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 Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas

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Olivia Atkins
Willa Clarke
Gabriel Buckley
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Gabriel Buckley

Gabriel Buckley


PSEUDO : black . Devil
POTINS : 18
AVATAR : Henry Cavill
AGE : 30 ans
METIER/ETUDES : Acteur

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MessageSujet: Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas   Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas EmptyDim 10 Nov - 23:53

❝ Gabriel Buckely ❞
"C'est bien la pire folie que de vouloir être sage dans ce monde de fou".

✮ ✮ ✮

✮ One Wonderful day ✮
✮ NOM COMPLET : Gabriel Andreas Buckely. ✮ AGE : 30 ans. ✮ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 5 Aout 1983 à Minneapolis. ✮ STATUT CIVIL : célibataire endurcit. ✮ EMPLOI : acteur. ✮ QUARTIER D'HABITATION : Wisteria Lane. ✮ TRAITS DE CARACTÈRE : ambitieux/volage/fêtard/charmeur/courageux. ✮ AIME/DÉTESTE : la vie/la fête/les femmes - L'inaction/les ragots/les vantards. ✮ GROUPE : Ceux qui regrettent le passé.




PELOUSE BIEN TONDUE
PARFAITS MUFFINS
ACCUEIL CHALEUREUX
RAGOTS A GOGO
FÊTE JUSQU’À PAS D'HEURES
SECRET DÉFENSE
GRAND ROMANTIQUE
LA FAMILLE AVANT TOUT
METRO, BOULOT, DODO
VOISIN MALVEILLANT
✮ DEPUIS COMBIEN DE TEMPS ÊTES-VOUS A FAIRVIEW ? Je viens tout juste d'arriver, quelques jours tout au plus. ✮ AIMEZ VOUS LA VIE EN BANLIEUE ? QU'EST CE QUI VOUS PLAIT OU AU CONTRAIRE VOUS REBUTE ? Depuis la mort de ma bien aimée rien ne va plus. C'est naturellement que j'ai décidé de faire un break, annonçant à mes producteurs que je ne renouvellerais pas ma participation pour une autre saison. Avec mon personnage, prenait fin la série. Mon deuil je l'ai fait depuis quelques temps, mais j'avais besoin de changer de vie, changer d'air, partir sur autre chose. Faire un break dans une banlieu chicos, pourquoi pas. Puis ça me permettrait d'étudier quelques propositons de films ✮ QUEL EST VOTRE PLUS GRAND REGRET ? Je pense que je regretterai le fait de ne pas avoir fait plus d'études. J'envie ces types qui durant des galas ou des soirée parlent politique, art...  ✮ ET CE DONT VOUS ÊTES LE (LA) PLUS FIER(E) ? ma carrière, puisque parti de rien j'ai réussi à me faire un nom, parti de rien. J'espère bien devenir un grand acteur de cinéma et pas seulement me cantonner à des rôles de séries. ✮ QU'EST CE QUI VOUS A POUSSE(E) A VENIR VOUS INSTALLEZ A FAIRVIEW ? La série dans laquelle je jouais s'est achevée, ne souhaitant plus faire de petit écran, je me suis mis à l'écart des médias pour préparer mon retour au cinéma. En voici la raison officielle. Officieusement, je m'éloigne également pour achever mon deuil. ✮ QUE PENSEZ VOUS DE VOS VOISINS ? il me tarde de les connaître, il parait que l'ambiance des banlieue chics vaut le détour. ✮ PARTICIPEZ VOUS A DES ACTIVITÉS ? Les lundis-mardis et jeudi il fait du sport. Le vendredi du football américain, il compte proposer son aide pour le club de théâtre . (cf. agenda de fairview.) ✮ CACHEZ VOUS DES SECRETS ? oh oui, un secret qui pourrait ruiner ma carrière. J'ai été repéré dans un bar où je bossais comme barman. Le boulot ne payant pas des masses je faisais des petites gâches à côté, je tournais dans des films pour adultes. Je n'en suis pas très fier, mais il fallait que je paye mon loyer. Mais maintenant j'ai bien peur que si cette histoire ressort, elle ne mette fin à ma carrière.

✮ Come in, Stranger ✮
« 1 – Prélude : il y a un début à tout »


Mon passé, je l’ai laissé derrière moi, dans l’espoir de ne plus jamais le voir refaire surface. Mais il y a un début et une fin à tout. Mon début est en arrière, et je ne veux pas regarder derrière moi pour voir tous les souvenirs que j’y ai entassé. Ma fin n’est pas encore là, elle fait partie de mon futur, un futur si compromis que je ne m’y projette même pas. Alors, il ne me reste rien. Rien du tout. Si ce n’est le néant. Mais il y a bien un jour où tout a commencé …

Me voilà à Fairview, cette petite ville paisible de l’Etat d’Eagle State. Ma nouvelle rue s’appelle désormais Wisteria Lane et avec elle commence ma nouvelle vie. Alors que je pose la dernière valise sur le perron de ma nouvelle maison, je me retourne pour observer cette rue de banlieue. Nous sommes un samedi et le soleil perce haut derrière les arabes. Ma voisine de droite est entrain de tailler ses rosiers, elle s’arrête quelques secondes pour m’observer et me fait un petit signe de la main. A ma gauche des enfants jouent au ballon, courent ou sautent à la corde, il y en a quarte au total et ils se ressemblent particulièrement, ô joie, mes voisin de gauche sont du genre hyper fertiles.  Un ado traverse la rue avec son skate, une voiture flambant neuve passe au ralenti. Ah la joie de la vie de banlieue. Tout cela me changera beaucoup du tumulte de New-York.
J’enfonce la clé dans la serrure et pousse la porte de cette nouvelle maison. Ca sent le renfermé et la poussière ici. J’arrive dans un salon/salle à manger, à gauche une cuisine américaine, au centre un grand escalier. J’ai acheté cette maison sur des photos, mon assistant s’est occupé du reste. C’es beaucoup moins spacieux que mon loft new-yorkais. Mais tout cela n’est que temporaire, bientôt tout sera à nouveau restructuré, j’oublierai cette douleur lancinante qui me broie le cœur, je trouverai un nouveau rôle, et ma vie reprendra son cours normal.


« 2 – un seul mot d’ordre: partir »


« Quand j’étais petit, ma mère me disait que j’étais un morceau de ciel bleu et que j'étais venu au monde parce que mon père et elle s’aimaient énormément. Ce n’est que plus tard que j’ai compris que ce n’était pas tout à fait vrai. La plupart des bébés ne sont que des coïncidences. Je veux dire qu’au ciel, il y a des milliers d’âmes qui se promènent à la recherche d'un corps où habiter. Et là, sur la terre, deux personne s’accouplent et bam, coïncidence. Oh bien sûre, on entend toujours un tas d’histoire sur la façon dont les gens ont planifiés leurs petites familles parfaites, mais la vérité c’est que la plupart des bébés sont le résultat de soirées bien arrosées, et d’un sérieux manque de contraception. Ce sont des accidents. Seul les gens qui ont de la difficulté à faire des bébés planifient leur arrivée. » *

Je suis aussi né dans une banlieue de St-Paul, mais différente de celle-ci la mienne était moins luxurieuse, beaucoup plus populaire. Je suis né à Minneapolis, de l’autre côté du pont, sous une chaleur étouffante. Je ne m’en rappelle pas bien sûr, mais dans le coin les étés sont très chauds et humides, alors je suppose que le 5 Aout de ma naissance ça l’était.
Mon enfance à été plutôt joyeuse de ce que je me souviens. J’ai vécu avec une mère attentionnée et aimante, des grands-parents maternels cajoleurs.  Il manque une variable à mon équation. Mon père. Petit ma mère me disait que mon papa était parti pour un loooong voyage. Je ne découvris la vérité que plus tard.
St-Paul et Minneapolis étaient de grandes villes, mais je rêvais de plus. Ma petite banlieue tranquille était ennuyante à mourir. J’allais dans le lycée du coin où 80% des histoires d’amour se finiraient par un mariage. Ma vie allait donc se résumer à ça, finir le lycée, me trouver une petite cheerlider que j’allais mettre enceinte dès le lycée terminé. Ca arrangera nos parents puisqu’ils n’avaient pas les moyens de nous envoyer dans une université côté. Elle trouverait un petit boulot dans le fastfood du coin, moi je bosserai dans une concession auto. Moi qui était sportif et populaire je me transformerais en un type graisseux et à la calvitie naissante. Dans le fond je serai heureux mais bien loin de me douter à quel point ma vie est frustrante, à quel point il y a beaucoup mieux ailleurs. Fort heureusement,  la prise de conscience ce fit assez tôt, et dès le lycée fini je pris la décision de quitter ma copine cheerlider, de faire mes bagages et de partir à New York.
Ma mère tenta de me raisonner, me dire que sans argent je n’arriverai à rien. Mais j’appris également que mon père vivait à New-York alors peut-être que je pourrais le retrouver. Pourquoi pas.


«3 – Tout le monde sait comment on fait les bébés mais personne sait comment on fait des papas»


Parfois, il ne sert à rien de chercher la vérité, de chercher à comprendre. C’est peine perdue, c’est inutile, ça n’apporte que du mal autour de soi. Mais il est parfois nécessaire de chercher l’origine du problème pour le résoudre, avant que les choses ne dégénèrent, avant que ça ne prenne de trop grande proportion. Parce que tant que l’origine du problème n’est pas défini, le résoudre peut s’avérer être impossible. Alors, on se retrouve dans une impasse, avec aucun moyen de s’en sortir.

Ca y est j’y étais, la grande ville. Du bruit, de la pollution, des buildings qui touchaient le ciel. J’avais en tout et pour tout une valise, le nom et la photo de mon père et 400 dollars. Je n’étais pas naïf, je savais que dès la première semaine, mon argent serait dépensé. Je choisi un petit hôtel près de la gare, un petit truc miteux qui ressemble plus à un hôtel de passe qu’autre chose. Mais je n’allais pas m’éterniser ici. Il me fallut trois jours pour trouver un job, un bar branché de Chelsea qui cherchait un barman. Ma jolie gueule n’y était sans doute pas étrangère puisque qu’en partant j’aperçus clairement la patronne me reluquer le derrière.  Quoi qu’il en soit j’avais un job, je ne touchais pas des fortunes mais j’étais payé à la semaine, et on ne partageait pas les pourboires.
Très rapidement je pris mes marques, je louais un studio à Queens, je travaillais jusque tard le soir, je dormais jusqu’en fin de matinée, puis j’allais faire du sport et rechercher mon père. Un jour j’en parlais à ma bosse. Elle me dit que ce nom ne lui était pas étranger, Andreas Migliani.
Après des mois de recherches je réussi à trouver une réponse à mes questionnements. Mon père était un producteur de musique à la retraite qui avait le vent en poupe il y a une vingtaine d’années. Il trainait souvent à des soirées et des expositions de SoHo. Alors j’écumais tout ce que je pouvais jusqu’au jour où je le vit, là assis en face de moi dans un café, seul. Au diable la pudeur, c’était ma seule chance de l’aborder, ni une ni deux je m’assis en face de lui. Surpris de mon aplomb il me questionna sur la raison d’un tel comportement. Alors je me présentais, calmement, lui racontant mon histoire. Il m’écouta silencieusement, sans m’interrompre, bu une longue gorgée de son café avant de me répondre. Il rassembla les pièces de mon puzzle. Ma mère avait eu la même démarche que moi il y a un peu moins de 20 ans. Elle en avait eu marre de son bled perdu et avait tenté l’aventure dans la grande ville. Il avait une dizaine d’année de plus qu’elle, il était marié et père de famille. Elle avait une voix remarquable et une chose en entrainant une autre ils ont fini par avoir une relation amoureuse, courte mais intense jusqu’au jour où elle tomba enceinte. Il ne pouvait pas quitter sa femme et son enfant pour une aventure. Il mit fin à leur relation et ma mère retourna à St. Paul.
Je ne savais absolument pas que ma mère était venue à New-York, qu’elle savait chanter. Mais maintenant je savais parfaitement le pourquoi du comment. Andreas était depuis longtemps divorcé, il avait deux enfants, deux filles, l’une plus âgée que moi, avocate, l’autre plus jeune qui finissait ses études d’architecte. Il accepta de garder contact avec moi, et à partir de ce jour nous nous voyons tous les dimanches après-midi.


« 4 – Mes baskets étaient trouées , tes collants étaient filés
Notre histoire était sincère, notre couple était stylé »


Avec le temps, on fini par s’attacher aux gens. On se rapproche d’eux, on leur fait confiance. Les choses viennent tout naturellement. Il n’y a pas de règles dans ces jeux là. On s’attache aux gens et on leur ouvre notre cœur … on suit le mouvement sans broncher, on se fond dans la masse et on ne compte plus que sur ces gens qui nous font briller. On avance doucement mais sûrement, en sachant qu’on pourra toujours compter sur eux. Mais de temps en temps, on fait des choses qu’on pourrait bien regretter plus tard … On fait des erreurs. Parfois irréparables.

Le travail était dur et payait peu, mais je m’accrochais. Pourquoi ? Je n’en avais pas la moindre idée, je n’avais aucun projet ici. 21 ans et aucun plan, si l’on me demandait ce que je ferai dans dix ans, j’aurai été incapable de répondre. Mais il fallait que je paye mon loyer, que je mange, et puis de toute façon à St. Paul rien de meilleur ne m’arriverait.
Il y avait une nouvelle au boulot, engagé par le mari de la patronne. La pauvre ne savait pas porter un verre correctement mais elle était tellement belle et désirable qu’il suffisait qu’elle soit là pour attirer les clients. Elle me faisait tellement de peine que je l’aidais souvent, essayant de lui apprendre deux-trois astuces. Jessica, c’était son prénom, venait de Trenton dans le New Jersey, elle avait étudié l’art à la fac mais ne trouvait pas de travail encore, alors pour ne pas mourir de faim et éviter de retourner chez elle, elle travaillait ici tout en continuant à postuler dans les galeries d’art. Très vite, nous sommes devenus proches, même inséparables jusqu’au jour où après une soirée arrosée nous couchâmes ensemble. Des bribes me reviennent parfois, c’était sordide, dans une ruelle. On dit parfois que coucher ensemble détruisait les amitiés, pour nous deux ce fut une nuit suivie de beaucoup d’autres et le début d’une belle histoire d’amour.
Quand j’y repense, elles étaient là les meilleures années de ma vie, un bonheur à l’état pur. On avait rien dans les poches, on finissait souvent les fins de mois avec rien de le frigo. On grugeait souvent les contrôleurs pour prendre le métro et les soirs où on réussissait à aller manger une pizza  dans un restaurant se comptaient sur les doigts d’une main. Mais on était heureux, parce qu’on était tous les deux.  Malheureusement dans ce bas monde, l’argent est roi et nous, ses humbles serviteurs.


« 5 – A la recherche du bonheur »


Les débuts ne sont jamais faciles. Jamais. Mais on s’adapte. Et je ne perdais pas de vue que quoi qu’il puisse se passer, ce serait toujours mieux que tout ce que j’avais vécu jusqu’ici. Je tenais mon salut. Pour l’instant, je n’avais qu’une chose à faire : profiter de la nouvelle vie qu’on m’offrait.

Je voulais tellement lui offrir plus, lui décrocher la lune, mais quand on a à peine de quoi payer un ticket de métro c’est un peu compliqué. Un soir un homme d’une quarantaine d’année était venu passé la soirée au bar accompagné de deux filles qui semblaient plus jeunes que moi mais habillées de façon si vulgaire et tellement maquillées qu’elles auraient facilement pu paraître dix ans de plus. Alors que tout le monde était parti et que je faisais la fermeture ils étaient encore là. Il me fit signe d’approcher, ce que je fis puisque je devais le prévenir que nous allions fermer. Il me tendit une carte, il était réalisateur de film. Je pris quelques secondes pour discuter avec lui. Il m’expliqua alors qu’il réalisait des films pour adultes.

- Ca paye bien, même très bien, et toi mon ptit gars t’as l’air d’avoir besoin de tunes.

Je déclinais gentiment sa proposition lui expliquant que j’avais une petite amie.

- C’est pas si sorcier, tous les acteurs le font, c’est juste un rôle, tu trompes pas ta copine. C’est deux cent dollars la journée de tournage.

La vache, deux cent dollars c’est quasiment ce que je gagnais en une semaine. Il avait fini par me convaincre, juste pour voir ce que c’était, ça ne m’engageait à rien. Le lendemain j’étais devant la porte d’un appartement de Manhattan… si vous saviez comme c’est difficile de dire non à de l’argent facile. Je disais à Jessica que j’avais trouvé un deuxième boulot, dans une entreprise de déménagement. Bien sûr dans ma tête je ne faisais rien de mal, j’étais simplement acteur, tous les acteurs tournaient des scènes d’amour.
J’étais de mieux en mieux payé, on avait même réussi à déménager de mon vieux studio pour trouver un appart’ avec une vraie chambre et une salle de bain qui n’était pas sur le pallier. Le soir je pouvais l’emmener voir des expos, l’inviter au restaurent, et même aller passer quelques weekend à la campagne dans l’année.


« 6 – J'aurai voulu être un artiste »


Trop souvent, ce qu’on désire le plus au monde, est justement ce que l’on ne peut pas avoir. Le désir parfois, peut vous briser le cœur, vous anéantir. Le désir peut faire de votre vie en enfer. C’est dur de vouloir quelque chose qu’on ne peut pas avoir. Mais ceux qui souffrent le plus, sont ceux qui ne savent pas ce qu’ils veulent.



Un beau jour, je devais avoir un peu moins de 24 ans, je discutais avec mon père de mon avenir. Cette fameuse question « qu’est-ce que tu comptes faire de ta vie ? ». Je n’y avais toujours pas réfléchi mais spontanément j’ai répondu acteur, comme un gosse qui répondrait cosmonaute. Il avait encore quelques contacts dans le milieu. La semaine suivante il m’arrangea un entretient avec un de ses ami qui cherchait des acteurs pour sa nouvelle série. Une série qui parlait de gladiateurs. J’étais là pour un petit rôle, à peine plus important qu’un figurant, mon personnage allait mourir au quatrième épisode. Mais comble de l’ironie on me trouva très bon et je décrochais le rôle principal.
Autant vous dire que ma vie prit un virage à 180 degrés, je passais du type qui se contentait de son train-train quotidien, boulot-metro-dodo à quelqu’un que l’on reconnaissait dans la rue, qu’on arrêtait pour demander un autographe. Du petit appartement dans le Queens je passais du loft à SoHo, grâce à mes contacts une galerie d’art côté embaucha Jessica. Notre vie allait enfin être parfaite.
Durant quatre ans j’étais occupé à plein temps sur ma série, elle avait du succès, cinq saisons et la sixième étaient en cours de tournage. Avec Jessica on se voyait de moins en moins souvent, j’étais occupé à tourner, occupé à faire de la promo, occupé à des soirées. Nous étions quasiment devenus deux étrangers, mais je faisais ça pour nous, pour elle, pour que plus jamais je n’ai à tourner dans des films sordides pour arrondir les fins de mois, pour pouvoir lui offrir tout ce dont elle désirait, un bel appartement, de beaux bijoux, prochainement un beau mariage. Car oui je comptais la demander en mariage, il fallait seulement que je trouve le bon moment. Un jour, prochainement, demain, à la fin du tournage…
Moi qui avait désiré toute ma vie une vie trépidante sans jamais l’avoir, je l’avais enfin, même si quelques fois je m’en lassait, à croire qu’on ne sait souvent pas ce que l’on veut vraiment.


« 7 – Bien tôt j’ai fini par comprendre que l’argent était la faim et que sa fille était gourmande »

Lorsque l’on meurt ou que l’on souffre d’une horrible perte nous traversons tous cinq étapes de la peine. On passe par le déni car la perte n’est pas envisageable, on ne peut imaginer que c’est réel. On s’énerve contre tout le monde, contre les survivants, contre nous-même. Puis on trouve un arrangement, on supplie, on implore, on offre tout ce qu’on a, on offre nos propres âmes en échange d’un jour de plus. Quand les négociations échouent la colère est difficile à contenir, on tombe dans la dépression, le désespoir, jusqu’à ce qu’on accepte finalement que l’on a tout tenté. On abandonne. On abandonne et on accepte. Le chagrin peut être une chose que l’on a en commun mais il est différent pour tout le monde. Il n’y a pas que la mort dont on fait le deuil, de la vie, d’une perte, d’un changement. Et on se demande pourquoi ça bloque autant parfois, pourquoi ça fait tant de mal mais la chose dont on doit se souvenir c’est que ça peut changer. C’est comme ça qu’on reste en vie, quand ça fait si mal, qu’on ne peut plus respirer, c’est comme ça qu’on survit. En se rappelant, qu’un jour, qu’en quelque sorte, vous ne le ressentirez plus de la même manière, ça ne fera plus aussi mal. Le chagrin vient à chacun en son temps, de sa propre manière. Alors le mieux que l’on puisse faire, le mieux que chacun puisse faire est de recourir à l’honnêteté. Le truc vraiment merdique, la pire partie du chagrin est que vous ne pouvez le contrôler. Le mieux que l’on puisse faire est d’essayer de laisser nos sentiments quand ils viennent. Et les laisser partir quand on peut. La pire chose c’est qu’à la minute où vous pensez l’avoir surmonté, ça recommence. Et toujours, à chaque fois, vous ne pouvez plus respirer. Le chagrin comporte cinq étapes. Elles nous semblent à tous différentes, mais il y en a toujours cinq : le déni, la colère, les négociations, la dépression, l’acceptation.

Il devait être trois heures du mat’, j’avais promis à Jessica de rentrer tôt, ce soir c’était son anniversaire. Je m’étais laissé entrainer dans la soirée d’une fille à papa de l’Hupper West Side avec quelques amis. Un verre pas plus, après je filais. Mais au fil de la soirée les verres s’enchainaient, le temps s’écoulait et moi j’avais complètement oublié l’anniversaire de Jessica. Mon téléphone sonna, un numéro inconnu s’afficha. Le temps d’aller m’isoler sur le balcon ce dernier s’arrêta de sonner. Mon cœur manqua un battement lorsque je vis 12 appels en absence de Jessica. Merde je l’avais complètement oublié, elle allait être furieuse et je dormirais encore sur le canapé ce soir. Le numéro inconnu s’afficha à nouveau, je répondis, une voix de femme.  Mon téléphone me glissa des mains, et alla s’écraser quelques mètres plus bas dans la rue.
Inspiration. Expiration. Inspiration. Expiration. Inspiration. Expiration. Inspiration. Expiration.
Je me précipitais hors de cet appartement, pris le premier taxi qui venait en direction de l’hôpital. Jessica avait eu un accident de voiture, elle téléphonait au volant, avait grillé un feu rouge. Mon numéro était celui qu’elle essayait de joindre. Le verdict était sans appel, morte sur le coup.
1- Le déni : C’était impossible, elle ne pouvait pas être morte, pas elle, pas comme ça. J’allais bientôt me réveiller en entendant la voix de Jessica râler de beau matin parce que j’avais oublié son anniversaire, que je ne changerais jamais. Mais promis j’allais faire des efforts, parce que ce n’était pas possible, ce n’était pas elle sous ce draps blanc dans cette pièce froide.
2- La colère : Je me réveillais chaque matin la rage au ventre, les yeux brulant d’avoir trop pleuré. En colère contre la terre entière, contre le Ciel qui avait appelé à Lui la femme de ma vie. Contre cette voiture qui n’avait pas freiné à temps. Contre Jessica qui était sortie à cette heure-ci et surtout contre moi. Moi qui n’avais pas été fichu de respecter un seul de mes engagements. Moi qui avais oublié son anniversaire et m’était laissé entrainé dans une énième soirée. Moi qui aurais dû dès le travail terminé courir serrer dans mes bras ma bien aimée.
3- Les négociations : Peut-être que si je fermais très fort les yeux, tout ceci ne serait qu’une mauvaise plaisanterie, une blague de Jessica pour me donner une bonne leçon. Promis, j’ai compris, si tu franchis cette porte je te jure de changer complètement, d’être toujours présent pour toi. Fini les soirées, finis les longs voyages, fini de m’afficher au bras de filles plus jeunes que moi. Juste, franchis cette porte et je te promets que tout redeviendra comme avant, quand on était pauvres mais heureux.
4- La dépression :  je me réveille souvent avec un mal de crane lancinant qui me vrille les tempes. Un goût acre de vodka brûle ma bouche et une légère nausée fait tout tanguer autour de moi. Merde je saigne encore du nez, surement la faute à cette poudre blanche qui s’étale sur ma commode. A ma droite dorment deux filles, nues, et visiblement je le suis aussi. Merde, je ne me souviens même plus de leurs prénoms. Je les secoue par l’épaule et leur dit de dégager. Elles ne se font pas prier, elles auront quelque chose à raconter à la presse au moins. Aujourd’hui je n’irai pas tourner, demain non plus. Je n’ai plus envie.
5- L’acceptation : Je ne peux pas nier l’évidence, elle est morte. Et me mettre minable tous les soirs ne la fera pas revenir. Même si les drogues ne me font plus envie, je n'arrive pas à m’empêcher de boire, quand je suis seul, pas en public, je ne veux pas qu'on me prenne pour un alcoolique.  Y a autre chose que je n'arrive pas à arrêter, les filles. Je me sent obligé de rentrer avec quelqu’un à mon bras, et l’espace d’un instant, lorsque je serre ce corps brulant contre moi, et que je ferme fort les yeux, j’ai l’impression qu’elle est là que c’est elle que je serre dans mes bras. J’ai repris les tournages, au grand soulagement de mon producteur et de mon agent.


« 8 – Epilogue : Avec le temps va, tout s'en va »


La douleur peut se manifester sous différentes formes. Ça peut être un petit pincement, une légère irritation, une douleur lancinante, une douleur que l’on supporte tous les jours. Et il y a le genre de douleur que l’on ne peut pas ignorer. Une douleur si grande, qu’elle bloque tout le reste. Et fait disparaître le reste du monde ! Jusqu’à ce que la seule chose à laquelle on pense, c’est à quel point on souffre ! La façon dont on gère notre douleur dépend de nous. La douleur... On l’anesthésie, on la surmonte, on l’étreint, on l’ignore... Et pour certains d’entre nous, la meilleure façon de gérer la douleur, c’est de foncer tête baissée. La douleur... Vous devez arriver à la surmonter. Espérer qu’elle disparaisse d’elle-même, espérer que la blessure qui la cause se referme. Il n’y a pas de solutions, pas de remède miracle. Vous devez respirer à fond et attendre qu’elle s’estompe. La plupart du temps, on peut gérer la douleur. Mais parfois, la douleur s’abat sur vous quand vous vous y attendez le moins. Elle vous attaque en traître et ne vous lâche pas ! La douleur... Vous devez juste continuer à vous battre parce que de toute façon vous ne pouvez pas l’éviter. Et la vie en fournit toujours plus !

J’ai pris une grande décision. Après cette saison, j’arrête la série.  J’en ai fait le tour, j’ai envie d’autre chose. J’ai envie de plus grand, je ne veux pas rester toute ma vie un acteur de série, je veux faire du cinéma. Aussitôt cette annonce faite, j’ai reçu quelques propositions, rien de bien alléchant, je me laisse du temps pour réfléchir à un grand rôle qui me fera revenir sur le devant de la scène. J’en ai marre de New York, j’ai fait le tour également et à l’aube de mes trente ans j’ai envie d’autre chose que de soirées jusqu’à pas d’heure. J’ai envie de me mettre au vert, déménager.
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Dernière édition par Gabriel Buckley le Lun 11 Nov - 18:43, édité 18 fois
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Willa Clarke

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MessageSujet: Re: Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas   Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas EmptyLun 11 Nov - 0:36

Bienvenue sur le forum haanouais haanouais I love you Henry Cavill est un très très bon choix ahhhh
et de ce que j'en lis, j'aime déjà beaucoup ton perso fuckyeah j'ai hâte d'en savoir plus sur lui hmhm un acteur, je trouve ça très original, ça change haanouais
bref, bon courage pour ta fiche brille
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MessageSujet: Re: Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas   Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas EmptyLun 11 Nov - 0:37

Merci beaucoup, je suis entrain de remanier un peu l'histoire que j'avais imaginé pour donner un peu plus de profondeur. J'ai hâte de finir pour commencer à jouer =D
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MessageSujet: Re: Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas   Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas EmptyLun 11 Nov - 8:32

Henry haanouais haanouais Je veux lien *-*
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche :D
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Clay Johnson
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MessageSujet: Re: Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas   Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas EmptyLun 11 Nov - 11:12

Bienvenue ahhhh 
Magnifique choix d'avatar brille Bon courage pour la fin de cette fiche I love you 
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Lainey Huxtable
≈ THE ONE THAT GOT AWAY
Lainey Huxtable


PSEUDO : Cough Syrup./Marion
POTINS : 1013
AVATAR : Katharine McPhee
CREDIT : @Merenwen
AGE : Vingt-huit ans
METIER/ETUDES : Ecrivaine

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MessageSujet: Re: Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas   Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas EmptyLun 11 Nov - 12:20

Mais quel choix brille
Bienvenue sur LMDM-A et j'aime beaucoup ton personnage I love you
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Livia Marling

Livia Marling


PSEUDO : Bavboule. (amina)
POTINS : 112
AVATAR : Chyler Leigh
CREDIT : @Hollow Bastion
AGE : Trente-et-un ans.
METIER/ETUDES : Avocate

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MessageSujet: Re: Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas   Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas EmptyLun 11 Nov - 14:20

HENRY haanouais héhé cri 
Bienvenue sur le forum hum 
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Sky McCarthy

Sky McCarthy


PSEUDO : Vio/Quentin
POTINS : 51
AVATAR : Jennifer Lawrence
CREDIT : Dark Dreams
AGE : 25 ans
METIER/ETUDES : Artiste Peintre

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MessageSujet: Re: Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas   Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas EmptyLun 11 Nov - 17:10

Bienvenue sur le forum brille
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Gabriel Buckley

Gabriel Buckley


PSEUDO : black . Devil
POTINS : 18
AVATAR : Henry Cavill
AGE : 30 ans
METIER/ETUDES : Acteur

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MessageSujet: Re: Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas   Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas EmptyLun 11 Nov - 17:15

Merci beaucoup pour votre accueil chaleureux, je serais ravi de jouer et avoir des liens avec vous tous, enfin Gaby le sera. Ma fiche est finie, je crois n'avoir jamais été aussi vite inspirée pour un personnage superman 
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Willa Clarke

Willa Clarke


PSEUDO : ✣ farewell/mathieu.
POTINS : 3749
AVATAR : ✣ haley webb.
CREDIT : ✣ avatar (c) midnight wraith.
AGE : ✣ trente-deux ans.
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MessageSujet: Re: Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas   Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas EmptyLun 11 Nov - 18:17

omg, j'aime beaucoup ton histoire, ton personnage, son secret, tout ce qu'il a traversé aow j'aime le fait qu'il ait vu beaucoup d'endroits, qu'il ait vécu autant de choses aow
Sa rencontre avec Jessica, les films pour adultes pour se sortir de sa galère, la série, le fait qu'il n'ait plus eu le temps de voir Jess, puis sa mort et la dépression, la drogue tout ça dediou bref, j'adore I love you
J'ai juste une question (ça n'a pas beaucoup d'importance mais je me sens quand même obligé de la poser), est-ce que les tabloïds ont recensés tout ce que Gabriel a fait après la mort de Jessica ? Genre, toute cette histoire de drogues et de filles, est-ce censé resté secret ou la presse en a parlé ? Ca n'a pas beaucoup d'importances, mais c'est juste pour qu'il n'y ait pas de confusions dans les rps, qu'on ne marque pas qu'on sait des choses qu'on est du coup pas censés savoir ou quoi Arrow

Mais sinon, tout est parfait, et je te valide I love you

✮ Félicitation ! ✮
Te voilà validé(e). Mais avant de pouvoir commencer à rp, il y a d'autres étapes par lesquelles tu dois passer. Ne t'en fais pas, ce n'est pas long. Dans un premier temps, il faudra que tu passes par cette partie, pour faire tes demandes de logement, de rang, de métier et pour t'inscrire à une des activités de Fairview. Tu pourras ensuite aller poster ta fiche de liens dans cette partie, et aller en demander aux autres. Et ici pour poster un scénario, si tu en as besoin. Et enfin, si tu ne l'as pas déjà fait, il est primordial de prendre connaissance de l'intrigue, et de l'avancement de la saison, dans cette partie.
Voilà, encore bienvenue sur le forum, et nous te souhaitons tous un excellent jeu sur Les Morales de Mary-Alice.

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Gabriel Buckley

Gabriel Buckley


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MessageSujet: Re: Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas   Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas EmptyLun 11 Nov - 18:24

Merciiiiiiii trop contente de pouvoir jouer !

C'est vrai que je n'ai pas beaucoup développé ça. En fait il a toujours été très discret sur sa vie privée, les journalistes savaient qu'il était avec quelqu'un depuis longtemps, y a eu quelques clichés, mais il n'en a jamais parlé, et à ces promos et tout ça il s’affichait souvent avec de jeunes starlettes pour semer le trouble et protéger Jessica. Pour sa dépression ça a filé un peu dans la presse, ils ont dit qu'il partait en vrille mais y a jamais eu de réelle preuve donc ça reste des rumeurs, la seule chose dont on était sûr c'était que sa copine était morte et qu'il n'allait pas très bien.
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Willa Clarke

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MessageSujet: Re: Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas   Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas EmptyLun 11 Nov - 19:05

d'accord, c'est parfait alors love2
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MessageSujet: Re: Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas   Gabriel Buckley ∞ Le talent c'est l'audace que les autres n'ont pas Empty

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