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 athenodora Ҩ sweet dreams are made of this.

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MessageSujet: athenodora Ҩ sweet dreams are made of this.   athenodora Ҩ sweet dreams are made of this. EmptyMer 28 Nov - 13:37


Steadworthy Elaine Athenodora
mon ambition dans la vie ? Devenir immortelle et mourir.

on s'essuie bien les pieds

◮ NOM COMPLET : Steadworthy Elaine Athenodora ◮ AGE : 26 ans ◮ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Née le 14 juin à Dallas ◮ EMPLOI/ÉTUDES : Présentatrice télévisée ◮ STATUT CIVIL : Célibataire ◮ QUARTIER D'HABITATION : Fairview ◮ TRAITS DE CARACTÈRE : Souriante, intelligente, amicale, jalouse, possessive, têtue, ambitieuse, bavarde, superficielle, curieuse, fêtarde, excentrique, bien élevée, mystérieuse, responsable, impulsive, susceptible, séductrice, respectueuse, perdue, dévastée, méfiante. ◮ AIME/DÉTESTE : Aime ce qui est mignon, les feux d'artifice, ses copines, l'odeur de l'essence, son travail, son fils. Déteste la hiérarchie, la police, le mensonge, les chiens, les enfants, les hommes, ses parents, le mot "famille". ◮ GROUPE : Ceux qui sont heureux.

PELOUSE BIEN TONDUE
PARFAITS MUFFINS
ACCUEIL CHALEUREUX
RAGOTS A GOGO
FÊTE JUSQU’À PAS D'HEURES
SECRET DÉFENSE
GRAND ROMANTIQUE
LA FAMILLE AVANT TOUT
METRO, BOULOT, DODO
VOISIN MALVEILLANT

DEPUIS COMBIEN DE TEMPS ES-TU A FAIRVIEW ? Ça fait longtemps maintenant que j’y suis : douze ans exactement. On peut dire que j’ai grandi dans ce quartier, et l’idée même de m’en aller un jour me terrifie. Il est le berceau de mes joies et de mes peines, ce quartier est ma maison. QUE PENSES-TU DE TES VOISINS ? J’adore mes voisins ! Comment ne pas les trouver géniaux ? Ils sont tous différents, possèdent leur caractère bien à eux, leurs qualités et leurs défauts … Ils ont l’air de mener une vie exemplaire avec leur pelouse bien tondue et les plats qu’ils préparent pour les autres mais ils ont tous des secrets, ils ne sont pas aussi parfaits qu’ils en ont l’air. Les côtoyer, c’est comme un jeu : on cherche sans cesse le petit détail qui trahira son secret, la faille, ce qui le rend humain –ou inhumain selon les points de vue– et on apprend à les aimer comme ils sont. Ou les détester. L’avantage d’avoir des voisins comme eux, c’est que malgré les apparences, aucun jour ne ressemble au précédent. Chaque matin apporte son lot de surprises. QU'EST-CE QUE TU CACHES ? Suis-je vraiment obligée de parler de mon secret ? Très bien. Rappelez-vous il y a douze ans, quand je suis arrivée à Fairview. Vous souvenez-vous de mon petit-frère que je tenais dans mes bras ? J’ai raconté que nos parents étaient morts et que nous allions vivre chez nos grands-parents. Faux. Archi-faux. Cet enfant, c’était le mien. J’avais quatorze ans, seulement quatorze, et mes parents m’avaient jeté dehors après l’accouchement. Personne mis à part mes grands-parents et le gamin ne sont au courant à Fairview, par contre à Dallas … Cette histoire a fait le tour de la ville. Ici j’essaye de conserver mon secret en continuant à dire que c’est mon frère et que je l’élève. Je me déteste, je vous jure que je me hais d'avoir un jour pensé que je serais bien mieux sans lui. Je n’arrivais pas à l’aimer sincèrement, à l’élever avec l’amour maternel qu’il devait recevoir. Cette naissance a bousillé ma vie et je lui en voudrai pour l’éternité. C’est ignoble pour lui, il n’y peut rien. Malgré tout, aujourd'hui, nos rapports sont au beau fixe. Ou presque. PENSES-TU QUE TA VIE VA CHANGER A CAUSE DU SHOW TÉLÉVISÉ SUR FAIRVIEW ? Ma vie va changer oui. Notamment parce que j’aurai plus de travail et moins de temps pour m’occuper de mon gosse et de moi. Autrement, ça ne bouleversera en rien mes habitudes. Les caméras, la télévision … Je les côtoie au quotidien puisque c’est mon travail. Je suis à l’aise devant, c’est comme si je ne les voyais plus. Cependant si ça stresse mes voisins, ça risque d'être agaçant. ES-TU POUR OU CONTRE ? Difficile à dire. Une fois de plus c’est mon métier de diffuser la vie des gens aux yeux de tous. Vraiment c’est une chose qui me plait, m’excite d’une certaine manière. Or quand ça touche directement quelqu’un que je connais, c’est une toute autre histoire. Jusqu’à maintenant je n’ai jamais pris conscience de la dimension malsaine que ça avait sur les gens. Et maintenant que mon secret est danger comme celui de mes amis, ça m’amuse beaucoup moins ! Pourtant … Je ne sais pas. Ça me donne envie de jouer plus encore.


avant de pouvoir entrer

« Maman, je t’en prie ! » suppliai-je d’une voix brisée. « Nous t’avions prévenue Athenodora. Tu prends tes affaires et tu quittes cette maison. » Je pensais qu’ils avaient dit ça sous le coup de la colère. Mais visiblement, ce n’était pas le cas. Ils me reniaient bel et bien, je déshonorais leur famille. Je fis mes valises et serrai contre moi le nourrisson que j’avais eu le malheur de mettre au monde. Quatorze ans. Je n’avais que quatorze ans, et ma vie était fichue. Le garçon que j’aimais avait abusé de moi, j’étais tombée enceinte et le temps que je m’en rende compte il était trop tard. Je n’avais nulle part où aller, j’avais peur, j’étais dévastée. En larmes, je téléphonai à mon dernier espoir : mes grands-parents. Ma mère avait coupé les ponts avec eux quand j’étais encore une petite fille et je ne les avais vu qu’une fois depuis. « Nous venons te chercher. Met toi à l’abri avec le bébé. » Je les attendis deux jours entiers dans un centre pour jeunes femmes en difficultés. La pire honte de ma vie. Moi qui n’avais connu que les pavillons typiquement américains, les grands repas autour de bougies et les dimanches à la messe, je n’aurais pas pu tomber plus bas. Ils ne me jugèrent pas et déclarèrent que je n’avais rien à voir avec leurs différends avec mes parents, aussi je pouvais vivre chez eux, à Fairview. Ce changement de vie fut loin d’être facile à supporter. Même si la chance semblait me sourire, je passais mon temps à pleurer. Je me sentais souillée, je me détestais. Ma grand-mère s’occupa de l’enfant durant les longs mois de dépression que je traversai. Le temps me guérit lentement mais sûrement. Je m’alimentai de nouveau correctement, acceptai de retourner à l’école et bientôt j’eus l’air d’une quasi normale fille de mon âge. J’avais pris l’habitude de mentir en disant que mes parents étaient morts dans un accident de voiture et que mon frère et moi vivons avec nos grands-parents. Ces derniers avaient accepté de dire la même chose aux voisins, même si ils réprouvaient fortement ce mensonge.

« Tu sais Athenodora, il va falloir que tu aies une idée précise de ce que tu vas faire plus tard ! Il n’y a vraiment rien qui te plaise ? On est âgés, on ne pourra pas s’occuper d’Hugo et de toi indéfiniment. » J’enfouis mon visage dans le cou de mon grand-père, en proie à une agitation passagère. Je détestais qu’on me parle d’avenir, notamment quand ceux qui m’avaient élevée ces dernières années n’étaient pas de la partie. Comment allais-je m’en sortir sans eux ? « Je sais. Je dois trouver un travail qui me rapporte assez d’argent pour vous mettre en sécurité financière, ainsi qu’Hugo et moi … Pourquoi faut-il qu’un gamin de trois ans coûte aussi cher ? Je le hais papy ! » Je sentis le regard de l’enfant posé sur moi. Dans l’encadrement de la porte, il serrait son doudou dans ses bras et m’observai attentivement. Pouvait-il comprendre ce que je disais ? Que je ne l’aimais pas ? Il était si beau, si gentil ! J’étais un monstre de ne pas pouvoir m’occuper de lui comme je le devrais. Le moindre de ses faits et gestes me mettait dans une rage folle qui me rendait presque hystérique. « Bien sûr que si, tu l’aimes. Tu es juste trop bouleversée pour t’en rendre compte ma chérie. » conclue-t-il en coinçant une mèche de cheveux derrière mon oreille. Hugo s’approcha de moi silencieusement et me tendit une feuille en papier sur laquelle il nous avait dessiné tous les deux avec un sourire, nous tenant la main. Je le jetai parterre violemment et criai : « Tu veux me faire culpabiliser, c’est ça ? Dégage Hugo ! » Je me réfugiai dans ma chambre, dévastée par les pleurs provenant du salon, et me plongeai dans les livres que j’avais empruntés à la bibliothèque. Qu’allais-je faire comme études ? Comme travail ? Parce qu’après tout je devais rapidement décider. Après maintes réflexions, je décrétai : « Je serai présentatrice télévision. Qu’importe les obstacles qui se dresseront devant moi, je serai riche et célèbre. » Mon grand-père fronça les sourcils mais sa femme posa sa main sur la sienne. « Tu y arriveras. » déclara-t-elle. Je souris et l’enlaçai.

Mon principal atout, c’était mon apparence. Je n’étais pas spécialement intelligente, même si j’étais une personne maligne. Malgré tout, ma beauté était indéniable et mon paraître surpassait clairement mon être. J’en étais venue à la conclusion que je devais mettre toutes mes chances de mon côté en favorisant mes points forts. Je rencontrai plusieurs directeurs de casting et jouai dans deux publicités pour cosmétique. Ainsi ma notoriété naquit et je pus mettre un peu d’argent de côté. Le jour de mes vingt-et-un ans, Hugo et moi quittâmes mes grands-parents pour nous installer dans une maison que j’avais achetée non loin de chez eux. L’enfant avait maintenant sept ans et, même si nos relations étaient extrêmement tendues, il se gérait davantage lui-même. Aussi je n’avais plus à le surveiller toutes les cinq minutes. Ça me permettait d’avoir du temps pour moi et de ne pas me mettre en colère à la moindre occasion. Ma grand-mère passait régulièrement toutefois pour s’assurer qu’Hugo allait bien. Ça avait le don de m’agacer fortement : je n’étais pas une mauvaise mère ! Je détestais cet enfant, mais il mangeait à sa faim, était propre et allait à l’école. Que voulait-elle de plus ? Je fus embauchée par la chaîne de télévision nationale en tant que présentatrice des informations. Coup de chance, l’ancien présentateur prenait sa retraite et ils voulaient des visages neufs à présenter aux américains. « Dis maman, il est où papa ? » demanda un jour Hugo, à la sortie de l’école. Je me figeai. « Je ne suis pas ta mère, répondis-je froidement, nos parents sont morts ! Tu le sais très bien ! » Des regards lourds de sens se tournèrent vers nous et je rougis violemment, avant de l’entraîner par la main. Il allait finir par nous faire démasquer. La vérité, c’était que sa question m’avait véritablement blessée. Depuis son père, je n’étais plus sortie avec un homme. Jamais. Je plaisais, j’en avais conscience. Et j’en jouais. Mais ma confiance en eux était brisée à jamais, et ça aussi j’en avais conscience.

Morts, mes parents l’étaient d’une certaine manière. Ils ne m’avaient pas contactée durant sept ans, sept longues années. Je me doutai qu’ils avaient demandé des nouvelles à mes grands-parents, ayant surpris des conversations téléphoniques suspectes. Pour moi ils avaient progressivement disparu, jusqu’à n’être plus que des fantômes de mon passé. Aujourd’hui j’étais parfaitement heureuse sans eux, tout me souriait. A un détail près, bien entendu. Ou deux, si l’on comptait mon célibat prolongé. Pour le reste j’étais entourée d’amis, j’avais l’argent, la beauté, la reconnaissance … Que demander de plus ? Un matin, le téléphone sonna. Je tenais par le poignet Hugo qui essayait de se dégager en criant parce qu’il refusait d’aller à l’école, mon autre main était trempée parce que j’étais en train de faire la vaisselle. Je calai le téléphone sur mon épaule, tentant d’entendre la voix par-dessus les supplications de mon fils. Je l’aurais reconnue entre mille, cette voix. Celle de ma mère. « Qu’est-ce que tu veux ? » demandai-je d’une voix tremblante. « Cette voix, c’est celle de ton fils ? » répondit-elle, émue. Je lâchai Hugo qui s’écrasa lourdement par terre, surpris. « Qu’est-ce que tu veux ? » m’enquis-je encore. « Je voulais prendre de tes nouvelles. Ton père et moi te regardons tous les soirs à la télé, tu as l’air de t’en être bien sortie. » C’était la goutte d’eau qui fit déborder le vase. « Tu te fiches de moi ?! HEIN ?! Vous me virez de la maison parce que je suis une honte pour vous, mais maintenant que je suis quelqu’un vous voulez de nouveau de moi ?! » Je raccrochai et fondis en larmes, me recroquevillant contre le mur. « Maman ? Qui c’était, maman ? » voulut savoir Hugo qui s’agenouilla devant moi, inquiet. Il posa sa petite main sur mon genou et me fixa intensément. « Ma mère. Ta grand-mère. » répondis-je, dévastée. Je le pris contre moi pour la première fois. « Tu la détestes elle, et moi aussi ? » continua-t-il sans cesser de me regarder. Je serrai la mâchoire et mes larmes redoublèrent d’intensité. « Hugo, non … Bien sûr que non je ne te déteste pas ! » Que pouvais-je dire d’autre ? « On ne va pas à l’école et au travail aujourd’hui, d’accord ? » finis-je par articuler. Il noua ses bras autour de mon cou et éclata de rire « Je t’adore maman ! » Mon cœur se serra.

Durant les années qui suivirent, Hugo grandit en comprit que je l’aimais réellement. C’est à ce moment-là que je le compris aussi. Nos relations s’adoucirent considérablement. Moi aussi je grandissais, je gagnais en maturité. Il revint un jour du collège avec une entaille sur la joue. Je levai son menton du bot des doigts et l’observai, l’air sévère. « Qu’est-ce que c’est que ça ? » demandai-je. « Rien maman. » Je soupirai, agacée. « Je t’ai déjà dit de m’appeler Athenodora. Je répète : qu’est-ce que c’est que ça ? » Il baissa les yeux et avala sa salive. « Un garçon de ma classe s’amuse à me faire mal pour faire rire les autres. » Il n’en fallut pas plus pour que je pète un câble. Je lui ordonnai de me conduire chez le fauteur de trouble, afin que je lui fasse comprendre qu’il fallait y réfléchir à deux fois avant de s’attaquer à mon fils. Ce fut le père qui ouvrit la porte et je poussai Hugo vers lui, enragée. « Votre abruti de fils s’amuse à faire du mal à mon frère ! Où est-il, que je lui fasse la même chose ? Que font ses parents ? Vous n’êtes pas capable de l’éduquer convenablement ? » L’enfant apparut derrière son père, l’air terrifié. Celui-ci se retourna et abattit sa main sur la joue du pauvre gosse qui tomba sur les fesses, résigné. Cela devait arriver souvent, à en juger par son air désabusé. Je me sentis terriblement coupable et continuai de l’insulter, devant l’air ébahi d’Hugo qui ne m’avait jamais vue comme ça. « Et ben c’est beau ça ! Ça m’étonne pas que ce soit un débile violent qui se la joue caïd, quand on voit comment réagit son père ! Vous n’avez pas honte ?! » Plusieurs personnes sortirent de chez elles, attirées par mes cris. L’homme nous tira tous les deux chez lui pour éviter le scandale et nous ne sortîmes pas de la maison du week-end. Notre dispute se termina au lit, tandis qu’Hugo fraternisait avec son ennemi juré.

Nous ne nous revîmes plus, mais ça m’avais suffi à me redonner confiance en moi. Hugo n’eut plus jamais de problèmes au collège, le fauteur de trouble étant devenu son ami. C’était d’ailleurs lui qui avait tendance à commencer à poser des problèmes. Mais je ne m’en formalisai pas pour l’instant, ne jugeant pas la situation assez grave pour lui porter un quelconque intérêt. Je repris peu à peu contact avec mes parents, bien que nos rapports soient très froids et réservés. J’avais vingt-six ans, et j’étais heureuse. Véritablement heureuse pour la première fois depuis la naissance d’Hugo, douze ans auparavant. « Je t’aime Hugo ! » criai-je un jour en le soulevant au cours d’une danse enflammée, avant de tomber avec lui. Il était plus lourd que prévu. Allongés tous les deux sur le carrelage de la cuisine avec la musique de la radio en fond sonore, nous regardions le plafond avec un sourire. Je songeai à nettoyer ces toiles d’araignées quand il s’enquit timidement : « Dis Athe, est-ce que tu pourrais me parler de ton enfance ? » Je tournai mon visage vers et lui et le chatouillai, avant de basculer sur le côté et caresser son visage. « Je suis née à Dallas, il y a 26 ans. Mes parents étaient très riches et vivaient dans une maison encore plus grosse que la nôtre. Je n’ai jamais eu de frères et sœurs et je me sentais très seule. Ils comblaient l’absence d’affection par des cadeaux … Alors à l’âge de 14 ans, j’ai commencé à dérailler. Je ne voulais pas être simplement une petite princesse, je voulais vivre réellement. Je suis tombée amoureuse de ton père et … Les choses ne se sont pas passées comme elles auraient dû. Je suis tombée enceinte. Quand mes parents l’ont appris, j’ai cru qu’ils allaient me tuer. Un mois après mon accouchement, ils m’ont virée de la maison. » Hugo fronça les sourcils et resta silencieux. « Mon père, tu ne l’as plus revu non plus ? » Je secouai la tête en signe de négation. « De toute façon je n’ai pas besoin de lui. C’est toi l’homme de la maison ! » m’exclamai-je avec un sourire.


dans la cour des secrets

◮ PRENOM : Justine ◮ PSEUDO : alaska ◮ AGE : 17 piges ◮ RÉGION : Rhône-Alpes ◮ AVATAR : Diane Kruger ◮ D'OÙ CONNAIS-TU LE FORUM : En me baladant de partenariat en partenariat ! ◮ COMMENTAIRES/APPRÉCIATIONS : Très joli, et j'aime le contexte ! J'espère pouvoir m'intégrer ici.



Dernière édition par E. Athenodora Steadworthy le Mer 28 Nov - 18:20, édité 14 fois
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MessageSujet: Re: athenodora Ҩ sweet dreams are made of this.   athenodora Ҩ sweet dreams are made of this. EmptyMer 28 Nov - 15:51

JEVEUXUNLIENAVECDERECK haanouaisbrilledediou
J'adore ton pseudo brille Et puis ton choix d'avatar est sublime dediou
Bienvenue parmi nous héhé
Bonne chance pour ta fiche bsx
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MessageSujet: Re: athenodora Ҩ sweet dreams are made of this.   athenodora Ҩ sweet dreams are made of this. EmptyMer 28 Nov - 15:54

OMG Diane cutee avégrandmaitre haanouais bed
Je crois que c'est la première fois que je la vois prise sur un forum, obligé je veux un lien cutee I love you

Bienvenue sur attendant haanouais
Bon courage pour ta fiche surtout (a) Et je dois avouer qu'en plus de l'avatar ton choix de pseudo est carrément démentiel brille
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MessageSujet: Re: athenodora Ҩ sweet dreams are made of this.   athenodora Ҩ sweet dreams are made of this. EmptyMer 28 Nov - 16:07

Merci à vous deux, vous êtes des anges ! cutee Ouais, Diane est carrément trop jolie et pas assez jouée. J'ai craqué !
Je vous réserve des liens avec grand plaisir ! bed
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MessageSujet: Re: athenodora Ҩ sweet dreams are made of this.   athenodora Ҩ sweet dreams are made of this. EmptyMer 28 Nov - 16:29

DIANE I love you bienvenue et bonne chance pour ta fiche brille
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MessageSujet: Re: athenodora Ҩ sweet dreams are made of this.   athenodora Ҩ sweet dreams are made of this. EmptyMer 28 Nov - 16:49

Merci jolie Tallulah ! brille
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Willa Clarke

Willa Clarke


PSEUDO : ✣ farewell/mathieu.
POTINS : 3749
AVATAR : ✣ haley webb.
CREDIT : ✣ avatar (c) midnight wraith.
AGE : ✣ trente-deux ans.
METIER/ETUDES : ✣ ancienne masseuse. elle s'est faite renvoyée après avoir pratiquée en état d'ébriété.

MORE ABOUT YOU
ADRESSE: 32, W. LANE
RELATIONS/TELEPHONE:

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MessageSujet: Re: athenodora Ҩ sweet dreams are made of this.   athenodora Ҩ sweet dreams are made of this. EmptyMer 28 Nov - 17:03

Le pseudo + Diane baave
Bienvenue sur LMDM-A, merci de ton inscription I love you
et bonne chance pour ta fiche brille
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MessageSujet: Re: athenodora Ҩ sweet dreams are made of this.   athenodora Ҩ sweet dreams are made of this. EmptyMer 28 Nov - 17:38

Bienvenue par ici mon enfant baave
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MessageSujet: Re: athenodora Ҩ sweet dreams are made of this.   athenodora Ҩ sweet dreams are made of this. EmptyMer 28 Nov - 18:21

Merci les nanas ! coeur Hathaway haanouais
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Willa Clarke

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PSEUDO : ✣ farewell/mathieu.
POTINS : 3749
AVATAR : ✣ haley webb.
CREDIT : ✣ avatar (c) midnight wraith.
AGE : ✣ trente-deux ans.
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MessageSujet: Re: athenodora Ҩ sweet dreams are made of this.   athenodora Ҩ sweet dreams are made of this. EmptyJeu 29 Nov - 17:16

c'est une bien jolie histoire que tu nous as écris là tears tears Tout est parfait, je te valide I love you

bravo. tu êtes validé(e).
Mais alors, ça y est tu as enfin terminé E. Athenodora Steadworthy ? Shocked Je dois avouer que ta vie est bien intéressante et te valider me semble la meilleure solution pour que tu règles tous tes problèmes cutee Mais la route sera longue avant que tu ne sois vraiment un habitant de Fairview à part entière héhé Tu vas devoir aller recenser ton avatar, pour que Diane Kruger soit définitivement à toi. Faire toutes tes demandes nécessaires à l'avancé de ton personnage mais aussi te renseigner sur la saison en route et l'épisode actuel. Bon courage et bienvenue dans le groupe de ceux qui sont heureux I love you leche
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MessageSujet: Re: athenodora Ҩ sweet dreams are made of this.   athenodora Ҩ sweet dreams are made of this. Empty

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