce tout nouveau couple. Il s'en voudra certainement après, des remords, il en a toujours et encore mais, il passe par-dessus. Pour ça, il arrive à faire l'impasse mais, pas pour sa jalousie où il n'y a pas de sortie de secours. Qui échappe à l'amour ?
Il a déjà songé à prendre un autre appartement, pour prendre de la distance mais, il se dit que si il déménageait, leur amitié se finirait peut être là. C'est vrai, depuis qu'il a réalisé qu'il était amoureux d'elle, il y a trop de tentions au sein de leur amitié. C'est devenu presque invivable et ça lui fait mal parce qu'il a parfois le sentiment de l'a perdre un peu plus chaque jour. Alors, il préfère resté là en espérant que leur longue amitié ne s'efface pas là à cause de ces sentiments. Ces sentiments qui l'épuisent un peu plus chaque jour, il lutte contre, il a peur de tout gâché. S'il lui révélait l'aimé, qu'est-ce qu'ils deviendraient ? Elle serait sûrement gênée et ne pourrait plus le regardée, incapable d'osé lui dire que ce n'est pas réciproque de peur de lui faire du mal. Ils se retrouveraient à la fin et ça s'arrêterait là. Non, il n'ose même pas y pensé. Il préfère faire semblant. « En faite, tu sais quoi, fais ce que tu veux. C'est un idiot et tu vas te faire brisé le coeur. » Il ne compte pas s'arrêté là, la dispute ne fait que commencé et il espère parvenir peut être à la raisonné et à la faire rompre avec ce "Luca".

DJIMEO & LISEA

Depuis maintenant quelques années j’avais eu plusieurs petits copains. Au départ Djimeo ne c’était pas montrer aussi ‘protecteur’, il me laissait faire mes expériences et me faire briser le cœur. Bien que je n’ai jamais vraiment été amoureuse comme je l’étais de Djimeo les ruptures m’avaient quand fait mal. Puis depuis quelques mois Djimeo ne faisait que s’interposé dans mes relations ce qui avait le don de m’énerver, de me mettre hors de moi. Il avait déjà fait tomber à l’eau plusieurs de mes relations en racontant des conneries ou en jouant au con. En fait j’avais découvert cette facette de lui il y a peu de temps et je ne l’aimais pas beaucoup il fallait bien l’avouer. Il mettait toujours le bordel dans ma vie. Il était du genre à chercher les disputes à chaque fois que j’avais un nouveau petit ami. Je ne savais pas pourquoi il agissait comme ça mais ce ne pouvait sérieusement plus continuer. « Depuis quand tu sors avec lui ? Pourquoi je suis même pas au courant ?! » Je n’étais pas du genre à m’énerve vite mais il faut avouer que Djimeo savait exactement comment m’énerver en quelques secondes. Je retirais ma veste, l’accrochait dans l’entrée et me tournais vers lui et le fusillait du regard. « Premièrement ça ne te regarde pas c’est ma vie PRIVEE. Et deuxièmement tu sais très bien pourquoi t’es pas au courant. Quand t’arrêtera d’être con peut être que je te dirais quand j’ai un petit copain. » Cela faisait quelques mois que j’avais arrêté de lui dire lorsque j’avais un nouveau petit ami. Mais il finissait toujours par le savoir. Essayant de rester calme je partis à la cuisine chercher une bouteille d’eau mais il me suivit.

Essayant de l’ignorer je me posais au petit bar de la cuisine et envoyait un texto à Luca. J’aurais voulu qu’il vienne mais c’était surement une très mauvaise idée vu l’état dans lequel se trouvait Djimeo. « Peu importe qui sait. De toute manière, il n'est pas fait pour toi. » Cette phrase eu le don de me faire exploser. Non mais sérieusement il jouait à quoi ?! Ce petit jeu commençait vraiment à me peser. Je l’aimais c’était une chose, mais nous étions censés être amis. Si je sortais avec des mecs c’était simplement pour essayer de l’oublier, simplement parce que je savais qu’il ne ressentait rien pour lui. Et le fait de me voir toujours me reprocher ce que je faisais ou avec qui je sortais me faisait vraiment mal. Je me levais et me mis face à lui. « C’est quoi ton problème hein ?! Tu ne le connais même pas ! Je sais pas ce que tu as contre moi en moment mais ce devient vraiment lourd ! Tu cherches quoi exactement hein ? A me blesser ? Tu parles des mecs avec qui je sors mais tu es le premier à coucher avec la fille qui passe quand tu es en soirée alors t’as rien à dire. » Il fallait que je prenne l’air, il fallait sérieusement que je sorte d’ici. Je me dirigeais vers ma chambre, pris quelques habits que je mis dans un sac avant de prendre mes affaires de toilettes. Je ne supportais plus cette situation. J’allais aller chez mon frère quelques temps et si les choses s’arrangeraient alors peut être que je reviendrais mais pour le moment il fallait sérieusement que je prenne mes distances avec lui. Et puis peut être que cela m’aiderais à l’oublier, à passer à autre chose. « En fait, tu sais quoi, fais ce que tu veux. C'est un idiot et tu vas te faire briser le cœur. » Lui tournant le dos j’essuyais une larme de colère et de tristesse que je sentis couler sur ma joue. Je me tournais ensuite vers lui et m’avançais pour lui faire face. « Le seul idiot c’est toi ! Si je me fais ‘briser le cœur’ comme tu dis, je te signale qu’à chaque fois c’est TA faute ! Et tu sais pourquoi ? Parce qu’à chaque fois c’est toi le con dans l’histoire. C’est toi qui gâche tout, pas mon petit ami ! » Je pris mon sac sur mon épaule et commençait à m’éloigner. Mais je fini par me tourner vers lui et repris la parole. « Tout ce que tu gagnes en agissant comme ca c’est que tu vas perdre mon amitié Djimeo. Je pensais te connaitre, je pensais que t’étais un mec en or et pourtant faut croire que je me suis planter hein ? » Dis-je d’une voix plus calme mais blessé de son comportement.

Elle lui avait toujours parlé de tout et jamais rien caché jusque là, certainement pas un petit ami mais, il exagérait ces temps-ci. La voir avec un autre homme le mettait totalement hors de lui et bien sûr, tout se transformait en une dispute. Une fois, Djimeo avait frappé l'un des petits amis de Lisea autant dire que ça n'avait pas plu à la jeune fille, pas la peine de dire comment ça s'est finit, tout le monde le sait : en dispute. En ce moment dans leur appartement, il n'y a plus que ça des cris à longueur de journée, le seul moment de paix est quand l'un est absent. Les moments où ils sont tranquillement tous les deux à rire sont devenus de plus en plus rare voir même inexistants. Djimeo regrette beaucoup leur amitié qui s'efface et il culpabilise car, il sait que c'est en partie de sa faute si tout ça arrive. « Premièrement ça ne te regarde pas c’est ma vie PRIVEE. Et deuxièmement tu sais très bien pourquoi t’es pas au courant. Quand t’arrêtera d’être con peut être que je te dirais quand j’ai un petit copain. » Il avait tout à fait le droit de savoir, il était son ami. Ils ont toujours été très proche et ce n'est pas quelque chose d'aussi ridicule qu'elle pourrait lui caché, vie privée ou non. Avant, elle n'avait jamais ressentit ce besoin mais, Djimeo malgré qu'il tenait de se donné raison, savait qu'au fond, il était tout à fait normal qu'elle le lui cache après tout ce qu'il faisait mais, elle n'était pas non plus blanche comme neige. S'il se comportait comme un con, c'était avant tout pour la protégé. Enfin, c'est la raison qu'il préférait donné parce que la jalousie, il ne pourrait pas vraiment l'expliqué sans passé par la case 'sentiments' et le 'je t'aime' qui en suit. Il ne voulait pas se ramassé un râteau, ça serait gênant et autant dire que leur amitié serait tout simplement totalement gâché. Elle alla à la cuisine et Djimeo l'a suivit, décidé à poursuivre la dispute. « Non, je comprends pas. Je fais tout ça pour te protégé. Ces mecs sont tous des nazes et je t'évite de trop t'attaché avant qu'il te brise le cœur. Je fais ça parce que je tiens à toi. » Il exagérait, beaucoup trop mais, sa cause était la bonne. Ces mecs n'étaient pas tous méchants, il n'allait pas tous détruire Lisea, pas tous lui brisé le cœur. Elle aurait pu vivre de belles et longues histoires d'amours avec certains d'entre eux mais, il ne fallait pas compté sur Djimeo pour juste regardé le spectacle. Tout ça, c'était une question d'instinct, il trouvait que tous ces mecs avaient un défaut, quelque chose qui clochait, qui n'était pas bon pour Lisea alors, il était normal qu'il intervienne. Peut être pas à chaque fois non plus mais, il le fallait, c'est comme ça. Elle s'asseya tranquillement au bar de la cuisine, tentant de l'ignoré. Il ne fallait pas rêvé, ça ne s'arrêterait certainement pas là. Djimeo l'a suivait, partout où il irait. Elle pouvait bien tenté de faire comme si il n'était pas là, comme si il ne lui hurlait pas dans les oreilles à l'a rendre soude, ça serait simplement impossible. « Peu importe qui sait. De toute manière, il n'est pas fait pour toi. » Toujous persuadé qu'il a raison, il est en tord sur rien, il ne fait rien de mal. Il ne connaissait même pas Luca, il n'avait aucun droit. Elle était son amie, il n'avait pas le droit de s'imposé ainsi, de l'a serré de chacun de ces petits amis. Il avait totalement dépassé la limite de ce qu'un ami avait le droit de faire pour une amie. C'était tout simplement parce que pour lui, Lisea était nettement plus qu'une amie. Il était fou amoureux d'elle et même si il était persuadé que ce n'était pas réciproque, il avait tendance à se prendre un peu trop pour son petit ami à toujours être derrière son dos et jalousé tous les mecs qu'elle approche. Quand elle est rentré, il aurait juste du lui sourire. Si leur amitié avait été normal et sans plus, il aurait sourit et elle aurait sourit puis, ils auraient parlés, comme des amis normaux qui n'ont aucun sentiments l'un pour l'autre. Il en était incapable. « C’est quoi ton problème hein ?! Tu ne le connais même pas ! Je sais pas ce que tu as contre moi en moment mais ce devient vraiment lourd ! Tu cherches quoi exactement hein ? A me blesser ? Tu parles des mecs avec qui je sors mais tu es le premier à coucher avec la fille qui passe quand tu es en soirée alors t’as rien à dire. » Elle avait raison, encore une fois. Il n'aimait pas ça. C'est vrai qu'il n'avait jamais vraiment connu tous ces petits amis, sympathisés et essayé d'en savoir plus sur eux avant de crié qu'ils étaient mauvais et ne voulait rien de plus que du sexe avec elle parce que c'était une jolie fille.Elle avait aussi raison sur le faite qu'il couchait généralement avec la première fille qui passait lorsqu'il était en soirée, pourtant, il n'était pas d'un naturel dragueur mais, c'était uniquement pour oublié Lisea. Mais aucune filles n'était jamais parvenu à ce miracle. Et voilà qu'elle commençait à partir, non mais, qu'est-ce qu'elle fichait ? Il était dans une discussion très importante. « En fait, tu sais quoi, fais ce que tu veux. C'est un idiot et tu vas te faire briser le cœur. » Elle lui tourna le dos ce qui eût le dos d'agacé Djimeo, elle ne pouvait pas lui faire face ? « Le seul idiot c’est toi ! Si je me fais ‘briser le cœur’ comme tu dis, je te signale qu’à chaque fois c’est TA faute ! Et tu sais pourquoi ? Parce qu’à chaque fois c’est toi le con dans l’histoire. C’est toi qui gâche tout, pas mon petit ami ! » Elle commençait à partir, où elle allait ? Elle fuyait où quoi ? Il ne servait pas à rien de fuir la dispute, elle aurait lieu à nouveau de toute manière. Mais il ne voyait pas pourquoi, elle avait besoin d'un sac pour partir. « T'as pas le droit de tout mettre sur mon dos ! Si je fais, c'est pour te protégé, je te l'ai déjà dit. Et de toute manière, si ils tenaient vraiment à toi, ils ne rompraient pas au moindre obstacle. Hey, où tu vas ? » Elle me faisait face maintenant, elle avait l'air furieuse. Le jeune homme savait l'énervé, c'était sûr. « Tout ce que tu gagnes en agissant comme ca c’est que tu vas perdre mon amitié Djimeo. Je pensais te connaitre, je pensais que t’étais un mec en or et pourtant faut croire que je me suis planter hein ? » Non mais, il était toujours le même. Il est... Juste totalement changé par ces sentiments et sa jalousie qui l'aveuglent totalement et le rende infecte avec elle. Il n'y peut rien mais, il aimerait tellement être à la place de tout ces gars, lui tenir la main, rien que ça, ça serait déjà le rendre heureux. En faire l'homme le plus heureux du monde. « Mais tu me connais ! Je suis toujours pareil. Tu t'es pas plantés, je t'évite juste de souffrir. Tu comprends pas. Et c'est pas comme si tu n'avais jamais rien fait non plus. » Sur ce point, il avait raison. Mais ce qu'il l’inquiétait surtout, c'est où elle partait avec son sac à dos.

DJIMEO & LISEA

Comment avions nous put en arriver là sérieusement ? Il y a peine un an nous nous entendions parfaitement bien tous les deux. Nous rigolions en regardant des films débiles, et il se moquait gentiment de moi lorsqu’on regardait des films d’horreur. Il y à peine un an nous étions inséparable et surement les meilleurs amis qui puisse exister. Je lui parlais de tout et lui faisait de même. Mais il faut croire que toute bonne chose a une fin pas vraie ? Eh bien depuis quelques mois c’était devenu l’enfer entre nous, plus rien n’allait et cela me faisait beaucoup de mal. Même avant de me rendre compte que j’avais des sentiments pour lui j’avais toujours beaucoup tenu à lui et il faut avouer j’avais horreur de mes disputes avec les personnes que j’aime. Ma sœur par exemple, mon frère et pire que tout Djimeo. Pourtant c’était devenu notre quotidien. Il ne se passait pratiquement aucune journée sans que l’on se dispute et c’était vraiment pesant. Djimeo n’était en plus pas du genre à lâcher l’affaire tant qu’il n’avait pas ce qu’il voulait. Nos pauvres voisins devaient vraiment en avoir marre. Me dirigeant vers la cuisine il me suivit et continua de m’énerver. « Non, je comprends pas. Je fais tout ça pour te protégé. Ces mecs sont tous des nazes et je t'évite de trop t'attaché avant qu'il te brise le cœur. Je fais ça parce que je tiens à toi. » Ca c’était la pire excuse qu’il ait pu trouver, il faisait ça pour me protéger. Seulement il gâché toujours tout surtout quand je commençais à être vraiment heureuse avec un mec. Bon d’accord peut être que je pensais à lui quand j’étais avec mon copain, que je pensais à lui quand je couchais avec mon copain mais j’espérais qu’un jour je finirais par l’oublier. « J’ai pas besoin de toi pour me protéger je suis assez grande pour ça ! Et ces gars ne sont au moins pas aussi nazes que toi ! Alors lâche moi et laisse-moi vivre ma vie bordel ! »

Ces disputes me fatigué réellement. J’avais toujours cru qu’elles finiraient par cesser, que Djimeo arrêterait d’être aussi protecteur et que les choses finiraient par s’arranger mais en réalité les choses ne faisaient qu’empirer. Nous ne pouvions pas nous voir sans se prendre la tête et il m’arrivait, presque tous les soirs, de pleurer dans mon lit. Djimeo n’avait jamais fait d’efforts lorsque j’avais un petit ami, jamais il n’avait essayé de le connaitre et de savoir si il était un gars bien ou non. Dès qu’il me voyait avec un garçon il était forcément mal et il voulait juste me mettre dans son lit, ce qui était faux. Et puis je n’avais pas de leçon à recevoir de lui parce qu’il était le premier à prendre une fille juste pour coucher avec elle lors d’une soirée. Enervé et blessé j’avais fini par préparer un sac. C’était trop pour moi, il fallait que je parte d’ici, que je change d’air et si il n’était pas d’accord eh bien tant pis pour lui. Je retenais mes larmes alors que Djimeo continuait de faire des remarques dans mon dos. « T'as pas le droit de tout mettre sur mon dos ! Si je fais, c'est pour te protégé, je te l'ai déjà dit. Et de toute manière, si ils tenaient vraiment à toi, ils ne rompraient pas au moindre obstacle. Hey, où tu vas ? » Je sentis dans sa voix qu’il n’avait pas envie de je parte. Mais pourquoi ? Est-ce qu’il prenait plaisir à ce que je lui serve de pushing ball, qu’il se défoule sans cesse sur moi ? Ignorant sa question je pris la parole, fulminant encore plus. « Pourtant si je perds mes petits amis à chaque fois c’est ta faute je te signale ! Quand est-ce que tu vas comprendre que je n’ai pas besoin de toi ! J’ai 21 ans Djimeo alors fiche moi un peu la paix ! » Allant vers la porte d’entrée, j’essuyais une nouvelle larme de colère sur ma joue. Je crois que je n’avais jamais été autant en colère que je l’étais à présent. Pourtant je n’étais pas du genre à m’énerver facilement mais Djimeo avait le don de savoir exactement comment m’énerver, il me connaissait tellement bien que c’était facile pour lui d’appuyer sur le point sensible. « Mais tu me connais ! Je suis toujours pareil. Tu t'es pas plantés, je t'évite juste de souffrir. Tu comprends pas. Et c'est pas comme si tu n'avais jamais rien fait non plus. » Il avait raison sur ce coup là, je l’avais fait rompre une ou deux fois avec ses petites amies, mais c’était diffèrent. Parce que déjà je les connaissais et ensuite parce que je savais qu’elle se servait de lui, mes actes étaient justifiés. Me tournant vers lui, me calmant légèrement je repris la parole, ma voix tremblante. « Tu sais quoi Djimeo ? Je crois que c’est mieux qu’on se voit plus quelques temps. Je vais allez chez mon frère quelques temps. Si c’est ce que tu voulais eh ben félicitation t’as gagné. Ne m’appelle pas et ne vient pas me voir. » En réalité je n’avais pas envie de partir. Je voulais juste que les choses s’arrangent, je voulais que l’on soit amis comme avant ou alors que mes sentiments soient réciproque, mais ce je savais que ça n’était pas possible.

Il avait le sentiment d'être coupable de cette éloignement entre eux. Il était tellement jaloux, beaucoup trop à son goût. Cette jalousie était la cause de toutes leurs disputes, de toutes ces prises de têtes qui n'en finissaient jamais. Il aimerait tellement qu'elle lui sourit à nouveau, qu'ils rigolent à nouveau ensemble. Elle est l'une de ces plus proches amies, il l'a connaît presque toujours, depuis dix-sept ans. Il sait que ça lui fait autant mal à elle mais, il est tellement impulsif. Il ne sait pas gardé ces émotions pour lui, explosé, c'est ce qu'il sait faire de mieux. Il se sent mal et se disputé avec elle est loin d'être la chose qu'il préfère, il préfère comme c'était avant, quand ils s'entendaient à merveille, quand ils s'entendaient comme de simple amis. Au moins, même si il n'a jamais aimé tous ces copains, à cet époque là, il ne disait rien et il arrivait à s'en foutre. Même si il n'aimait pas son copain, il n'avait pas l'envie immédiate de faire en sorte qu'ils rompent. Il s'en fichait, il se disait que c'était son choix, son problème et il riait avec l'autre gars sans se posé vraiment de questions. Maintenant, la jalousie l'avait emporté. Il était persuadé d'avoir raison, de faire ça pour son bien, ils allaient tous l'a faire souffrir. Il ne se croyait pas mieux qu'eux pour autant. Ces garçons étaient souvent mieux que Djimeo, il ne couchait pas avec la première fille qu'il passait et même si Djimeo les disaient naze. Il y en avait qui étaient nettement mieux que lui comme petit ami, proche de la perfection mais, là, c'était limite ennuyeux. C'est bien d'avoir de l'action mais, comme c'est chez Djimeo et Lisea, il y en a peut être trop. Djimeo voudrait que ça se calme même si il est celui-ci qui cause généralement ces disputes. « Non, je comprends pas. Je fais tout ça pour te protégé. Ces mecs sont tous des nazes et je t'évite de trop t'attaché avant qu'il te brise le cœur. Je fais ça parce que je tiens à toi. » Il mentait car, il ne voulait pas l'a protégé. Il était juste jaloux, la protection, c'était autre chose, il ne faisait pas autant pour ces autres amis. Il ne hurlait pas comme ça. C'était surtout parce qu'il l'a voulait pour lui tout seul. C'est une très mauvaise excuse. Il aurait pu trouvé nettement mieux, il le savait mais, il n'a trouvé que ça à lui dire parce qu'il ne veut pas lui dire qu'il est jaloux, qu'il est raide dingue d'elle. Il va gâché leur amitié sinon, même si il est déjà en train de la perdre. Ces sentiments l'étouffent et tuent leur amitié en même temps, il devrait lui dire, ça les libéreraient, tous les deux. Mais il n'ose pas et d'une manière ou d'une autre, c'est leur amitié qui en paie les frais. C'est un trop gros secret, il ne peut plus le préservé, il ne peut plus le gardé rien que pour lui. «J’ai pas besoin de toi pour me protéger je suis assez grande pour ça ! Et ces gars ne sont au moins pas aussi nazes que toi ! Alors lâche moi et laisse-moi vivre ma vie bordel ! » Il s'énervait encore un peu plus, si, elle avait besoin de lui. Il l'a suivait de la cuisine à sa chambre. Voilà qu'elle commençait à faire son sac, ce qui l'agaçait au plus au point. Okay, ils n'arrêtaient pas de se disputés mais, ce n'était pas une raison pour partir. Puis de toute manière, où irait-elle ? Il ne voulait vraiment qu'elle parte et il culpabilisait, ce qui lui donnait un arrière goût amère dans la bouche. Tout ça, c'était de sa faute mais, il ne compte pas lâché prise. « Bien sûr que si tu as besoin de moi. Qu'est ce que tu fais, là ? Pourquoi tu fais ton sac ? » Il essayait de continué à râlé et de faire ces remarques débiles mais, l'a voir faire ces bagages lui coupait l'envie de continué la dispute. Son ton était un peu moins froid et sa voix se perdait dans le vide. Il avait peur qu'elle parte, c'était la dernière chose qu'il voulait. Il voulait s'arrêté et l'a serré dans ces bras et lui dire qu'il était désolé. Désolé d'être la cause de tout ça, d'être un imbécile. De ne pas osé lui dire mais, il a peur. Il a tout le temps peur, peur de la perdre, peur que ce ne soit pas réciproque, peur qu'elle s'éloigne. Il sentait terriblement mal, là, à l'a regardé plié bagages. Tout ça c'était sa faute. Il ressentait un pincement au cœur, la douleur grandissait à lui. Elle lui tournait le dos et mettait tous fringues dans sa valise alors que lui, il hurlait derrière elle. Il continuait et pourtant, il n'en avait plus envie. Tout ça étant sans queue ni tête. Il se sentait ridicule.Il avait dépassé les limites, il avait beau culpabilisé après, il ne s'en rendait pas compte. Elle avait raison, elle avait le droit de s'éloigné. Peut être que ça serait mieux au fond de prendre un peu de distance mais, il n'en avait pas envie. Peut être que ça leur permettrait à tout les deux de réfléchir un peu, ça leur permettrait de respirer. Tout irait peut être mieux si elle partait, peut être qu'en revenant, tout ça serait finit et qu'ils pourraient reprendre leur amitié comme avant. Ou alors, ça pourrait empiré, le départ, Djimeo lui en voudrait peut être. En tout cas, peu importe si c'était bénéfique ou non, tout ce que voulait Djimeo, c'était qu'elle reste malgré les paroles qu'il lui balançait à la figure à l'instant. «Pourtant si je perds mes petits amis à chaque fois c’est ta faute je te signale ! Quand est-ce que tu vas comprendre que je n’ai pas besoin de toi ! J’ai 21 ans Djimeo alors fiche moi un peu la paix ! » Elle avait raison, encore une fois. Si elle perdrait ces petits amis, à chaque fois c'était à cause de Djimeo mais, au fond, il se rassurait en se disant que si ces garçons l'aimaient vraiment, il ferait n'importe quoi pour resté avec elle même passé par-dessus un ami un peu trop collant qui manque de vous tapés dessus à chaque fois que vous ouvrez la bouche. Djimeo, il resterait avec elle même si ce problème s'imposait parce qu'il l'aime tellement, il serait prêt à tout pour elle mais pour le moment, tout ce qu'il fait, c'est l'étouffé. « Où tu vas ? Réponds ! Putain, qu'est-ce que tu fous ? » Elle avait déjà évité la question, il y a cinq minutes. Maintenant, ils étaient devant la porte d'entrée et Djimeo avait tout sauf envie qu'il passe la porte qu'ils commencent à se disputés dans le couloir de leur immeuble. Comment si ils n'offraient déjà pas assez de spectacle à leurs voisins ? « Tu sais quoi Djimeo ? Je crois que c’est mieux qu’on se voit plus quelques temps. Je vais allez chez mon frère quelques temps. Si c’est ce que tu voulais eh ben félicitation t’as gagné. Ne m’appelle pas et ne vient pas me voir. » Voilà, il les avaient les réponses à ces questions. Il n'en avait pas envie, il ferait n'importe quoi pour l'a retenir à l'instant. Elle ne pouvait pas partir, pas au milieu du dispute. Elle était tout pour lui, il ne voulait surtout pas qu'elle passe la porte de cette appartement. Il tenait beaucoup à elle même si en moment, tout ce qui restait entre eux c'était des disputes, de la jalousie et de la frustration. Son cœur tapait douloureusement contre sa poitrine, il fallait qui dise quelque chose. Il ne savait pas quoi. « Reste Lisea, s'il te plait. Tu peux pas me laissés ici. J'ai besoin de toi. Je sais que en ce moment, c'est tendu. Insupportable, même. Mais si il te plaît, pars pas. Je ferais des efforts. C'est juste que je supporte pas tous ces crétins parce que... Je... Je tiens beaucoup à toi. J'ai peur de te voir souffrir. Je veux dire : Reste. » Il a faillit le dire. Trois mots et sept lettres. Il s'est totalement dégonflé, il n'a pas le courage de lui dire. Qu'est-ce que ça ferait ? Elle serait gênée, troublée, que lui dirait-elle ? Je t'aime aussi relèverait du miracle, comme si elle pouvait être amoureuse de lui, ça serait vraiment... Non, c'est impossible.

DJIMEO & LISEA

« Bien sûr que si tu as besoin de moi. Qu'est-ce que tu fais, là ? Pourquoi tu fais ton sac ? » C’est vrai que j’avais besoin de lui, mais je n’avais pas besoin de lui en ce moment, pas quand il jouait au crétin. « Non j’ai pas besoin de toi ». Djimeo avait souvent été la personne sur qui je pouvais compter, il avait souvent été là pour me soutenir, pour me remonter le moral. Mais ces derniers temps ce n’était plus le cas. Il ne faisait qu’accroitre le fait que je n’allais pas bien. Lorsque ma sœur était partit, il y a un de cela, il avait toujours été le premier à être la pour moi, il avait été le premier à me serrer dans ses bras en me disant que ça irait. Mais aujourd’hui mon plus grand réconfort c’était les peluches avec lesquels je dormais la nuit, c’était de plus en plus souvent que je me retrouvais le soir à pleurer dans mon lit sans osé aller le voir, lui parler. En même temps une moindre conversation tournée en dispute entre nous ces derniers temps. Il faut aussi avouer que si je pleurais le soir c’était aussi souvent à cause de lui. Parce que je l’aimais, parce que je l’aimais comme une dingue et que le voir agir comme ça avec moi me rendait malade. Ça me mettait dans un état que je détestais. « Où tu vas ? Réponds ! Putain, qu'est-ce que tu fous ? » Il fallait que je parte, il fallait que je quitte cet appartement parce que je sentais que j’allais craquer, je sentais que les larmes allaient se mettre à couler et je ne voulais pas que Djimeo me voit comme ça. Lui expliquant alors que je partais quelques temps chez mon frère, je me dirigeais vers la porte mais ne sortait pas. Il était hors de question que cette dispute se déroule dans le couloir, je pense que les voisins devaient déjà en avoir assez marre de nous entendre sans cesse nous prendre la tête comme un vieux couple. Un couple… J’aurais tellement aimé que cela puisse être possible, j’aurais tellement aimé que ce soit lui à la place de mon petit ami. J’aurais voulu pouvoir lui prendre la main, l’embrasser, le sentir me caresser les cheveux alors que je m’endormais contre lui en regardant un film à trois heures du matin. J’aurais aimé que nous puissions vivre une histoire d’amour mais je savais que je n’étais qu’une simple amie à ses yeux et encore…. Ces derniers temps je ne savais même pas si nous pouvions nous définir comme amis. Mais ce qui me frappa à ce moment précis ce fut le regard de Djimeo lorsque je lui avais dit que je quitté l’appartement. « Reste Lisea, s'il te plait. Tu peux pas me laissés ici. J'ai besoin de toi. Je sais que en ce moment, c'est tendu. Insupportable, même. Mais si il te plaît, pars pas. Je ferais des efforts. C'est juste que je supporte pas tous ces crétins parce que... Je... Je tiens beaucoup à toi. J'ai peur de te voir souffrir. Je veux dire : Reste. » Ma colère ne diminua pas pour autant, mais les choses se mirent à se bousculer en moi. J’avais envie de m’approcher de lui et de l’embrasser, de lui dire que c’est lui que je voulais mais que je savais que ce n’était pas possible. Mais je ne pouvais pas faire ça, je n’aurais jamais osé. Les larmes se mettant à rouler sur mes joues, je baissais la tête avant de prendre la parole. « Je… Je suis désolée mais je peux plus… Je supporte plus d’être ici avec toi. Tu… Ton comportement me blesse Djimeo, le tien plus que celui de n’importe qui. Je… J’ai besoin que tu me laisses tranquille… ». Je me retournais vers la porte et posais la main sur la poigné de la porte alors que les larmes roulaient de plus belle sur mes joues. Il fallait que je lui dise, toute façon au point ou en était notre amitié je crois que les choses ne pouvaient pas être pire, c’était impossible. Mais je ne savais pas comment lui dire. Il était impossible pour moi de lui dire ‘je t’aime’, c’était des mots que très peu de personne avait entendu venant de ma bouche et vu les circonstances Djimeo n’allait pas les entendre de ci tôt. Sans vraiment réfléchir à mes paroles, je restais face à la porte et pris la parole, d’une voix à peine audible. « Si t’ouvrais un peu les yeux, au lieu de me reprocher tout ce que je fais, tu verrais que si je sors avec tous ces gars c’est à cause de toi. Si je fais ça c’est juste pour t’oublier… » Je tournais la poignée de la porte et commençais à ouvrir la porte.

« Je… Je suis désolée mais je peux plus… Je supporte plus d’être ici avec toi. Tu… Ton comportement me blesse Djimeo, le tien plus que celui de n’importe qui. Je… J’ai besoin que tu me laisses tranquille… » Il se sentait très mal, là, devant la porte d'entrée. Elle, sur le point de partir. Elle lui tournait le dos, la main sur la poignée, il voyait les larmes roulés sur ces joues malgré les mèches de ces cheveux qui tentaient de les cachés. Il ne voulait pas qu'elle parte. Tout ceci était de sa faute, il faisait de sa vie un enfer depuis quelques mois déjà. Il hurlait à chaque fois qu'elle entrait, à sa place, il serait lui-même déjà parti. Il l'a comprenait, c'était totalement insupportable, invivable. Maintenant, il comprenait, il devait arrêté tout ça, il devait se faire pardonné. Lui demandé de rester. Il pourrait tout faire pour qu'elle reste, se mettre à genoux devant elle et l'a supplié si il le faut mais, il ne pense pas qu'elle à ce genre de sadisme. Il ne sait pas vraiment quoi lui dire, il ne trouve pas les mots. Il a peur qu'elle s'en aille. Il a besoin d'elle et elle, elle a besoin d'air mais, il va être égoïste comme il l'est tout le temps en ce moment, il va lui demander de resté pour lui, parce qu'il en a besoin. « Je suis désolé. De tout ce que j'ai fait, je ne réalisais pas. Je ne réalisais à quel point je te faisais souffrir. Je m'en mêlerais plus, promis. Je te laisserais vivre ta vie. Je... Je veux juste que toi et moi, on redevienne comme avant. On était tellement bien. Je suis désolé, je suis égoïste, pathétique... Je... Je ne sais pas quoi te dire. Je ferais n'importe quoi pour me faire pardonné mais... S'il te plaît, ne pars pas. » Sa voix était suppliante, les larmes lui montaient aux yeux. Il ne voulait pas pleuré, il se sentait minable, totalement pathétique. Totalement dépendant de la jolie brune en face de lui. Elle lui tournait le dos et elle semblait à bout. Elle en avait marre, il comprenait. Il a peur et il a un sentiment amère de culpabilité. Il a peur de tout lui avoué, de lui dire tout ce qu'il a sur le cœur. Il a envie de lui dire. Maintenant. Si ça pouvait aidé mais, il n'est pas sûr que ça aidera, ça détruira leur amitié. Elle ne l'aimera jamais, elle est trop bien pour lui. Il est sûr qu'elle n'a jamais pensé une seconde à ce que ça pourrait être si ils étaient en couple, tous les deux. Il aimerait mais, ça n'arrivera jamais. Dieu, ce qu'il aime. C'est ce qu'il devrait lui dire. Trois mots, trois putain de mots. C'est pas dur quand même ? Ce sont trois mots, trois mots qui ont un impact énorme. Trois mots qu'il a peur de lui dire, trois mots terrorisant. Il n'est pas le seul que ces trois mots effraie. Pourtant d'habitude, il n'a aucune difficulté à les dire quand il sent qu'il le faut mais, là. Il ne peut pas les dire parce que leur amitié est bien trop importante, ils sont amis depuis trop de temps pour qu'il gâche tout par trois simple mots. Mais tout ça devient insupportable, ils ont besoin de se les dire, ces trois mots. Il serait soulagé de les dire, lui comme elle. De plus, c'est réciproque, il n'y aura pas de problème. Mais ils sont bête ou aveuglés par l'amour comme dit ce proverbe : « l'amour rend l'aveugle ». « Si t’ouvrais un peu les yeux, au lieu de me reprocher tout ce que je fais, tu verrais que si je sors avec tous ces gars c’est à cause de toi. Si je fais ça c’est juste pour t’oublier… » Il ne comprend pas. Tout se bouscule dans sa tête. Pourquoi aurait-elle besoin de l'oublié si elle ne l'aime pas ? Non. C'est impossible. Un mince espoir. Non, il n'y en a pas le moindre. Il faut avoué que ce qu'elle dit est assez ambiguë ou en faite, plutôt claire. Mais il ne peut pas le croire, il a du mal entendre. Dieu, c'est impossible, il aimerait trop. Il espère trop, tout se chamboule dans sa tête. Des questions en vrac. Il perd ces mots. Il l'avait à peine entendu, tellement sa voix était basse. Elle avait les yeux rougies par les larmes qu'elle avait versé. Elle tourna la poignée de la porte, lentement selon lui qui avait les yeux rivés sur la main de la jeune fille et commença à ouvrir la porte, lui laissant entrevoir le couloir de l'immeuble. « Qu'est-ce que tu veux dire ? Tu... Je comprends pas... Est-ce que tu m'... Non. C'est pas possible. » Il pensait à voix haute maintenant, il n'avait pas envie qu'elle l'entende divagué. Il releva le regard et l'a regarda dans les yeux, dans ces beaux yeux noisettes qui lui plaisent tant et qui l'ont séduit. Il ne doit pas dire ce qu'il va dire mais, la question lui reste dans la bouche. Elle reste bloquée. Il n'arrive pas à lui dire. Il inspire profondément et expire. « Est-ce qu'il ya... Un mince espoir que... Je veux dire... Est-ce que tu m'aimes ? Pas comme un ami, plus que ça... » Il bredouille, mâche ces mots. Il n'aime pas être comme ça, il se sent vulnérable, idiot. Il l'aime.

DJIMEO & LISEA

Pourquoi fallait-il que je gâche tout ? Pourquoi fallait-il que je tombe amoureuse de lui, de mon ami d’enfance, de mon meilleur ami ? Les choses auraient pu continuer d’être simple, comme elles l’avaient été depuis que l’on se connaissait, mais ce n’était pas possible. Nous avions tous les deux grandit, changés, et les choses avaient fini par tourner. J’étais tombé amoureuse de lui alors que j’aurais aimé ne jamais ressentir ces sentiments pour lui. J’aurais préféré tomber amoureuse de quelqu’un d’autre que de lui. Il faut croire que le destin n’était pas en ma faveur. Louhan était partit, et maintenant Djimeo… Je ne savais même pas quoi penser de son comportement ou de ce qui se passait entre nous. Me tenant dos à lui, la main sur la poignée je ne cessais de douter. J’avais envie de partir, d’oublier pour arrêter de souffrir, mais d’un autre coté j’avais envie de tout lui dire. De toute façon notre amitié ne pourrait surement pas être pire qu’en ce moment, alors qu’avais-je à perdre. « Je suis désolé. De tout ce que j'ai fait, je ne réalisais pas. Je ne réalisais à quel point je te faisais souffrir. Je m'en mêlerais plus, promis. Je te laisserais vivre ta vie. Je... Je veux juste que toi et moi, on redevienne comme avant. On était tellement bien. Je suis désolé, je suis égoïste, pathétique... Je... Je ne sais pas quoi te dire. Je ferais n'importe quoi pour me faire pardonné mais... S'il te plaît, ne pars pas. » Je savais qu’il était sincère, je le connaissais assez pour savoir, rien qu’en entendant au ton de sa voix, qu’il était vraiment sincère. Djimeo n’avait jamais été du genre à me mentir, il avait toujours été sincère avec moi et je sentais qu’il s’en voulait. J’avais envie que les choses redevienne comme avant moi aussi, mais je savais au fond de moi que ça ne serait jamais possible. J’aimais Djimeo et déjà le fait que j’ai des sentiments pour lui changer absolument tout. Je devais partir quelques temps, réfléchir à tout ça. « Je… Je suis désolée mais je… J’en ai besoin Djim. Faut que je… Respire… » Jamais je n’aurais cru qu’un jour je puisse tomber amoureuse de lui. Je le connaissais depuis que j’étais gamine et il était tout simplement mon meilleur ami. Il me connaissait mieux que tout le monde, nous avions fait les 400 coups ensemble et il avait toujours été là pour moi. Me tournant vers la porte je tournais la poignée. Je savais que si je sortais il serait trop tard pour que je puisse revenir tout de suite. Au final j’avais peur de le perdre pour de bon, j’avais peur qu’il se dit qu’il était mieux sans moi en fin de compte. Sans vraiment contrôlé ce que je dis, je lui avouai que si je sortais avec des garçons c’était simplement pour l’oublier. La porte entrouverte, m’apprêtant à sortir, je laissais les larmes rouler sur mes joues. « Qu'est-ce que tu veux dire ? Tu... Je comprends pas... Est-ce que tu m'... Non. C'est pas possible. » Arrêtant mon geste, je fermais les yeux quelques secondes. Pourquoi ne comprenait-il pas ?! Puis ca n’avait plus d’importance de toute façon. Je savais qu’il ne m’aimait pas. Je m’apprêtais à répondre lorsqu’il reprit la parole. « Est-ce qu'il y a... Un mince espoir que... Je veux dire... Est-ce que tu m'aimes ? Pas comme un ami, plus que ça... » Il posait la question simplement pour être sûr, mais il connaissait la réponse, je le savais. Sentant son regard croiser le mien je détournais la tête. Je n’allais pas lui mentir, après tout à quoi cela servirait-il ? Je lui tournais le dos à nouveau et pris la parole. « Toute façon ça n’a pas d’importance que j’ai des sentiments pour toi… » Ne lui accordant pas un regard, de peur de croiser ses yeux, je tirais un peu plus la porte et commençais à avancer vers l’escalier. J’essuyais rapidement mes yeux, remontant mon sac sur mon épaule. C’était trop tard pour revenir en arrière.

Il ne fallait pas qu'elle parte. Peu importe si c'était égoïste ou non, si il ne pensait qu'à lui. Encore une fois. Il a besoin d'elle, besoin qu'elle reste, besoin de l'a sentir prêt de lui. Il veut l'a serré dans ces bras, lui dire qu'il est désolé, que tout ça, ça va s'arrêté, qu'ils vont redevenir comme avant. Ces sentiments sont épuisants, ils font mal mais, apparemment, ils en valent le coup. Ouais, c'est quand ils sont en couple mais, sinon, il souffre. Il faut qui lui dise, c'est nécessaire. Peut être que ça lui enlèverait un point énorme, peut être que ça lui permettrait de se sentir mieux, de se relâché, de pouvoir respiré à nouveau. Elle allait partir, elle allait traversée le couloir, descendre les escaliers et le quittée. Pour combien de temps ? Il l'avait toujours eut à ces cotés, depuis dix-sept ans maintenant, ils se connaissaient. Ils avaient toujours été là l'un pour l'autre, de vrais amis. Elle était très importante pour lui, elle l'est toujours. Putain, elle va partir là. Il faut qu'il fasse quelque chose. Il faut qu'il agisse. Sinon, il va la perdre, elle va partir et quand elle reviendra, plus jamais les choses ne seront comme avant. Des reproches, de la froideur, leur amitié va finir par s'éteindre. Il ne veut pas que ça arrive. « Je… Je suis désolée mais je… J’en ai besoin Djim. Faut que je… Respire… » Elle en besoin et lui, il a besoin d'elle. C'est contradictoire. Il est fou d'elle, il ne l'aurait jamais pensé. Un jour, ressentir quelque chose pour elle. C'est vrai, il l'a toujours très jolie, magnifique et elle a toujours été son genre de fille. Il a toujours été un peu protecteur avec elle mais, jamais autant. Un petit avertissement peut être mais, rien de plus, il n'allait jamais jusqu'à créé de tels disputes. Il l'a toujours aimé mais, comme une amie seulement sauf, qu'un jour, il l'a réalisée qu'il l'aimait. C'est un moment simple comme de nombreux qu'ils avaient passés, il n'y prêtait pas vraiment attention, ils regardaient encore un film, allongés tous les deux dans un lit, dévorant des chips. C'est là qu'il s'est arrêté sur elle, son regard, ces yeux alors, qu'elle riait devant l'une de ces scènes du film qu'ils regardaient. Son rire l'a hypnotisé et le monde s'est arrêté de tourné. Il n'y avait plus qu'elle, il n'a plus regardé le film, il n'a fait que l'a regardé, ces réactions, quand elle souriait, quand elle était attendrie, riait. Il se souvient même qu'un moment, elle s'est retournée et a semblé interloquée par le faite que son meilleur ami n'arrêtait pas de l'a regardé. Maintenant, elle n'avait que la main sur la poignée, prête à partir, le quittée, le laissé seul dans cet appartement qu'ils ont décorés ensemble. Dans un vide aussi profond que celui qu'il y a dans son cœur. « Tu comprends pas... Tu peux pas partir, ça... Ça va tout gâché. Tu crois vraiment que quand tu reviendras tout sera comme avant ? Quand on était bien tous les deux où tout était normal entre nous. Tu crois vraiment que ça sera comme ça ? Plus jamais, ça ne sera pareil. Tout a changé maintenant et si tu pars, ça sera pire... On va finir... On va finir par ne plus être amis, même si en ce moment, on ne l'est plus vraiment. On va s'éloigné et il n'y aura plus rien. » C'était sa plus grande peur. Qu'elle parte pour ne plus jamais revenir et de toute manière, même si elle revenait, ça ne serait plus comme ça. Elle lui dit qu'elle ne fait que ça pour l'oublié, ce qui a le don de le perturbé encore plus. Elle est indéchiffrable, il ne comprend plus rien. Il est perdu. Toutes les questions qu'ils se posent lui donne mal à la tête. Il en a marre, il veut que ça s'arrête, il veut lui dire. Il faut qui lui dise. Il a peur. Est-ce vraiment la bonne solution ? Il doit faire quelque chose pour qu'il reste, les mots ne suffisent pas. Elle semble ne même pas les entendre, elle veut partir à tout prix. Elle ne l'écoute pas, c'est comme.... Elle ne comprend pas. Elle ne comprend pas que sans elle, il n'est rien. Elle dit ces derniers mots avant de partir dans le couloir. « Toute façon ça n’a pas d’importance que j’ai des sentiments pour toi… » Ces mots ont le don de l'énervé à nouveau. Elle quitte l'appartement et commence à partir. Il l'a rattrape, rapidement. Et l'a prend fermement par le bras, ayant peur de lui avoir fait mal, il relâche pratiquement aussitôt la pression. Sous l'impulsion, puisqu'il n'arrive pas à trouvé les mots pour l'a faire resté, il l'a plaque contre le mur et l'embrasse. Oui, il l'embrasse. Il fait ce qu'il a désiré faire depuis plus trop longtemps. Parfois les mots ne suffissent pas. « Je m'en fou pas de tes sentiments. Au contraire, ça compte, ça compte énormément pour moi ce que tu ressens. Ça m'énerve que tu dis ça parce que c'est totalement faux, okay ? Je... Putain, je suis dingue de toi, Lisea. » Oh Mon Dieu, il l'a dit. Il y a peut être une chance qu'elle le prenne autrement, non ? Que ça ne gâche pas tout. Pitié, qu'elle ne lui envoie pas un sublime râteau dans la figure.

Pourquoi fallait-il toujours que l’amour fasse souffrir hein ? Ça ne pouvait pas être simple, beau comme dans les films ? Visiblement non ce n’était pas possible il faut croire. Avec mon ex petit ami, mon premier amour, notre histoire c’était mal fini. Il m’avait trompé en embrassant une autre fille et depuis je n’avais plus vraiment confiance avec les garçons. Je ne pouvais m’empêcher de penser que quoi qu’il arrive il finirait toujours par aller voir ailleurs, par trouver mieux que moi. Mieux qu’une fille torturée, qui se mutile et saute des repas juste parce que sa sœur la laissait tomber, ou que le garçon, dont elle est secrètement folle amoureuse, lui cri dessus sans cesse. Et pourtant j’étais toujours là, n’ayant toujours pas eu le courage de quitté l’appartement. Qu’est-ce que j’espérais après tout ? Qu’il allait me dire qu’il m’aimait aussi. Non c’était impossible. Djimeo préférait ne pas s’attacher, je le savais. « Tu comprends pas... Tu peux pas partir, ça... Ça va tout gâché. Tu crois vraiment que quand tu reviendras tout sera comme avant ? Quand on était bien tous les deux où tout était normal entre nous. Tu crois vraiment que ça sera comme ça ? Plus jamais, ça ne sera pareil. Tout a changé maintenant et si tu pars, ça sera pire... On va finir... On va finir par ne plus être amis, même si en ce moment, on ne l'est plus vraiment. On va s'éloigné et il n'y aura plus rien. » Je savais que les choses ne seraient jamais les mêmes, que je parte ou que je reste. Je pensais qu’il était trop tard pour rattraper notre amitié. Pour moi il n’était plus possible que les choses redeviennent comme avant, pas à cause de lui, mais à cause de moi, des sentiments que j’avais pour lui. Je ne pouvais pas faire semblant d’être seulement amie avec lui alors qu’au fond j’étais raide dingue de ce mec. Cela faisait des mois que je tentais de refouler mes sentiments, mais tout ce que j’avais réussis à faire c’était tombé un peu plus amoureuse de lui. Cependant ses paroles firent remonter ma colère. « Et la faute à qui si on est plus amis hein ? C’est toi qui gâche toujours tout avec tes foutu crise de… De je sais pas trop quoi. » Il est vrai que j’étais jalouse de le voir avec des filles, cela me faisait mal, mais jamais je n’avais laissé paraitre le moindre signe que cela me faisait mal ou de ma jalousie. En amour j’avais toujours été très jalouse et possessive, mais j’essayais de ne pas le montrer, quitte à en souffrir à l’intérieur. Je me tournais une dernière fois vers mon –ex- ami et lui dit, d’un ton un peu plus calme. « Je… Je sais pas si je reviendrais Djimeo… Comme tu l’as dis-toi même on est même plus amis… ». Dire ces mots me brisait littéralement le cœur mais c’était surement le mieux à faire. Je murmurais alors une dernière phrase à propos de mes sentiments avant de sortir de l’appartement, mon sac à la main. Je savais que si je débarquais chez Austin dans cet état, les yeux rouge, il devinerait que quelque chose n’allait pas, et il me poserait des questions mais pour le moment je m’en fichais. Je voulais juste quitter cet endroit le plus vite possible. Baissant la tête, essuyant une dernière fois mes yeux je m’apprêtais à descendre quand je sentis une main se serrer sur mon bras. Djimeo me collai au mur sans que j’ai le temps de réagir et quelques secondes plus tard, ses lèvres se posait avec délicatesse sur les miennes. Mon cœur ratai un battement alors que j’avais l’impression que des milliers de papillon c’était mis à voler dans mon estomac. Je lâchais mon sac et mes mains se portèrent inconsciemment sur les hanches de Djimeo. J’eu à peine le temps de réaliser ce qui se passait que Djimeo reculais son visage. « Je m'en fou pas de tes sentiments. Au contraire, ça compte, ça compte énormément pour moi ce que tu ressens. Ça m'énerve que tu dis ça parce que c'est totalement faux, okay ? Je... Putain, je suis dingue de toi, Lisea. » Il m’aimait ?! Non ca devait être une mauvaise blague. Mon regard croisa le sien et je vis alors qu’il disait la vérité. Je n’arrivais pas à croire ce qui venait de se passer, ce qu’il venait de me dire. « Djim je… » ‘Je t’aime’. J’aurais voulu lui dire mais les mots étaient incapables de sortir de ma bouche. Je ne le disais pratiquement jamais. Sans réfléchir je déposais mes lèvres à mon tour contre les siens, fermant les yeux. Mes mains serrèrent doucement son t-shirt et je me collai doucement à son corps tout en prolongeant ce baiser. J’aurais voulu que le temps s’arrête, j’aurais voulu que ce moment ne s’arrête jamais.

 ღ Our love is like the wind. I can’t see it, but I feel it.

Djimeo et Lisea, avant tout de l'amitié. Une amitié durable, une amitié qu'il avait entretenu pendant dix-sept longues années. Une amitié qui était passé par dessus de nombreux obstacles, qui avait des hauts et des bas mais, surtout de nombreux fous rires. Les pleures étaient rares et ce qui l'était encore plus, c'était que ça soit l'un des deux qui soit la cause des larmes de l'autre. Une amitié à toute épreuve, une amitié plus forte que tout. Djimeo ne pouvait plus se passé de Lisea, ils étaient pratiquement inséparables. Une amitié parfaite, ils étaient tellement bien tous les deux. Avant, oui, ça c'était avant. Maintenant, pour Djimeo, ça semble être il y a des siècles. Le temps où il ne crevait pas de jalousie à chaque fois qu'elle se trouvait un petit ami, où il ne manquait pas de taper sur le gars en question, le temps où ils étaient en parfaite cohérence l'un avec l'autre. Une amitié saine. Maintenant, tous les deux ils s'intoxiquent. Ils ne peuvent plus respirer quand l'un est ici, les hurlements, les cris. Il est difficile de croire que leur amitié est devenu ce qu'elle est. Il n'y a plus que la jalousie qui les maintient ensemble et les disputes. Voilà ce qui reste de leur après-midi tous les deux dans la chambre à manger des chips tout en regardant un bon film, leur après-midi à rire, les délires, à faire les 400 coups. Ça lui manque, ce genre de moments manquent à Djimeo mais, maintenant, tout ce qu'il voit, c'est sa main fine posée sur la poignée de la porte, prête à sortir de la pièce. Pas pour allé faire une course et revenir, juste pour partir... « Et la faute à qui si on est plus amis hein ? C’est toi qui gâche toujours tout avec tes foutu crise de… De je sais pas trop quoi. » Sa faute, sûrement mais, pas que de la sienne, certainement. Elle n'a pas le droit de tout lui mettre sur le dos, c'est simplement injuste et il n'a pas détruit leur amitié à lui seul, elle a aussi donné du sien. Il ne vaut mieux pas qu'elle sache que ces « foutus crises » sont des foutus crises de jalousie, que lui-même aimerait s'abstenir de faire mais, à chaque fois qu'il l'a voit avec l'un de ces gars, un autre que lui, à rire, il se sent terriblement jaloux parce que à cause de lui, ils ne partagent plus ça. Et là, il ne peut pas lui sortir une blague de toto pour détendre l'atmosphère et faire genre que tout redevienne comme avant parce que maintenant, c'est trop tard. Il ne peut plus faire machine arrière. C'est ça maintenant, la parfaite amitié n'a pas survécu aux sentiments. Aux sentiments amoureux. Des sentiments trop fort, envahissant, qui pompent tout l'air de Djim', il ne peut plus résister. Lutter n'arrange rien, les sentiments prennent de l'ampleur, plus les jours passent, plus il l'aime. Peu importe ce qu'il fait, noyer son chagrin dans filles et l'alcool abondant dans les soirées dans lequel il aime passer du temps maintenant ne change rien. Il ne pense qu'à elle, tout le temps. Elle hante ces jours comme ces nuits, elle est toujours présente dans son esprit. Il cri pour qu'elle s'en aille mais, elle reste là, omniprésente. Elle ne dort jamais. Oui, il l'aime, plus que tout. Il l'aime plus que n'importe qui ne pourra jamais l'aimer mais, lui-même, il ne le sait pas encore et elle le sait encore moins que lui. « Ne met pas tout sur mon dos. Il n'y a pas que moi qui est en cause. » Il aurait voulu se défendre avec plus de hargne et de puissance dans la voix mais, c'est à peine si la fin de sa phrase fut audible. Il n'avait plus envie, il en avait marre. Il ne faisait que des conneries et la pire de toute était d'avoir détruit leur amitié, même si elle était en cause, sûrement elle aussi, il y avait sa part des choses et il ne se le pardonnait pas. Foutu sentiments. Il respirait lentement, tentant de calmer son pouls mais, le jeune homme n'a jamais été d'une nature très calme. Généralement, tout ça finit en bagarre mais, il ne frappe pas les filles et encore moins, Lisea. Il ne pourrait jamais se le pardonner, il est idiot. Lisea, la porte. C'est tout ce qu'il voyait en ce moment. Il ne cessait de passé de l'un à l'autre. Il avait mal, il avait peur. Il avait envie que tout s'arrête mais, il ne pouvait pas revenir en arrière. La machine à remonté le temps n'existait pas encore et de toute manière, il fallait qu'il assume ce qu'il avait créé. Parce que la dispute qui précédait le départ de Lisea, c'était lui qui l'avait créé, elle était sans doute à bout. Ne supportant plus tous ces reproches sans queue ni tête, il n'avait aucun droit, il n'était pas son père, ni son frère même. De toute manière, même en faisant partie de sa famille, elle faisant ce qu'elle voulait de sa vie. Il ne pouvait pas mettre ça sur son coté protecteur, « grand-frère », ça n'allait jamais plus loin qu'une petite remarque au maximum. Il n'empêchait jamais une histoire de se faire, peu importe qu'il appréciait ou non la personne avec qui elle était en couple, il n'aurait jamais rien dit. Il ne serrait intervenu que si il avait découvert quelque chose de grave, qui faisait qu'elle ne pouvait resté avec ce gars mais, jamais, il n'aurait fait plus que ça, s'imposer autant dans sa vie. « Je… Je sais pas si je reviendrais Djimeo… Comme tu l’as dis-toi même on est même plus amis… » Ces mots lui firent mal, il les reçu comme un coup de couteau en plein cœur qu'on s'amusait à remuer dans la plaie, ça faisait affreusement mal. Il se tentait à être le plus calme possible alors qu'après ces mots, elle se faufilait. Elle quittait l'appartement mais, il ne mit pas longtemps avant de l'a suivre, s'énervant à nouveau. Hors de question qu'elle s'en aille. Jamais, il ne pourra se résoudre à vivre sans elle, à prendre le risque de ne plus l'a revoir, plus jamais, de l'a perdre peu importe ce qu'il doit faire, ce qu'il doit payé. Il l'a poursuivit avec plus de convictions cette fois-ci, l'a plaquant contre le mur en faisant tout de même attention à ne pas lui faire mal et il colla ces lèvres contre les siennes dans un baiser passionné et fougueux qui s'attendrit. C'était le moment, il respira un grand coup et se lança. Il lui avoua ces sentiments, il ne se fichait pas de ses sentiments à elle. Il ne lui déballa pas tout ce qu'il ressentait, que ces sentiments le tuaient à petit feu. Il avait mal, mal de ne pas l'avoir prêt de lui et que si elle quittait l'immeuble, elle lui briserait le cœur et il lui en voudra. Sûrement. Si elle quitte l'immeuble, il se résoudre à mettre fin à leur amitié, de toute manière, il ne veut plus être un ami. Il veut être plus, oui. Il veut être plus. Il ne peut plus être simplement son ami, il a besoin d'être plus, il a toujours besoin de plus maintenant, plus d'elle. Il a envie de l'embrassé, encore et encore mais, il attends déjà sa réaction après ce déballage de sentiments. « Djim je… » Son cœur loupa un battement, il a eût peur, peur qu'elle lui dise, peur qu'elle lui dise que ça n'est pas réciproque. Son cœur s'emballa, craignant les mots à venir mais, tout ce qu'il eût. C'est ces lèvres se posant délicatement sur les siennes, une réponse à son baiser. Qu'est-ce que ça signifiait ? Etait-il possible qu'elle l'aime aussi ? Non. Elle ne voulait pas qu'il se sente trop minable, non, ça serait une mauvaise blague. Très cruelle, même. « Qu'est-ce que je dois en déduire ? » Il y avait de l'espoir dans sa voix alors qu'il mettait fin, à contrecœur, à ce baiser. Ce qu'il voulait, c'était des réponses à ce moment précis. Il s'en voudra sûrement après si ce sont les deux seuls baisers qu'ils échangeront dans toute sa vie et qu'iil n'en a pas suffisamment profiter.

Je savais que Djimeo n’était pas le seul coupable dans l’histoire. Je savais que moi-même je n’étais pas innocente. Il m’était déjà arrivé de faire rompre Djimeo avec sa copine juste en foutant la merde entre eux. Certes c’était arrivé moins souvent que Djimeo ne me l’avait fait, mais c’était quand même arrivé. Je m’en étais d’ailleurs voulu, parce qu’après cela c’était moi qui déclenchait souvent une dispute. Mais je ne supportais pas de le voir avec une autre fille. Quand elle était seulement des amies cela passait, mais dès qu’il s’agissait d’une petite amie à lui, je ne le supportais pas. J’avais horreur de le voir coller à une autre fille, ou même embrasser une autre fille. C’est pour cela d’ailleurs que je faisais de moins en moins de soirée lorsqu’il était présent aussi. Je savais que Djimeo n’était pas vraiment stable avec les filles, en soirée il préférait simplement coucher avec elle, faire de ca une histoire d’un soir, plutôt que prendre le temps d’avoir une relation durable. Je dois avouer que sur certains points c’était sans doute mieux, mais ce n’était pas mon style. En réalité le seul garçon avec qui je n’aurais sans doute pas pu résister c’était lui. Cela faisait des mois que je m’imaginais avec lui, être sa petite amie. Mais je savais que cela n’était pas possible. « Ne met pas tout sur mon dos. Il n'y a pas que moi qui est en cause. » Il avait raison bien sûr. Tout n’était pas sa faute. Ce n’était pas sa faute si j’étais tombé amoureuse de lui. Ce n’était pas sa faute si, rien que de le voir, me faisait un mal de chien. Ce n’était pas sa faute si je sortais avec tous ces gars, dont je n’avais jamais été amoureuse, juste pour l’oublier. J’essayais de l’oublier mais pourtant rien n’y faisais, tout ce que cela amener c’est que je l’aimais toujours un peu plus. Je soupirais en quittant l’appartement à contre cœur. Alors c’était comme ca qu’allez finir notre amitié pas vraie ? Sur une dispute. Mais avant que j’ai pu commencer à descendre Djimeo m’avait embrassé. J’avais rêvé de ca tellement de fois. Je m’étais demandé si il embrassait bien, si cela me ferait de l’effet mais j’étais loin de me douter que cela déclencherais autant de choses chez moi. Je n’avais qu’une envie c’était recommencer, me blottir contre lui, sentir sa chaleur, son odeur. Tout ce que j’aimais tellement chez lui. Je l’avais alors regardé quelques instants avant de l’embrasser à mon tour. Mes mains c’étaient inconsciemment accroché à son t-shirt, que je ne voulais plus lâcher. J’avais soudain peur qu’il se soit moquer de moi, ou encore pire qu’il parte, qu’il disparaisse de ma vie comme l’avait fait ma sœur. A ma plus grande surprise Djimeo me repoussa. Il c’était moqué de moi c’est ca ? Il m’avait embrassé juste comme ca. Mon cœur sembla se serrer dans ma poitrine, mais mes mains refusaient de lâcher son t-shirt. « Qu'est-ce que je dois en déduire ? ». Sur ce coup, je ne savais plus comment agir ? Je l’avais embrassé, je lui avais dit que mes sentiments n’avaient pas d’importance. N’avait-il pas encore compris que j’étais raide dingue de lui ?! Des fois je ne comprends vraiment pas les garçons. Mais soudain j’avais peur qu’il ne fasse que jouer avec moi, qu’il ne fasse ca que pour me mettre dans son lit avant que notre amitié ne se termine pour de bon. Mais j’étais son amie, sa meilleure amie non ? Il ne me ferait pas ca. Je ne devais pas penser à ca. « Tu dois en déduire que j’ai des sentiments pour toi idiot ! » Je ne pus m’empêcher de laisser échapper un petit rire mal à l’aise. Il était de toute façon trop tard pour revenir en arrière maintenant. Et puis je n’avais plus rien à perdre. « C’est ce que j’essaye de te dire de tout à l’heure Djimeo… Je… Je suis dingue de toi, depuis des mois. Si je sortais avec ses mecs c’était simplement pour oublier les sentiments que j’ai pour toi. Je pensais que jamais ca pourrait être réciproque… » Et encore maintenant j’avais des doutes. M’aimait-il lui aussi ? Mais en parlant de ces garçons avec qui j’étais sorti, je me mis soudain à penser à Luca. C’est vrai je ne l’aimais pas, je n’avais aucun sentiments pour lui, mais officiellement j’étais toujours avec lui et je n’étais pas le genre de fille qui trompé son petit ami. Je perdis le léger sourire que j’avais sur les lèvres. Mes mains lâchèrent enfin le t-shirt de l’homme que j’aimais et je baissais la tête. « Mais pour le moment on… On peut pas être ensemble. Officiellement je… Je suis encore avec Luca et… Même si je l’aime pas je veux pas devenir une fille qui trompe son petit ami… Je suis pas comme ca. » Malgrè mes sentiments pour Djimeo, je devais d’abord rompre avec Luca si nous voulions être ensemble. Et puis, qui me dit que Djim veux être avec moi ? Bon certes il a dit qu’il était dingue de moi mais… Je fermais les yeux, chassant tout ca de ma tête.

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Il eût des doutes, quelques seulement. Il l'aimait sincèrement, plus qu'il ne l'aurait du en temps que le simple ami qu'il était pour elle, le simple ami qu'il croyait être pour elle mais, maintenant, il ne savait plus rien. Toutes ses certitudes s'échappaient peu à peu, l'aimait-elle, l'aimait-elle pas ? Il se posait encore trop de questions, pourtant cette situation voulait tout dire mais, il ne réfléchissait pas. Il pensait encore à ces derniers mois, ce véritable enfer, à cette dernière dispute qui avait faillit être la dernière puisqu'elle aurait quitter l'appartement si il ne l'a retenait pas. Mais maintenant, ils se trouvaient dans le couloir, changement de contexte, de situation, il l'avait plaqué là et l'avait embrassé, faisant passé tous ces sentiments à travers ce baiser, sa frustration, son désir d'elle, son amour pour elle. Il lui avait tout dit à travers ce baiser mais, il avait ajouter des mots pour que sa déclaration, elle l'a comprenne et elle lui avait rendu son baiser, son cœur battait à une vitesse folle dans sa poitrine, il allait explosé. Elle embrassait à merveille, Djimeo respirait son odeur, il l'aimait tant, tout d'elle. Elle semblait parfaite à ses yeux mais, elle avait des défauts comme tous. La question qu'il posa sembla censé jusqu'à qu'ils entendent les mots sortirent de ces lèvres. Qu'est-ce qu'il devait en déduire ? D'un baiser ? Il aurait du lui demandé autres chose, n'importe quoi. Il ne gérait absolument pas la situation, il avait perdu le contrôle il y a longtemps. Sa respiration irrégulière le prouvait bien et son calme, il l'avait perdu depuis déjà longtemps, depuis qu'il l'avait vu et elle et Luca... Justement ce « Luca », voilà qu'il y pensait. « Tu dois en déduire que j’ai des sentiments pour toi idiot ! » Il laisse un sourire lui échappé. Un sourire triomphant, qui s'agrandissant de plus en plus, devant un sourire idiot. Ouais, là, il avait actuellement l'air d'un idiot mais, ces mots venaient de faire de lui l'un des hommes les plus heureux du monde et sans se vanté. Il crut rêvé et il espère secrètement ne jamais se réveillé. Un rêve qu'il a déjà fait même si ça se passait généralement un peu autrement qu'après une de leurs disputes, tout était plus tendre mais, à la différence, cette fois, il ne se réveillerait pas. Ce rêve était la réalité et une réalité qui pour une fois ne lui déplaisait pas tant que ça. « C’est ce que j’essaye de te dire de tout à l’heure Djimeo… Je… Je suis dingue de toi, depuis des mois. Si je sortais avec ses mecs c’était simplement pour oublier les sentiments que j’ai pour toi. Je pensais que jamais ca pourrait être réciproque… » Son sourire ne fit que s'agrandir un peu plus encore, il avait l'air encore plus idiot maintenant. Il était devenu muet maintenant depuis quelques secondes mais, il ne trouvait plus les mots. Il ne savait plus quoi dire, il était tellement ému, surpris. Tout ce qu'il voulait, c'était l'embrassé, la sensation de ces lèvres contre les siennes. Il oubliait ce qui c'était passé il y a quelques minutes, ces derniers mois, il n'y avait plus qu'elle, maintenant, le présent. Oubliant toutes les répercussions qu'il y aurait ensuite, son sourire s'agrandit encore, comme si c'était possible. Mais, il revînt à la réalité, se décidant à lui répondre, son sourire se dissimula. « Si tu savais... Combien de fois, j'ai rêvé que tu me dises ça. Combien des fois que j'ai rêvé de ça. Je... Ça me rendait malade de te voir avec tous ces mecs. Je voulais être à leur place, ça n'explique pas vraiment pourquoi, ce n'est peut être pas une bonne excuse pour avoir fait de notre colocation un enfer mais, c'est la seule véritable raison. » Il espérait qu'elle ne lui faisait pas une mauvaise blague. Non, ça serait définitivement trop cruel et pas le style de Lisea, elle... Elle ne ferait jamais un truc pareil. Il le savait, il effaça ces doutes mais, il ne pouvait s'en empêché. Il rêvait sûrement. Non, tout ça semblait trop réel, ça l'était. Il déposa à nouveau ces lèvres sur les siennes dans un baiser chaste, un petit sourire aux lèvres. Il n'avait plus qu'une question maintenant, était-il ensemble ? A-t-il enfin pouvoir dire qu'elle était sa petite amie comme il le rêvait depuis des mois ? Depuis que leur amitié s'était transformé peut à petit en amour dissimulé, un amour secret qu'ils se portaient l'un à l'autre. Aucun des deux ne voulant tentés une approche, la peur de se faire rejeté, de perdre leur amitié mais, de toute manière, il n'y avait plus que l'amour maintenant pour restés ensemble. L'amitié n'était plus suffisant, il ne pouvait plus s'en contenté. C'était plus ou ils allaient commencés à s'ignorer, ils allaient se séparés et finirent par devenir des connaissances et Djimeo souffrirait en silence, seul, dans son coin avec ce qui lui resterait.  « Mais pour le moment on… On peut pas être ensemble. Officiellement je… Je suis encore avec Luca et… Même si je l’aime pas je veux pas devenir une fille qui trompe son petit ami… Je suis pas comme ca. » Un dur retour à la réalité. Luca. Elle ne pouvait pas... C'était rageant, on s'en fichait de Luca mais, Djimeo devait avoué qu'il ne voudrait être à la place de ce gars. Être trompé par sa petite amie qui ne l'aimait pas réellement, être simplement un ami mais, il était borné. IL... Elle pensait à ce gars alors qu'ils étaient en train de s'avoués leurs sentiments, à son futur ex petit ami ? Il réfléchissait, se tentant à se montrés compréhensif. Après tout, il n'était pas vraiment un obstacle à leur amour, elle n'était pas amoureuse de lui et elle le quitterait sûrement, non ? Elle ne resterait pas avec ce gars alors qu'elle venait d'avoué à Djimeo qu'elle l'aimait autant que lui il l'aimait. Elle venait de lui dire qu'elle l'aimait depuis des mois maintenant, que si elle sortait avec ces gars, c'était pour l'oublier. Il n'avait pas à s’inquiéter, tout irait bien, ils finiraient ensemble, un happy end comme dans ces films romantiques à mourir d’ennui. « Je comprends... Enfin, j'essaie. Mais... Mmh... Après, on sera ensemble, hein ? Je... Je serais ton petit ami et toi, ma petite amie. » Il sourit à la prononciation 'de petit ami' et 'petite amie', il voulait vraiment qu'elle le soit. Il sentit à nouveau ce sourire ridicule se formé sur ces lèvres mais, il secoua la tête, oubliant rapidement. C'était sérieux. Ils parlaient de son foutu copain actuellement que Djimeo mourrait d'envie d'étranglé.

J’avais souvent rêvé d’embrasser Djimeo, j’avais souvent essayé d’imaginer quel gout pouvait avoir ses lèvres, ou quelle sensation cela pouvait-il me procurer. Mais je n’avais jamais imaginé que cela puisse être encore mieux que dans mes rêves. J’avais toujours espérer qu’au plus profond de moi je puisse avoir une chance d’être avec lui un jour, même si je n’y avait jamais vraiment cru. Puis toutes nos disputes m’avaient encore plus fait perdre espoir. Je me disais qu’il avait fini par me détester, par en avoir marre de moi. Après toute je n’étais pas drôle tous les jours, bien au contraire. Djimeo me supportait depuis dix-sept ans, et encore plus depuis le départ de ma sœur. Je n’avais jamais vraiment été quelqu’un qui passé son temps à déprimer, mais depuis un an c’était devenu le cas et pourtant Djimeo était resté à mes côtés. Même si il ignorait que je me mutilais, il avait dû remarquer ma perte de poids au cours de la dernière année. Et puis il faut avouer que lorsque les disputes incessantes avec lui avaient commencé, ces mauvaises habitudes n’avaient fait qu’augmenter. Mais lorsqu’il m’avait embrassé, lorsqu’il m’avait dit qu’il m’aimait, les disputes précédentes avaient soudainement toute disparu de mon esprit. Il voulait être avec moi et à ce moment précis c’est tout ce qui comptait. Ma colère avait soudainement disparu et mes larmes avaient cessé de couler. « Si tu savais... Combien de fois, j'ai rêvé que tu me dises ça. Combien des fois que j'ai rêvé de ça. Je... Ça me rendait malade de te voir avec tous ces mecs. Je voulais être à leur place, ça n'explique pas vraiment pourquoi, ce n'est peut-être pas une bonne excuse pour avoir fait de notre colocation un enfer mais, c'est la seule véritable raison. » Je me sentais coupable, coupable de l’avoir fait souffrir. Je m’étais ramener avec tous mes petits amis devant son nez, je lui en avais voulu de me faire rompre avec eux, mais maintenant je comprenais pourquoi il avait agi de la sorte. Ces réactions étaient à chaque fois des réactions de pure jalousie. C’était les mêmes réactions que je vivais intérieurement à chaque fois que je l’avais vu avec une fille au cours de ces derniers mois. Je me sentais stupide de n’avoir rien vu avant, mais surtout de l’avoir fait souffrir au final. « Pourquoi tu m’as jamais rien dis ? Tu aurais dû m’en parler je… Ça aurait évité que je te fasse souffrir… Je suis désolée Djim… » Je me mordis légèrement la lèvre. Pourtant Djimeo ne semblait pas m’en vouloir d’avoir agi comme ça, en même temps, je n’avais pas pu deviner qu’il était jaloux. L’amour rend aveugle comme on dit. Djimeo déposa alors un baiser rapide sur mes lèvres, un baiser rapide mais qui me fit sourire à nouveau. Gosh que c’était agréable. J’aurais voulu l’embrasser encore des milliers de fois, j’aurais aimé lui prendre la main, me blottir contre lui, mais je ne pouvais pas faire ca, pas pour le moment. Il y avait toujours Luca et bien que je n’ai aucun sentiments pour lui, je me refusais de devenir celle qui trompait ses petits amis, ce n’était absolument pas mon style et ca tout le monde le savait. Relâchant alors à contre cœur son t-shirt, que j’avais tenu si serrer entre mes mains qu’il en était froissés, je lui expliquais qu’on ne pouvait pour le moment pas être ensemble. « Je comprends... Enfin, j'essaie. Mais... Mmh... Après, on sera ensemble, hein ? Je... Je serais ton petit ami et toi, ma petite amie. » Je ne pus m’empêcher de sourire à la dernière phrase qu’il prononça. Cette simple phrase me rendait heureuse. Il allait être mon petit ami, enfin, et pour de vrai. Il ne le serait plus dans mes rêves, il le serait dans la vraie vie et c’était plus beau que ce que je pouvais imaginer. « Je te promet qu’après on sera ensemble, pour de vrai. » Dieu que je mourrais d’envie de l’embrasser ! Comment est-ce que j’allais tenir jusqu’à ce que j’ai rompu avec Luca ? Je ne sais pas si j’y arriverais. J’ajoutais quelques mots en murmurant, un peu pour moi-même. « Tu seras mon petit ami… Rien qu’à moi… » Cette idée me plaisait. Mais au fond j’avais peur, peur de souffrir, peur de le perdre comme même au final, peur que ça ne marche pas, ou peur qu’il me trompe. Mon premier petit ami, avec qui j’étais resté deux ans, m’avait trompé et ça m’avait brisé le cœur, je n’en avais jamais vraiment cicatrisé. A cause de ça, aujourd’hui j’avais du mal à faire confiance en amour, beaucoup de mal, même si je connaissais Djimeo depuis de longues années. Mais je ne pouvais pas m’empêcher de vivre à cause de ça pas vrai ? Reprenant mon sac à bout de bras, je pris la parole. « On devrait rentrer. Je vais essayer de l’appeler, mais je crois qu’il bosse. » Je me dirigeais vers l’appartement avec l’homme que j’aimais. Je n’avais plus aucune envie de partir à présent, bien au contraire. J’aurais voulu me mettre devant un film avec lui, tout en me blottissant dans ses bras. J’aurais voulu pouvoir l’embrasser pendant les scènes les plus importantes, juste pour l’embêter. Mais je ne pouvais pas, je me l’interdisais tant que j’étais avec Luca. Sans lui dire quoi que ce soit je déposais mon sac dans ma chambre et alla m’enfermer dans la cuisine pour essayer d’appeler Luca.

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Il se sent soulagé comme si un poids énorme s'enlevait de ses épaules. Cette peur, cette frustration, cet amour dissimulé, ce désir inavoué, toutes ces choses qui l'ont tués ces derniers mois, à petit feu, une mort lente de son cœur qui se déchirait un peu plus à chaque fois qu'elle l'apercevait main dans la main avec l'un de ces nouveaux petits amis. Il l'aime, ça il le sait, il le sait depuis longtemps, depuis trop longtemps et il le cache depuis ce qui lui semble être une éternité, des mois entiers. Aujourd'hui, il apprend qu'elle l'aime, elle l'aime autant que lui il l'aime et elle le cache depuis un moment aussi apparemment, elle fait ça pour l'oublier et elle ne réalisait pas non plus qu'elle le faisait souffrir et il ne réalisait pas lui aussi qu'il lui faisait du mal. Il se sent un peu idiot. « L'amour rend aveugle », c'est vrai, il ne voyait plus rien mais, une paire de lunettes n'y aurait rien changé. Il lui aurait juste fallu qu'on lui donne un bon coup sur la tête, une bonne dose de lucidité. Ces pensées se chassent de son esprit, il profite juste de l'instant du moment alors qui lui déballe ce qu'il a vécu ces derniers moins dans un monologue qu'il aimerait écourter au mieux, n'ayant pas vraiment envie de faire non plus une longue déclaration, il n'aimerait pas finir par l'ennuyé. Elle écoute attentivement, il se noie dans ces yeux noisettes, elle l’hypnose totalement. Il aimerait unir à nouveau leurs lèvres et entremêlés une nouvelle fois leurs langues dans un baiser doux, lui donnant tout son amour à travers et sa tendresse. La colère, la jalousie, la frustration, tous ces sentiments avaient disparus. Le jeu s'était calmé, les voisins allaient enfin pouvoir être tranquille mais, c'était sans compté sur les commères qui elles n'avaient s'en doute pas perdu une miette de la dispute entre les deux. Les doutes étaient partis, il était sûr qu'il l'aimait, il l'a croyait maintenant, ils seraient ensemble. Leur histoire finissait finalement en happy ending mais, il y avait sûrement un après. «Pourquoi tu m’as jamais rien dis ? Tu aurais dû m’en parler je… Ça aurait évité que je te fasse souffrir… Je suis désolée Djim… » Ces mots lui donnèrent l'impression qu'elle se sentait coupable. Hors, il ne lui en voulait pas du tout, elle ne savait pas. Comment aurait-elle pu savoir ? Il l'avait tout autant faire souffrir qu'elle pouvait lui avoir faire du mal. Il pensait que si quelqu'un devait se sentir coupable, ça serait lui. Il avait agit comme un idiot ces derniers-mois, il ne provoquait que des disputes et pourtant il savait que Lisea et sa jumelle ne se parlaient plus, il aurait du être là un peu plus pour elle plutôt que d'en rajouter encore. Elle ne lui en parlait, de ce qui se passait, de ce qu'elle ressentait mais, il se doutait qu'après avoir perdu sa moitié, on n'allait pas bien. « Tu ne m'as rien dis non plus à ce que je sache. » Il sourit, il aimerait détendre l'atmosphère. Il déposa un rapide baiser sur ces lèvres, ayant envie de sentir une nouvelle fois la sensation des lèvres de Lisea contre les siennes. Une sensation douce et agréable même si le baiser était rapide, il avait aimé. Elle embrassait merveilleusement bien. Il aimerait recommencé encore et encore mais, ils doivent tout de même parlés un minimum. Ils viennent quand même de passé des mois à se cachés leurs sentiments, à se mentir en quelque sorte et en pensant protéger leur amitié si chère même si au final, ils avaient tellement besoin d'être plus l'un pour l'autre qu'ils l'a détruisaient. Djimeo semblait être l'homme le plus heureux du monde maintenant. « L'amour rend aveugle, n'est-ce pas ? » Il rajouta. Il tentait de l'a faire au moins esquissé un sourire, toute cette ambiance était bien trop sérieuse à son goût. Il voulait entendre son rire, ce rire qu'il n'avait pas entendu depuis des décennies. Tout ce qui était joyeux avait disparut de leurs cohabitation depuis que Djimeo avait découvert ses sentiments et surtout qu'il était jaloux et que cette jalousie tuait peu à peu leur amitié. Ils venaient tout de même de passé à coté de la fin. Si elle était partie, ils ne se seraient jamais avoués qu'ils s'aimaient réciproquement, que cette amour les dévoraient chacun de leurs cotés. Ils se seraient éloignés, peu à peu, ils auraient arrêtés de se parlés, se faisant peut être au minimum des signes de la main pour se dire bonjour et chacun serait rongé par la douleur et la souffrance. Il espérait que maintenant les choses s'arrangent, que tout redevienne comme avant sauf, qu'à présent, les tensions disparaîtraient et elle serait sa petite amie. Sa petite amie ? Et il se souvient qu'elle était déjà la petite amie de quelqu'un alors qu'elle lui parle de Luca et qu'elle n'est pas une fille infidèle et qu'elle ne le sera jamais. Elle préfère le quitté avant parce que même si elle ne l'aime pas, elle ne veut pas être comme ça. Il comprend mais, ce « détail » lui fait légèrement perdre son sourire. Il espère qu'elle va le quitter, rapidement. Dès qu'elle pourra en tout cas, il voudrait qu'ils soient rapidement ensemble, ensemble pour de bons et que maintenant, plus rien ne les séparera. Il comprends et le dit, il veut être à la place de Luca. Louhan. C'est ce qui lui vient à l'esprit à l'instant. Sa relation avec Louhan. Cette relation dont il n'a pas encore parlé avec Lisea et d'ailleurs qu'il préfère évité. De toute manière, il n'en avait pas vraiment eut l'occasion trop occupé à lui hurlé dessus mais, maintenant, il se sent gêné. Il se tend. Que va-t-il se passé ? Ils viennent à peine de se réconciliés, il va sûrement y avoir une énorme dispute et elle va le quitter. Il pense lui cacher pour l'instant, il lui en parlera quand sa sera le moment. Il n'ose pas vraiment abordé le sujet Louhan de toute manière, c'est assez sensible. « Je te promet qu’après on sera ensemble, pour de vrai. » Ces paroles lui rendent son sourire et il essaie tant bien que de mal de chassé Louhan de sa tête pour sourire timidement à sa futur petite amie. Il lui cache déjà des choses. Ce n'est pas vraiment caché, c'est surtout la protégé, on va dire ça comme ça. C'est juste un sujet préférable à éviter, il lui en parlera le moment venu alors, il préfère ne pas dire que c'est un mensonge ou une cachotterie, ce sont les grands mots tout de même. « Tu seras mon petit ami… Rien qu’à moi… » Rien qu'à elle ? Voilà une idée qui lui plaît. Lui appartenir, être rien qu'elle à elle et l'idée qu'elle lui appartienne, ça lui redonne le sourire et Louhàn est chassé de ses pensées, le moment est rendu plus agréable. Le silence, ils se regardent juste. « On devrait rentrer. Je vais essayer de l’appeler, mais je crois qu’il bosse. »  Il n'a pas vraiment envie de parlé de ce gars, il acquiesce. Il est pressé qu'ils soient ensemble, enfin. Ils rentrent à nouveau dans l'appartement, l'air semble plus frais et la tension s'est effacée. Ils avancent d'une allure tranquille même si Djimeo a envie d'en finir, qu'ils soient ensemble maintenant et à nouveau, cette appartement sera transformé en un endroit amusant et plus jovial qu'il ne l'ai actuellement. On pourrait entendre les mouches volées et ça a le don de le perturbé. Elle partit s'enfermer dans la cuisine pour téléphoné à Luca quand Djim' reçu un message. Le boulot. Il devait partir maintenant, une urgence. Le photographe s'était désisté à la dernière seconde et ils appelaient Djimeo pour le remplacé. Il murmura un « Je dois y'allé » avant de partir rapidement.