I SWEAR, WE ARE INFINITE ~

ROMAIN GEVARA
« It's time to begin, isn't it? I get a little bit bigger but then I'll admit
I'm just the same as I was Now don't you understand I'm never changing who I am.»

(c) TUMBLR, THE PERKS OF BEING A WALLFLOWER

◮ PRENOM & NOM : Romain Gevara ◮ AGE : vingt-et-un ans, tout juste majeur. ◮ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : le 7 septembre à Fairview ◮ EMPLPOI : au chômage, cherche désespérément sa voie. ◮ STATUT CIVIL : célibataire ◮ QUARTIER : riverton ◮ TRAITS DE CARACTÈRE : gentil - doux - indécis - timide - réservé - mignon - souriant - serviable - drôle - susceptible - discret - perdu - irresponsable - manque de confiance de confiance en lui. ◮ GROUPE : ceux qu'on oublie souvent

~ Tell me a little about your life

(c) Histoire inspirée de THE PERKS OF BEING A WALLFLOWER

❝ I SWEAR, WE ARE INFINITE ❞

Then I turned around and walked to my room and closed my door and put my head under my pillow and let the quiet put things where they are supposed to be.

▶ ❙❙

Je n'ai jamais cru aux Happily ever after dans les contes. La vie est faite d'épreuves, des obstacles qui nous barrent la route, qui nous empêchent d'atteindre LE but ultime : le bonheur. Le vrai bonheur. Celui dont on parle dans les contes, celui qu'on ne peut pas imaginer. Seulement voilà, on ne l'atteint jamais ce vrai bonheur, car une fois que le destin se rend compte que rien ne pourra nous arrêter, qu'il n'y a pas d'obstacles que nous pouvions franchir, il envoie son arme ultime : la mort. C'est une étrange façon de voir les choses je vous l'accorde, mais c'est comme ça que je pense. Les gens se battent toute leur vie pour tenter d'être heureux. Certains pensent l'avoir trouvé, mais ils n'en savent rien, ils se contentent simplement de ce qu'ils ont, et ce sont les plus heureux d'entre nous. Le vrai bonheur telle que je l'imagine, c'est se lever le matin et se coucher le soir sans se poser de questions, c'est vivre sans regrets, c'est l'amour qu'on porte et qu'on nous porte. C'est un ressenti imaginaire qu'on ne peut que rêver la nuit, c'est ce qui nous tiens debout et ce qui nous relève quand nous tombons. L'espoir d'un avenir meilleur. J'aimerais ne rien ressentir. Vous savez ? Ne rien ressentir. Ne jamais être heureux, ne jamais être triste, ne jamais se sentir honteux, ne rien ressentir du tout. Malheureusement, l'humain est doté d'un super organe qui nous fait ressentir ces choses : le cœur, et si nous le retirons, nous mourrons. C'est ce même cœur qui me fait avancer dans les couloirs du lycée, la tête baissée pendant que tout le monde rit de moi. C'est le gros dur de l'école qui a encore pris plaisir à m'humilier publiquement. Bah, je suis habitué maintenant. C'est depuis le début de l'année. Du moins, c'est ce que j'aime faire croire. Faire semblant que tout ça ne m'atteint pas pour éviter de fondre en larme. Vous ne pouvez pas imaginer comment on se sent, quand les regards pèsent sur toi, quand les rires résonnent dans tes oreilles. Tu trembles, tu marche pas droit. Désespérément, tu t'accroches au livre que tu presses contre ta poitrine. Tu sens ton cœur battre, une boule se forme dans ton ventre et tu te met à courir pour échapper à ça. Tu fais comme si ca ne te faisais rien, mais au fond, ca te fait mal. Tu te demande ce que tu as fais pour mériter ça, tu cherches l'erreur sans jamais la trouver. Tu ne peux rien faire d'autre que supporter, c'est ce qu'on appelle l’impuissance. Tu ne souris jamais, tu parles mais personne ne t'écoute, personne ne te répond. Tu serres la mâchoire, tu te mord la lèvre pour empêcher les larmes de couler. On te bouscule, on ne s'excuse pas. On te choisis toujours en dernier en sport. On oublie ton nom. On ne t'interroge jamais. Car tu es transparent. Ignoré, incompris. Tu marches seul, tu manges seul, tu endures ça seul, sans personne pour t'aider. Il faut que tu te débrouille seul, alors tu supportes tout. Tu te relève à chaque chutes mais tu ne dis rien. C'est ce qu'on appelle le courage.

❝ I SWEAR, WE ARE INFINITE ❞

So, this is my life. And I want you to know that I am both happy and sad and I'm still trying to figure out how that could be.

Ce n'est pas facile de comprendre le destin. Parfois on se demande pourquoi ils nous enfonçant, et d'autres fois on ne comprend pas pourquoi ils nous donne un coup de mains. C'est pour cette raison que j'hésite à le remercier. Les choses auraient pû devenir pires qu'elles ne l'étaient, mais contre toutes attentes, elles se sont mises à devenir meilleures, petit à petit. C'est marrant tout de même, la vie, comment elle peut toujours nous surprendre, toujours nous faire douter. C'est assez mesquin quand on y pense bien. Mais là n'est pas l'important. L'important, c'est surtout de profiter du moment présent, car tout est éphémère, et on ne sait jamais à quoi s'attendre, il est possible que ce moment ne soit pas toujours aussi beau. En revanche, ce qui le sera toujours, c'est ce sentiment que l'on ressentons qu'enfin, tout ira pour le mieux.

Vous croyez au coup de foudre ? Je ne sais pas vraiment quoi en penser a vrai dire. Je me souviens avoir trouvé ça stupide fut un temps, mais je me souviens aussi du bond dans ma poitrine quand je l'ai vu se déhancher sur la piste de danse du bal de la rentrée, le Homecoming. Elle me lançait des regards et je ne pouvais contourner le mien de sa chevelure blonde étincelante et de son corps dansant au rythme du son. A un moment, je n'étais pas sûr, mais je pensais qu'elle m'avait fait signe de venir vers elle. Mon corps tremblait et me cœur se serrait, mais je finis tout de même par me lever. J'hésitais. Je n'ai jamais rien ressenti de tel, j'avais peur. Mais pas la même peur que j'avais en arrivant au lycée le matin, une peur différente. Une peur qui m'excitait. Une peur qui me poussait vers elle. Une peur que j'appréciais. Je crois que jamais je n'oublierais ce soir, car c'est l'un des moments. Vous savez, l'un de ces moments où vous vous sentez bien, accepté, libre, différent, ces moments que vous avez envie de vivre pour l'éternité.

Elle s’appelait Marla, et c'était la première personne qui me souriait depuis que j'étais ici. J'avais du mal à parler, l'ambiance de la salle était bouillante, la musique retentissait dans mes oreilles, je n'étais pas à mon aise. J'étais gêné. Je l'écoutais se présenter sans rien répondre, ce qui la fit sourire. Et comme ça, elle me prit les mains et m’entraîna avec elle au milieu des autres danseurs. Elle lança quelques cris, elle chantait parfois et elle riait. Quelques fois, elle me prenait même par les épaules, se rapprochait de moi et me tournais, agissant comme si nous nous connaissions depuis toujours. « Je … je m'appelle Romain. » Elle rit de nouveau devant ma gêne avant de m'embrasser la joue. Je ne comprenais pas. Mais j'étais heureux. Avais-je raison d'être heureux ? Mon cœur battait contre ma poitrine et je me sentais capable d'affronter n'importe quoi, et c'est comme ça que, contre toute attente, mes pieds se mirent à bouger au rythme de la musique. Je n'avais jamais ressenti ça avant. Cette sensation, ce sentiment qui pourrait me faire danser jusqu'à en mourir d'épuisement, qui me faisait sourire et rire, qui rendait tout beau autour de moi et qui me faisait oublier le reste. Cette sensation, le bonheur je pense.

❝ I SWEAR, WE ARE INFINITE ❞

So, tomorrow, I’m leaving. And I’m not going to let that happen again with anyone else. I’m going to do what I want to do. I’m going to be who I really am. And I’m going to figure out what that is.

J'avais le sentiment que cette soirée n'était qu'une parenthèse dans ma misérable petite vie. Que j'avais été joyeux le temps d'une soirée, qu'il était temps que la routine s'installe de nouveau et que je redevienne cet ado tourmenté que j'avais l'habitude d'être. Mais tout avait changé. Oui, tout ! Ce midi là, j'étais assis à la cafétéria, seul, à la même table que d'habitude quand Marla vint s'asseoir en face de moi, accompagné de deux autres personnes. La première était une jeune femme qui semblait avoir le même âge que Marla, elle se prénommait Corale, elle était brune, grande et mince et elle semblait adorable mais elle je compris bien vite que ce n'était qu'une couverture, car en réalité, c'était une fille qui n'avait rien d'innocent. Elle était vulgaire et ne semblait pas être le genre de fille qui se laissait marcher sur les pieds. Et enfin, le deuxième était un garçon au cheveux blonds se prénommant Sullivan qui faisait plus vieux que son réel âge. Il avait le visage carré et quelques tâches de rousseurs discrètes encombraient son visage. Je compris très vite que c'était un homme qui n'était pas du genre à se prendre la tête. Doté d'un grand sens de l'humour, il me mit vite à l'aise. Ils avaient tous le sourire aux lèvres, comme s'ils étaient toujours heureux. Les mains entremêlés sous la table, la seule réaction que j’eus fut de baisser la tête et les saluer d'une petite voix timide, ce qui les fit rire, comme ça avait fait rire Marla le soir précédent. C'est a ce moment là que j'ai su que tout allait s'arranger, que tout allait devenir plus beau.

Très vite, ces trois jeunes devinrent mes rocs, les seules personnes à qui je pouvais faire confiance. Je ne savais pas pourquoi ils avaient décidés comme ça de me prendre sous leur ailes, et se contentaient de se regarder et de sourire quand je leur posais la questions. Mais peu importait a vrai dire, j'étais juste content, content d'avoir des amis, ce que je n'avais jamais eu auparavant. Avoir quelqu'un sur qui on peut compter, ca change la vie, et ca change notre vision de cette dernière. Quand on a des amis, nous ne sommes plus obligés de pleurer seul, nous ne sommes plus obliger de faire comme si tout allait bien et surtout, nous ne sommes plus seul. Peu à peu, nous devenions inséparables. Marla, ayant un penchant prononcé pour les fêtes, me traînaient à celles où elle étaient invités, Corale, quand à elle, m'apprit à m'ouvrir aux autres et Sullivan me faisait faire des choses que je n'aurais jamais imaginé faire un jour. Le fait était que ces trois personnes m'avaient beaucoup appris sur eux et sur moi-même. Grâce à eux, je découvris qui j'étais vraiment. Et croyez-moi quand je dis que ça rend les choses bien meilleures.

« C'est magnifique. » murmurais-je en posant ma tête sur l'herbe fraîche du soir, admirant avec émerveillement le magnifique ciel étoilé qui s'étalait au dessus de nos têtes. J'aimais ces soirées, nos soirées, où nous nous retrouvions tous les quatre. « Comment de si belles choses peuvent exister ? » Je me relevais en les regardant un à un. Corale, qui était restée assise, leva la tête, un sourire s'emparant de ses traits. « C'est une beauté éphémère. Au petit matin, tout ça aura disparu et il n'en restera plus rien ... » lança-t-elle, inspirée. « Jamais plus une nuit sera comme celle-là. » poursuivais Sullivan en souriant à son tour. « C'est pour nous rappeler qu'il faut toujours vivre l'instant. » termina Marla en fermant les yeux et en humant l'air. C'était la promesse que nous nous étions faite, toujours profiter de l'instant, car l'instant est rare. Sullivan avait raison, plus jamais nous n'aurions une nuit comme celle-là. Me laissant retomber sur le dos, je souris, épanoui. C'était ce que j'aimais. Être ici avec eux, à admirer ce que la vie est capable de nous offrir. Liés, complices, épanouis, inséparables, c'était ce que nous étions et ce n'était pas prêt de changer. Une amitié hors du commun, une amitié sincère qui pouvait résister à tous les obstacles. Certaines personnes croient au grand amour, et moi je crois a la véritable amitié. Plus forte que personne ne pourrait jamais l'imaginer.

❝ I SWEAR, WE ARE INFINITE ❞

And I think everyone is special in their own way. I really do.

« Romain ? » Je m'étais isolé. J'avais besoin d'un instant à moi, où je pourrais réfléchir. Oui, qui l'eut cru, le lycée est bientôt terminé. C'est fou comme le temps passe vite vous ne trouvez pas ? J'avais l'impression de les connaître depuis hier, mais non, trois ans que je partageais leur vie, trois ans qu'ils illuminaient la mienne, et aujourd'hui, le lycée se terminait. J'étais enroulé dans cette ridicule cape avec ce stupide chapeau sur la tête, et je songeais à l'après-lycée. Qu'allait-il se passer ? Nous avions tous différents projets, différentes voie à suivre. Cela voulait-il dire que nous allons devoir nous séparer ? Non, je ne pourrais le supporter. « Bah alors, qu'est que tu fais, nous t'attendons ! » Marla s'était affichée devant moi, vêtue elle aussi de sa cape, un large sourire sur les lèvres. Je la regardais sans rien dire, une expression triste s'emparant de mes traits. « Je ne veux pas y aller ... » murmurais-je simplement en baissant la tête sur mes genoux pliés. Un long silence s'en suit. Mais quelques instants plus tard, je la sentis me prendre les mains pour m'aider à me relever. « Qu'est-ce qui se passe ? » me demanda-t-elle d'une petite voix douce. La lèvre tremblante, je me la mordis pour m'éviter de pleurer. Mes mains toujours dans les siennes, je levais les yeux vers le plafond. « Je … je n'ai pas envie de partir. » Une première larme coula sur ma joue tandis que je plongeais mes yeux dans les siens. Elle me souriait timidement, et son regard se mit à briller sous les néons. « Je … je ne sais pas ce que je serais devenu sans vous. Vous m'avez sauvés, vous avez été si gentils avec moi. Je … je … je ne veux pas que ca s'arrête. Je veux rester avec vous pour l'éternité. Le temps passe trop vite. Ca fait trois ans, mais pourtant, j'ai l'impression que ca fait que trois jours. Vous êtes tous pour moi, je ne peux même pas m'imaginer sans vous maintenant. Vous m'avez toujours soutenu, toujours, quoi qu'il advienne, vous avez toujours été là pour moi, vous m'avez aidé à grandir, à mûrir, je … je peux pas, je peux pas. » Les larmes s'étaient mises à couler d'elles même et mon cœur cognait contre ma poitrine. Les pupilles figées sur celle de Marla, je remarqua qu'elle aussi s'était mise à pleurer. Se collant à moi, elle m'enlaça. « Pourquoi est-ce que tu dis ça ? Ce n'est pas terminé ... » Je séchais mes larmes en la serrant contre moi. Après avoir partagé cet enlacement, je m'éloignais d'elle, lui pris la main et la regarda dans les yeux. « Promet-moi … promet moi que ce n'est pas fini. » Les yeux rouges, je plongeais de nouveau mes yeux dans les siens. Pour réponse, Marla me sourit, me caressa la joue et me dit quelque chose que jamais je n'oublierais, jamais. « Mais Romain, ce genre d'histoire n'a jamais de fin. »

« Bah alors, vous foutiez quoi ? » Sullivan et Corale semblaient surexcités. Tout deux vêtues de leur robe rouge, ils abordaient fièrement leur chapeau et n'avaient qu'une hâte : pouvoir les lancer une fois leur diplôme en main (Sullivan avait même commencé à s’entraîner). « Tu as pleuré ? » Me demanda Corale en saisissant la joue d'une poigne ferme. Faisant comme si je n'avais rien entendu, je m'avançais vers la file d'étudiants qui s'était formé. La cérémonie commençait. Les noms et les discours s’enchaînaient. Nous applaudissions a chaque passage, et le moment de jeter le chapeau arriva. Saisissant le miens, je l'observais quelques secondes, envahi par une certaine nostalgie. Le lycée serait terminé une fois que ce château aura quitter mes doigts pour rejoindre le ciel. Je n'étais pas vraiment prêt à le lancer. Je regardais autour de moi, des sourires, des cris, des rires, tout le monde semblait heureux, ce qui me fit sourire. Finalement, pliant mes jambes, je baissa la main pour ensuite la relever d'un bond et lancer le chapeau aussi haut que je le pouvais. Tout ça avait une signification. Le lancer de chapeau signifiait la fin d'une ère, la fin d'un chapitre, une page qui se tourne. L'histoire continue ...

❝ I SWEAR, WE ARE INFINITE ❞

I don’t know how much longer I can keep going without a friend. I used to be able to do it very easily, but that was before I knew what having a friend was like.

Nous avions rangés nos robes de diplôme. Les vacances d'été étaient arrivés et moi, Corale et Sullivan marchions sur la grande route de Wisteria Lane, les mains dans les poches. Un peu plus loin devant nous, la voiture de Marla était garée et le prèe de cette dernière mettait des valises dans le coffre. Un petite sourire se forma sur mon visage quand je la vis sortir de sa maison elle même souriante. Excitée, elle courut vers nous. « Passe de bonnes vacances. » lâchais-je en lui adressant un clin d’œil malicieux. « Tu vas nous manquer. » poursuivis Carole qui sourit a son tour. « Ca va faire vide sans toi cet été ! » termina Sullivan en haussant les épaules. Un large sourire s'emparant de ses traits, Marla semblait touchée, et ses yeux devinrent humides. Nous faisant mine d'approcher, elle nous saisit un par un comme nous fûmes à sa hauteur. Serrés les uns contre les autres, je pouvais sentir son cœur battre. « Je vous aime les gars. » « Marla, c'est l'heure. » Nous éloignant les uns des autres, elle sécha vite ses larmes et nous adressa un dernier sourire avant de tourner les talons et de courir vers la voiture. Disposés en ligne au beau milieu de la route, nous la regardions partir. Et, alors que la voiture roulait vers le soleil couchant, nous la vîmes se glisser par la fenêtre et nous adresser un dernier signe de main. Mon cœur s'était mis à battre et un nœud se forma dans mon estomac. Je fermais les yeux quelques instants et je pris une grande inspiration. « C'est ce que nous sommes. » dit Sullivan tandis que nos regards étaient figés vers l'horizon. « Oui, c'est ce que nous sommes. » répéta Corale en souriant. « Nous avons de la chance de connaître ça. » terminais-je en tournant mon regard vers mes deux amis, avant de le reposer sur le paysage.

PELOUSE BIEN TONDUE
PARFAITS MUFFINS
ACCUEIL CHALEUREUX
RAGOTS A GOGO
FÊTE JUSQU’À PAS D'HEURES

SECRET DÉFENSE
GRAND ROMANTIQUE
LA FAMILLE AVANT TOUT
METRO, BOULOT, DODO
VOISIN MALVEILLANT

~ Behind your computer

◮ PRENOM : MATHIEU ◮ PSEUDO : BOASTFULNESS ◮ AGE : 16 ans ◮ AVATAR : le magnifique, le fabuleux LOGAN LERMAN ◮ D'OÙ CONNAIS-TU LE FORUM : vous le savez déjà ◮ COMMENTAIRES/APPRÉCIATIONS : We accept the love We think We deserve.

Invité

Bonne chance pour ta nouvelle fiche brille

J'ai trop hâte de pouvoir la lire haanouais

Merci beaucoup Edenchou leche

Je me doutais que tu succomberais pour Logan ici
J'ai hâte de voir ce que tu vas en faire

J'ai hâte de lire ta fiche

LES GENS, JE SUIS TROP INSPIRÉ

Voilà, j'ai terminé mon histoire. Vous pouvez me dire ce que vous en pensez ?
(Je corrige les fautes itout demain )

BON SANG, J'ADORE TON HISTOIRE
C'est si bien écrit

C'est vrai ? Oooh merci

Mais carrément même

Invité

Je te demanderais un lien (a)

Invité

Magnifique histoire *o*.

Oooooh merci

Invité

J'ai la flemme de tout lire mais j'suis déjà happy (je viens de me réveiller, compatis) ! haanouais

Un p'tit compte avec Logan tu me donnes envie de m'inscrire avec lui ! brille

*pastaper* Je veux de suite un lien avec Heather et Leïla ! boude

Ah mais t'es nulle, c'est pas si long, ca se lit vite et non, Logan il est à moi, rien qu'a moi, je t'interdis de le prendre je plaisante hein
AVEC PLAISIR, en plus, j'ai déjà une idée pour un lien Romain/Leila

Invité

Owi

J'ai hâte de voir ce que c'est. Bon oui je vais lire mais là j'essaye de me remettre à jour ici t'vois boude

» (M) HUNTER PARRISH ~ and in that moment, i swear, we were infinite
» (F) TROIAN BELISSARIO ~ And in that moment, i swear, we were infinite
» (LIBRE) EMMA WATSON ~ And in that moment, i swear, we were infinite.
» (M) PATRICK DEMPSEY ~ i swear, i hate you... i mean i think i do.